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http://www.morbleu.com/etienne-klein...s-existe-t-il/
Etienne Klein: "En physique moderne, la théorie de la relativité restreinte d'Einstein démontre que le l'espace et le temps sont liés, et que ces deux dimensions sont élastiques en fonction de la vitesse." Mais, Etienne Klein, cette conséquence du principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905, développée, se transforme en "le passage du temps est une illusion". Pourquoi évitez- vous si soigneusement de parler de la vérification de ce principe? Est- ce qu'il est compatible avec l'expérience de Michelson-Morley? Avec l'expérience de Pound-Rebka? On en discutera en France? Non? Jamais? Pourquoi? Pentcho Valev a écrit: Le temps est une illusion, selon la relativité einsteinienne: http://www.psycho-energie.fr/double/...hibault-damour Thibault Damour: "Certains préféreraient penser que même si le formalisme mathématique explique bien le monde observé, il ne doit pas être confondu avec "la vraie réalité". Le formalisme de la relativité einsteinienne dit que le temps est une illusion..." Le temps n'est pas une illusion: http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion." http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons, poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale : la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient, l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux temporel." Supposons que John Norton et Etienne Klein aient raison - le temps n'est pas une illusion. Quelles sont les implications? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze- Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? La théorie einsteinienne est vraie, toujours vraie, très vraie, absolument vraie? Une autre implication? La vitesse de la lumière est constante, toujours constante, très constante, absolument constante? Une autre implication? Aucune? On discutera du thème "Le temps est une illusion: une conséquence du principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905" en France? Non? Jamais? Pourquoi? Pentcho Valev |
#2
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http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace- temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE, mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces gravitationnelles dans tout l'espace." Etienne Klein, est-ce que l'énoncé: "Le décalage gravitationnel des fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-temps." est équivalent à l'énoncé: "Le décalage gravitationnel des fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'ACCÉLÉRATION QUE LE CHAMP GRAVITATIONNEL INFLIGE AUX SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-temps." Si oui, est-ce que le texte de Banesh Hoffmann contredit les textes suivants: http://www-cosmosaf.iap.fr/RELATIVIT...20Thibault.htm Thibault Damour: "Décalage vers le rouge ou dilatation gravitationnelle des durées. (....) D'un point de vue plus général, puisque la fréquence d'une raie spectrale définit une "horloge" à l'échelle atomique, le principe d'équivalence prédit l'existence d'une dilatation gravitationnelle des durées lors de la comparaison de deux horloges situées à des niveaux de potentiel gravitationnel différents." http://www.liberation.fr/sciences/01...uete-des-temps Etienne Klein: "Mais pour la relativité générale d'Einstein, l'espace et le temps sont déformés par les objets qu'ils contiennent. Ainsi le temps ne s'écoule pas de la même façon au voisinage d'une étoile très dense qu'à proximité d'une planète." http://student.fizika.org/~jsisko/Kn...Morin/CH13.PDF David Morin: "The equivalence principle has a striking consequence concerning the behavior of clocks in a gravitational field. It implies that higher clocks run faster than lower clocks. If you put a watch on top of a tower, and then stand on the ground, you will see the watch on the tower tick faster than an identical watch on your wrist. When you take the watch down and compare it to the one on your wrist, it will show more time elapsed." Pentcho Valev |
#3
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La vitesse de la lumière varie dans un champ de gravitation:
http://www.amazon.fr/Relativit%C3%A9.../dp/2228882542 Albert Einstein, "La Relativité": "...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet, la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse de propagation de la lumière varie avec le lieu." La fréquence varie avec le potentiel gravitationnel, phi, conformément à l'équation: f' = f(1+phi/c^2) Cette équation est confirmée par l'expérience de Pound-Rebka. Or la vitesse de la lumière varie proportionnellement à la fréquence: (fréquence) = (vitesse de la lumière)/(longueur d'onde) Donc, la vitesse de la lumière varie avec le potentiel gravitationnel conformément à l'équation: c' = c(1+phi/c^2) L'équation c'=c(1+phi/c^2) appartient à la théorie de l'émission de Newton. Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka confirme la théorie de l'émission de Newton? On peut montrer que l'énoncé "La vitesse de la lumière varie avec le potentiel gravitationnel" est équivalent à l'énoncé "La vitesse de la lumière varie avec la vitesse de la source émettrice", ce dernier énoncé DIRECTEMENT (c'est-à-dire, sans l'aide d'hypothèses auxiliaires ad hoc) confirmé par l'expérience de Michelson-Morley: http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." Pentcho Valev |
