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LE PRINCIPE DE LA CONSTANCE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE



 
 
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  #1  
Old April 16th 11, 08:05 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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Default LE PRINCIPE DE LA CONSTANCE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

http://www.morbleu.com/etienne-klein...s-existe-t-il/
Etienne Klein: "En physique moderne, la théorie de la relativité
restreinte d'Einstein démontre que le l'espace et le temps sont liés,
et que ces deux dimensions sont élastiques en fonction de la vitesse."

Mais, Etienne Klein, cette conséquence du principe de la constance de
la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905, développée, se
transforme en "le passage du temps est une illusion". Pourquoi évitez-
vous si soigneusement de parler de la vérification de ce principe? Est-
ce qu'il est compatible avec l'expérience de Michelson-Morley? Avec
l'expérience de Pound-Rebka? On en discutera en France? Non? Jamais?
Pourquoi?

Pentcho Valev a écrit:

Le temps est une illusion, selon la relativité einsteinienne:

http://www.psycho-energie.fr/double/...hibault-damour
Thibault Damour: "Certains préféreraient penser que même si le
formalisme mathématique explique bien le monde observé, il ne doit pas
être confondu avec "la vraie réalité". Le formalisme de la relativité
einsteinienne dit que le temps est une illusion..."

Le temps n'est pas une illusion:

http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf
John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une
illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les
théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on
excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il
n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion."

http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc
Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour
développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon
lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre
sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que
nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de
sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la
physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la
notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système
constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que
la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes
complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui
gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur
mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre
psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons,
poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le
haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un
bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient
que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou
d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de
nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à
considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un
produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est
en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les
faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie
de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué
dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux
temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et
futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que
différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids
ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé
ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et
d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui
a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de
l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale :
la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient,
l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux
temporel."

Supposons que John Norton et Etienne Klein aient raison - le temps
n'est pas une illusion. Quelles sont les implications? Jean
Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein?
Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-
Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain
Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de
Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? La théorie einsteinienne
est vraie, toujours vraie, très vraie, absolument vraie? Une autre
implication? La vitesse de la lumière est constante, toujours
constante, très constante, absolument constante? Une autre
implication? Aucune? On discutera du thème "Le temps est une illusion:
une conséquence du principe de la constance de la vitesse de la
lumière avancé par Einstein en 1905" en France? Non? Jamais?
Pourquoi?

Pentcho Valev

  #2  
Old April 16th 11, 01:00 PM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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Default LE PRINCIPE DE LA CONSTANCE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace."

Etienne Klein, est-ce que l'énoncé:

"Le décalage gravitationnel des fréquences n'est pas la conséquence
d'un changement du rythme intrinseque des horloges. Ce décalage
resulte de L'EFFET DU CHAMP GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX
qui se propagent dans l'espace-temps."

est équivalent à l'énoncé:

"Le décalage gravitationnel des fréquences n'est pas la conséquence
d'un changement du rythme intrinseque des horloges. Ce décalage
resulte de L'ACCÉLÉRATION QUE LE CHAMP GRAVITATIONNEL INFLIGE AUX
SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-temps."

Si oui, est-ce que le texte de Banesh Hoffmann contredit les textes
suivants:

http://www-cosmosaf.iap.fr/RELATIVIT...20Thibault.htm
Thibault Damour: "Décalage vers le rouge ou dilatation
gravitationnelle des durées. (....) D'un point de vue plus général,
puisque la fréquence d'une raie spectrale définit une "horloge" à
l'échelle atomique, le principe d'équivalence prédit l'existence d'une
dilatation gravitationnelle des durées lors de la comparaison de deux
horloges situées à des niveaux de potentiel gravitationnel
différents."

http://www.liberation.fr/sciences/01...uete-des-temps
Etienne Klein: "Mais pour la relativité générale d'Einstein, l'espace
et le temps sont déformés par les objets qu'ils contiennent. Ainsi le
temps ne s'écoule pas de la même façon au voisinage d'une étoile très
dense qu'à proximité d'une planète."

http://student.fizika.org/~jsisko/Kn...Morin/CH13.PDF
David Morin: "The equivalence principle has a striking consequence
concerning the behavior of clocks in a gravitational field. It implies
that higher clocks run faster than lower clocks. If you put a watch on
top of a tower, and then stand on the ground, you will see the watch
on the tower tick faster than an identical watch on your wrist. When
you take the watch down and compare it to the one on your wrist, it
will show more time elapsed."