#4
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http://www2.cndp.fr/themadoc/einstei...lativistes.htm
Édouard Kierlik, directeur de la licence de physique de l'Université Pierre et Marie Curie: "Des postulats révolutionnaires. Ces difficultés conduisent Einstein à développer sa réflexion sur de nouvelles bases. Elles sont au nombre de deux. La première semble aller de soi. Le résultat négatif de Michelson et Morley montre qu'il est impossible de mettre en évidence, avec la lumière, un mouvement de translation uniforme (pendant la durée de l'expérience, la trajectoire de la Terre autour du Soleil peut être assimilée à un segment de droite parcouru à vitesse constante). Mais cela n'est pas nouveau : dans le cadre de la mécanique classique, il en est de même, ainsi que Galilée l'a joliment décrit. Einstein se « contente », après Poincaré, d'étendre ce principe de relativité à l'électromagnétisme : « Dans tous les systèmes de coordonnées où les équations de la mécanique sont valables, ce sont également les mêmes lois de l'optique et de l'électrodynamique qui sont valables. » Le second postulat consigne l'autre résultat de l'expérience de Michelson et Morley : « [...] la lumière se propage dans l'espace vide avec une vitesse bien déterminée, indépendante de l'état de mouvement du corps émetteur.. » En clair, la vitesse de la lumière (notée ici c) est indépendante de celle de la source ou de l'observateur. C'est un absolu qui est le même pour tous les repères en translation uniforme les uns par rapport aux autres. Là aussi, quoi de plus naturel ? Une source émet une onde ; ayant fini d'émettre, la source ne joue plus de rôle, n'est-ce pas normal ? En revanche, le mouvement de l'observateur par rapport au milieu de propagation ne devrait-il pas modifier la vitesse apparente de l'onde ? Le réponse est négative pour la lumière et ce qu'exprime le second postulat, c'est qu'il est donc impossible de rattraper un signal lumineux. Quelle que soit ma propre vitesse, la lumière va toujours à la même vitesse par rapport à moi. Qu'on ait de la lumière une interprétation ondulatoire ou corpusculaire, la contradiction avec l'expérience empirique des phénomènes à notre échelle est flagrante..." Édouard Kierlik, aucun étudiant n'a jamais contesté les deux énoncés suivants? "Le second postulat consigne l'autre résultat de l'expérience de Michelson et Morley : « [...] la lumière se propage dans l'espace vide avec une vitesse bien déterminée, indépendante de l'état de mouvement du corps émetteur. »" "En revanche, le mouvement de l'observateur par rapport au milieu de propagation ne devrait-il pas modifier la vitesse apparente de l'onde ? Le réponse est négative pour la lumière et ce qu'exprime le second postulat, c'est qu'il est donc impossible de rattraper un signal lumineux. Quelle que soit ma propre vitesse, la lumière va toujours à la même vitesse par rapport à moi." Une dérationalisation absolue des étudiants? Les textes ci-dessous n'existent pas? N'ont jamais existé? Ce sont des nontextes? http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton's own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day." http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp. 39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE." http://www.hep.man.ac.uk/u/roger/PHY.../lecture18.pdf Roger Barlow: "Now suppose the source is fixed but the observer is moving towards the source, with speed v. In time t, ct/(lambda) waves pass a fixed point. A moving point adds another vt/(lambda). So f'=(c +v)/(lambda)." http://www-physics.ucsd.edu/students.../lecture16.pdf Convention we will choose: u = velocity of observer or source v = velocity of wave Moving Observer Observer approaching: f'=(1/T')=(v+u)/(lambda) Observer receding: f'=(1/T')=(v-u)/(lambda) http://www.expo-db.be/ExposPrecedent...