Pentcho Valev

  #3  
Old April 16th 11, 01:19 PM posted to sci.astro,sci.math
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La vitesse de la lumière varie dans un champ de gravitation:

http://www.amazon.fr/Relativit%C3%A9.../dp/2228882542
Albert Einstein, "La Relativité":
"...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà
souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le
vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité
restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet,
la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse
de propagation de la lumière varie avec le lieu."

La fréquence varie avec le potentiel gravitationnel, phi, conformément
à l'équation:

f' = f(1+phi/c^2)

Cette équation est confirmée par l'expérience de Pound-Rebka. Or la
vitesse de la lumière varie proportionnellement à la fréquence:

(fréquence) = (vitesse de la lumière)/(longueur d'onde)

Donc, la vitesse de la lumière varie avec le potentiel gravitationnel
conformément à l'équation:

c' = c(1+phi/c^2)

L'équation c'=c(1+phi/c^2) appartient à la théorie de l'émission de
Newton. Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka confirme la théorie de
l'émission de Newton?

On peut montrer que l'énoncé "La vitesse de la lumière varie avec le
potentiel gravitationnel" est équivalent à l'énoncé "La vitesse de la
lumière varie avec la vitesse de la source émettrice", ce dernier
énoncé DIRECTEMENT (c'est-à-dire, sans l'aide d'hypothèses auxiliaires
ad hoc) confirmé par l'expérience de Michelson-Morley:

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

Pentcho Valev

  #4  
Old April 17th 11, 07:19 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://www2.cndp.fr/themadoc/einstei...lativistes.htm
Édouard Kierlik, directeur de la licence de physique de l'Université
Pierre et Marie Curie: "Des postulats révolutionnaires. Ces
difficultés conduisent Einstein à développer sa réflexion sur de
nouvelles bases. Elles sont au nombre de deux. La première semble
aller de soi. Le résultat négatif de Michelson et Morley montre qu'il
est impossible de mettre en évidence, avec la lumière, un mouvement de
translation uniforme (pendant la durée de l'expérience, la trajectoire
de la Terre autour du Soleil peut être assimilée à un segment de
droite parcouru à vitesse constante). Mais cela n'est pas nouveau :
dans le cadre de la mécanique classique, il en est de même, ainsi que
Galilée l'a joliment décrit. Einstein se « contente », après Poincaré,
d'étendre ce principe de relativité à l'électromagnétisme : « Dans
tous les systèmes de coordonnées où les équations de la mécanique sont
valables, ce sont également les mêmes lois de l'optique et de
l'électrodynamique qui sont valables. » Le second postulat consigne
l'autre résultat de l'expérience de Michelson et Morley : « [...] la
lumière se propage dans l'espace vide avec une vitesse bien
déterminée, indépendante de l'état de mouvement du corps émetteur.. »
En clair, la vitesse de la lumière (notée ici c) est indépendante de
celle de la source ou de l'observateur. C'est un absolu qui est le
même pour tous les repères en translation uniforme les uns par rapport
aux autres. Là aussi, quoi de plus naturel ? Une source émet une
onde ; ayant fini d'émettre, la source ne joue plus de rôle, n'est-ce
pas normal ? En revanche, le mouvement de l'observateur par rapport au
milieu de propagation ne devrait-il pas modifier la vitesse apparente
de l'onde ? Le réponse est négative pour la lumière et ce qu'exprime
le second postulat, c'est qu'il est donc impossible de rattraper un
signal lumineux. Quelle que soit ma propre vitesse, la lumière va
toujours à la même vitesse par rapport à moi. Qu'on ait de la lumière
une interprétation ondulatoire ou corpusculaire, la contradiction avec
l'expérience empirique des phénomènes à notre échelle est
flagrante..."

Édouard Kierlik, aucun étudiant n'a jamais contesté les deux énoncés
suivants?