%20Doppler.pdf 6. Source immobile - Observateur en mouvement La distance entre les crêtes, la longueur d'onde lambda ne change pas. Mais la vitesse des crêtes par rapport à l'observateur change ! L'observateur se rapproche de la source f' = V'/(lambda) f' = f (1 + Vo/V) L'observateur s'éloigne de la source f' = f (1 - Vo/V) http://www.eng.uwi.tt/depts/elec/sta...relativity.pdf The Invalidation of a Sacred Principle of Modern Physics Stephan J.G. Gift "For a stationary observer O, the stationary light source S emits light at speed c, wavelength Lo, and frequency Fo given by Fo=c/Lo. If the observer moves toward S at speed v, then again based on classical analysis, the speed of light relative to the moving observer is (c + v) and not c as required by Einstein's law of light propagation. Hence the observer intercepts wave-fronts of light at a frequency fA, which is higher than Fo, as is observed, and is given by fA = (c+v)/Lo Fo. (...) In light of this elementary result invalidating STR, it is difficult to understand why this invalid theory has been (and continues to be) accepted for the past 100 years." http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il n'existait pas, il n'avait jamais existé." Pentcho Valev |
#5
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La dérationalisation implacable de la société scientifique française:
http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible ! Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il pourrait exister des photons immobiles, et la différence est essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure, mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité a plusieurs pieds." Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement dit et la société au sens large." Pentcho Valev |
#6
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Speek amerikin, beaner.
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#7
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L'idée de Jean-Marc Lévy-Leblond (la Théorie Divine d'Albert le Divin
est vraie même si la vitesse de la lumière est variable) détruit la rationalité scientifique dans le monde anglophone: http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=16963 Jean-Marc Lévy-Leblond: "Mais l'inutile et depuis longtemps caduc « second postulat » (celui de l'invariance de la vitesse de la lumière) garde encore une place de choix dans les exposés." http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part, nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais, empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de futures mesures mettent en évidence une masse infime, mais non-nulle, du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat" deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle invalidée ? Heureusement, il n'en est rien ; mais, pour s'en assurer, il convient de la refonder sur des bases plus solides, et d'ailleurs plus économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la condition de l'exploiter à fond." http://www.hep.princeton.edu/~mcdona..._44_271_76.pdf Jean-Marc Levy-Leblond: "This is the point of view from wich I intend to criticize the overemphasized role of the speed of light in the foundations of the special relativity, and to propose an approach to these foundations that dispenses with the hypothesis of the invariance of c. (...) We believe that special relativity at the present time stands as a universal theory discribing the structure of a common space-time arena in which all fundamental processes take place. (...) The evidence of the nonzero mass of the photon would not, as such, shake in any way the validity of the special relalivity. It would, however, nullify all its derivations which are based on the invariance of the photon velocity." http://groups.google.ca/group/sci.ph...1ebdf49c012de2 Tom Roberts: "If it is ultimately discovered that the photon has a nonzero mass (i.e. light in vacuum does not travel at the invariant speed of the Lorentz transform), SR would be unaffected but both Maxwell's equations and QED would be refuted (or rather, their domains of applicability would be reduced)." http://www.amazon.com/Einsteins-Rela.../dp/9810238886 Jong-Ping Hsu: "The fundamentally new ideas of the first purpose are developed on the basis of the term paper of a Harvard physics undergraduate. They lead to an unexpected affirmative answer to the long-standing question of whether it is possible to construct a relativity theory without postulating the constancy of the speed of light and retaining only the first postulate of special relativity. This question was discussed in the early years following the discovery of special relativity by many physicists, including Ritz, Tolman, Kunz, Comstock and Pauli, all of whom obtained negative answers." http://www.newscientist.com/article/...elativity.html Why Einstein was wrong about relativity 29 October 2008, Mark Buchanan, NEW SCIENTIST "This "second postulate" is the source of all Einstein's eccentric physics of shrinking space and haywire clocks. And with a little further thought, it leads to the equivalence of mass and energy embodied in the iconic equation E = mc^2. The argument is not about the physics, which countless experiments have confirmed. It is about whether we can reach the same conclusions