"Le second postulat consigne l'autre résultat de l'expérience de
Michelson et Morley : « [...] la lumière se propage dans l'espace vide
avec une vitesse bien déterminée, indépendante de l'état de mouvement
du corps émetteur. »"

"En revanche, le mouvement de l'observateur par rapport au milieu de
propagation ne devrait-il pas modifier la vitesse apparente de
l'onde ? Le réponse est négative pour la lumière et ce qu'exprime le
second postulat, c'est qu'il est donc impossible de rattraper un
signal lumineux. Quelle que soit ma propre vitesse, la lumière va
toujours à la même vitesse par rapport à moi."

Une dérationalisation absolue des étudiants? Les textes ci-dessous
n'existent pas? N'ont jamais existé? Ce sont des nontextes?

http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc
John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the
importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even
though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the
experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation,
has little force. Its null result happened to be fully compatible with
Newton's own emission theory of light. Located in the context of late
19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light
predominated, however, it presented a serious problem that exercised
the greatest theoretician of the day."

http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf
John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers
in finding source material, Stachel assembled the many small clues
that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of
light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the
Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of
relativity, whereas later writers almost universally use it as support
for the light postulate of special relativity. Even today, this point
needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible
with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT
POSTULATE."

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp.
39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant
aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre
les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par
exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à
un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la
vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la
lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière
se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à
l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui
d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par
rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une
certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister
sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA
LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT
AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE."

http://www.hep.man.ac.uk/u/roger/PHY.../lecture18.pdf
Roger Barlow: "Now suppose the source is fixed but the observer is
moving towards the source, with speed v. In time t, ct/(lambda) waves
pass a fixed point. A moving point adds another vt/(lambda). So f'=(c
+v)/(lambda)."

http://www-physics.ucsd.edu/students.../lecture16.pdf
Convention we will choose:
u = velocity of observer or source
v = velocity of wave
Moving Observer
Observer approaching: f'=(1/T')=(v+u)/(lambda)
Observer receding: f'=(1/T')=(v-u)/(lambda)

http://www.expo-db.be/ExposPrecedent...%20Doppler.pdf
6. Source immobile - Observateur en mouvement
La distance entre les crêtes, la longueur d'onde lambda ne change pas.
Mais la vitesse des crêtes par rapport à l'observateur change !
L'observateur se rapproche de la source
f' = V'/(lambda)
f' = f (1 + Vo/V)
L'observateur s'éloigne de la source
f' = f (1 - Vo/V)

http://www.eng.uwi.tt/depts/elec/sta...relativity.pdf
The Invalidation of a Sacred Principle of Modern Physics
Stephan J.G. Gift
"For a stationary observer O, the stationary light source S emits
light at speed c, wavelength Lo, and frequency Fo given by Fo=c/Lo. If
the observer moves toward S at speed v, then again based on classical
analysis, the speed of light relative to the moving observer is (c +
v) and not c as required by Einstein's law of light propagation. Hence
the observer intercepts wave-fronts of light at a frequency fA, which
is higher than Fo, as is observed, and is given by fA = (c+v)/Lo Fo.
(...) In light of this elementary result invalidating STR, it is
difficult to understand why this invalid theory has been (and
continues to be) accepted for the past 100 years."

http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev

  #5  
Old April 17th 11, 09:15 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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La dérationalisation implacable de la société scientifique française:

http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf
Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a
vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument
impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a
rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe
quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est
ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible !
Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si
demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne
va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours
à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne
verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il
pourrait exister des photons immobiles, et la différence est
essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est
rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure,
mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon
est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais
n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour
la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit
capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a
pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa
masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse
de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les
journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est
trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien
contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe
construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux
propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse
non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et
la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce
qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand
vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle
continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité
a plusieurs pieds."

Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND?

http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de
crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et
économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle
connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans
la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche
scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement
dit et la société au sens large."

Pentcho Valev

  #6  
Old April 17th 11, 04:41 PM posted to sci.astro,sci.math
Richard Hertz
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Speek amerikin, beaner.