without hoisting light onto its highly irregular pedestal. (...) But in fact, says Feigenbaum, both Galileo and Einstein missed a surprising subtlety in the maths - one that renders Einstein's second postulate superfluous. (...) The idea that Einstein's relativity has nothing to do with light could actually come in rather handy. For one thing, it rules out a nasty shock if anyone were ever to prove that photons, the particles of light, have mass. We know that the photon's mass is very small - less than 10^(-49) grams. A photon with any mass at all would imply that our understanding of electricity and magnetism is wrong, and that electric charge might not be conserved. That would be problem enough, but a massive photon would also spell deep trouble for the second postulate, as a photon with mass would not necessarily always travel at the same speed. Feigenbaum's work shows how, contrary to many physicists' beliefs, this need not be a problem for relativity." http://groups.google.com/group/sci.p...d3ebf3b94d89ad Tom Roberts: "As I said before, Special Relativity would not be affected by a non-zero photon mass, as Einstein's second postulate is not required in a modern derivation (using group theory one obtains three related theories, two of which are solidly refuted experimentally and the third is SR). So today's foundations of modern physics would not be threatened. http://arxiv.org/PS_cache/arxiv/pdf/...806.1234v1.pdf Mitchell J. Feigenbaum: "In this paper, not only do I show that the constant speed of light is unnecessary for the construction of the theories of relativity, but overwhelmingly more, there is no room for it in the theory. (...) We can make a few guesses. There is a "villain" in the story, who, of course, is Newton." Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? Pentcho Valev a écrit: La dérationalisation implacable de la société scientifique française: http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible ! Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il pourrait exister des photons immobiles, et la différence est essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure, mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité a plusieurs pieds." Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement dit et la société au sens large." Pentcho Valev |
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http://www.amazon.com/Revisiting-Fou.../dp/1402012845
Jean Eisenstaedt: "...the intensity of the bending of light rays, in the context of Newton's theory, is only half of what it is in general relativity. But what is really important is that the effect of deviation is actually present. I want to state clearly that this prediction is coherent with the vision that one has then of the corpuscule of light but also with Newton's theory of gravitation and also with Galilean kinematics. A grain of light, as it was often called then, might be accelerated or slowed down without question. Actually, the idea of the constancy of the velocity of light came to the fore at the end of the nineteenth century from numerous experiments and observations..." Jean Eisenstaedt, tout est bien expliqué mais pourquoi le mensonge à la fin de votre texte? Les textes ci-dessous n'existent pas? N'ont jamais existé? Ce sont des nontextes? James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp. 39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE." http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton's own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day." http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il n'existait pas, il n'avait jamais existé." Pentcho Valev |
#9
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http://www.techno-science.net/?ongle...efinition=2874
"Pour vérifier la relativité générale, une mesure de la déviation des rayons lumineux aux alentours d'une masse, lors d'une éclipse solaire est envisagée. La première expédition est programmée en 1915, mais est rendue impossible par la Première Guerre mondiale. En 1919, Arthur Eddington réalise la fameuse mesure. Il annonce que les résultats sont conformes à la théorie d'Einstein. Il apparaît bien plus tard qu'en raison du temps nuageux, la marge d'erreur était bien supérieure au phénomène à mesurer. Stephen Hawking explique dans Une Brève histoire du temps que ce genre de faux bon résultat est courant quand on sait à quoi s'attendre. Comme entre temps d'autres mesures avaient confirmé la déviation de la lumière, le prestige de la relativité générale n'en fut pas ébranlé." http://www.amazon.com/Revisiting-Fou.../dp/1402012845 Jean Eisenstaedt: "...the intensity of the bending of light rays, in the context of Newton's theory, is only half of what it is in general relativity. But what is really important is that the effect of deviation is actually present. I want to state clearly that this prediction is coherent with the vision that one has then of the corpuscule of light but also with Newton's theory of gravitation and also with Galilean kinematics. A grain of light, as it was often called then, might be accelerated or slowed down without question." Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka a confirmé la déviation de la lumière prédite par la théorie de l'émission de Newton (Jean Eisenstaedt: "...the intensity of the bending of light rays, in the context of Newton's theory, is only half of what it is in general relativity") ? Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka a confirmé la déviation de la lumière prédite par la relativité générale ? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze- Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On en discutera en France? Non? Jamais? Pourquoi? L'arrêtducrime toujours? http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net, comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie stupidité protectrice." Pentcho Valev a écrit: La vitesse de la lumière varie dans un champ de gravitation: http://www.amazon.fr/Relativit%C3%A9.../dp/2228882542 Albert Einstein, "La Relativité": "...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet, la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse de propagation de la lumière varie avec le lieu." La fréquence varie avec le potentiel gravitationnel, phi, conformément à l'équation: f' = f(1+phi/c^2) Cette équation est confirmée par l'expérience de Pound-Rebka. Or la vitesse de la lumière varie proportionnellement à la fréquence: (fréquence) = (vitesse de la lumière)/(longueur d'onde) Donc, la vitesse de la lumière varie avec le potentiel gravitationnel conformément à l'équation: c' = c(1+phi/c^2) L'équation c'=c(1+phi/c^2) appartient à la théorie de l'émission de Newton. Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka confirme la théorie de l'émission de Newton? On peut montrer que l'énoncé "La vitesse de la lumière varie avec le potentiel gravitationnel" est équivalent à l'énoncé "La vitesse de la lumière varie avec la vitesse de la source émettrice", ce dernier énoncé DIRECTEMENT (c'est-à-dire, sans l'aide d'hypothèses auxiliaires ad hoc) confirmé par l'expérience de Michelson-Morley: http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." Pentcho Valev |
#10
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http://e2phy.in2p3.fr/2005/documents.../Klein_txt.pdf
Etienne Klein: "Vous vous souvenez sans doute de la controverse lancée par certains auteurs français à l'occasion de l'Année Mondiale de la Physique : ils prétendent que Poincaré a découvert la relativité avant Einstein... Il est vrai que Poincaré avait le formalisme de la relativité devant les yeux dès juin 1905, mais ce qui empêche que l'on puisse dire qu'il est le « père de la relativité » est qu'il n'a pas su reconnaître en ce formalisme une nouvelle théorie de l'espace et du temps." Cette nouvelle théorie de l'espace et du temps découle du principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905. D'un autre côté, cette nouvelle théorie de l'espace et du temps dit que "le temps est une illusion", ce que vous, Etienne Klein, et John Norton n'acceptez plus. Alors? Arrêtducrime toujours? http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net, comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie stupidité protectrice." Pentcho Valev a écrit: Le temps est une illusion, selon la relativité einsteinienne: http://www.psycho-energie.fr/double/...hibault-damour Thibault Damour: "Certains préféreraient penser que même si le formalisme mathématique explique bien le monde observé, il ne doit pas être confondu avec "la vraie réalité". Le formalisme de la relativité einsteinienne dit que le temps est une illusion..." Le temps n'est pas une illusion: http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion." http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons, poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale : la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient, l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux temporel." Supposons que John Norton et Etienne Klein aient raison - le temps n'est pas une illusion. Quelles sont les implications? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze- Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? La théorie einsteinienne est vraie, toujours vraie, très vraie, absolument vraie? Une autre implication? La vitesse de la lumière est constante, toujours constante, très constante, absolument constante? Une autre implication? Aucune? On discutera du thème "Le temps est une illusion: une conséquence du principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905" en France? Non? Jamais? Pourquoi? Pentcho Valev |
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