  #7  
Old April 18th 11, 06:41 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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L'idée de Jean-Marc Lévy-Leblond (la Théorie Divine d'Albert le Divin
est vraie même si la vitesse de la lumière est variable) détruit la
rationalité scientifique dans le monde anglophone:

http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=16963
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Mais l'inutile et depuis longtemps caduc «
second postulat » (celui de l'invariance de la vitesse de la lumière)
garde encore une place de choix dans les exposés."

http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour
en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part,
nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière
est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais,
empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne
supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée
avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de
futures mesures mettent en évidence une masse infime, mais non-nulle,
du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la
lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais
variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les
procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat"
deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle
invalidée ? Heureusement, il n'en est rien ; mais, pour s'en assurer,
il convient de la refonder sur des bases plus solides, et d'ailleurs
plus économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la
condition de l'exploiter à fond."

http://www.hep.princeton.edu/~mcdona..._44_271_76.pdf
Jean-Marc Levy-Leblond: "This is the point of view from wich I intend
to criticize the overemphasized role of the speed of light in the
foundations of the special relativity, and to propose an approach to
these foundations that dispenses with the hypothesis of the invariance
of c. (...) We believe that special relativity at the present time
stands as a universal theory discribing the structure of a common
space-time arena in which all fundamental processes take place. (...)
The evidence of the nonzero mass of the photon would not, as such,
shake in any way the validity of the special relalivity. It would,
however, nullify all its derivations which are based on the invariance
of the photon velocity."

http://groups.google.ca/group/sci.ph...1ebdf49c012de2
Tom Roberts: "If it is ultimately discovered that the photon has a
nonzero mass (i.e. light in vacuum does not travel at the invariant
speed of the Lorentz transform), SR would be unaffected but both
Maxwell's equations and QED would be refuted (or rather, their domains
of applicability would be reduced)."

http://www.amazon.com/Einsteins-Rela.../dp/9810238886
Jong-Ping Hsu: "The fundamentally new ideas of the first purpose are
developed on the basis of the term paper of a Harvard physics
undergraduate. They lead to an unexpected affirmative answer to the
long-standing question of whether it is possible to construct a
relativity theory without postulating the constancy of the speed of
light and retaining only the first postulate of special relativity.
This question was discussed in the early years following the discovery
of special relativity by many physicists, including Ritz, Tolman,
Kunz, Comstock and Pauli, all of whom obtained negative answers."

http://www.newscientist.com/article/...elativity.html
Why Einstein was wrong about relativity
29 October 2008, Mark Buchanan, NEW SCIENTIST
"This "second postulate" is the source of all Einstein's eccentric
physics of shrinking space and haywire clocks. And with a little
further thought, it leads to the equivalence of mass and energy
embodied in the iconic equation E = mc^2. The argument is not about
the physics, which countless experiments have confirmed. It is about
whether we can reach the same conclusions without hoisting light onto
its highly irregular pedestal. (...) But in fact, says Feigenbaum,
both Galileo and Einstein missed a surprising subtlety in the maths -
one that renders Einstein's second postulate superfluous. (...) The
idea that Einstein's relativity has nothing to do with light could
actually come in rather handy. For one thing, it rules out a nasty
shock if anyone were ever to prove that photons, the particles of
light, have mass. We know that the photon's mass is very small - less
than 10^(-49) grams. A photon with any mass at all would imply that
our understanding of electricity and magnetism is wrong, and that
electric charge might not be conserved. That would be problem enough,
but a massive photon would also spell deep trouble for the second
postulate, as a photon with mass would not necessarily always travel
at the same speed. Feigenbaum's work shows how, contrary to many
physicists' beliefs, this need not be a problem for relativity."

http://groups.google.com/group/sci.p...d3ebf3b94d89ad
Tom Roberts: "As I said before, Special Relativity would not be
affected by a non-zero photon mass, as Einstein's second postulate is
not required in a modern derivation (using group theory one obtains
three related theories, two of which are solidly refuted
experimentally and the third is SR). So today's foundations of modern
physics would not be threatened.

http://arxiv.org/PS_cache/arxiv/pdf/...806.1234v1.pdf
Mitchell J. Feigenbaum: "In this paper, not only do I show that the
constant speed of light is unnecessary for the construction of the
theories of relativity, but overwhelmingly more, there is no room for
it in the theory. (...) We can make a few guesses. There is a
"villain" in the story, who, of course, is Newton."

Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND?

Pentcho Valev a écrit:

La dérationalisation implacable de la société scientifique française:

http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf
Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a
vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument
impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a
rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe
quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est
ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible !
Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si
demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne
va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours
à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne
verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il
pourrait exister des photons immobiles, et la différence est
essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est
rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure,
mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon
est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais
n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour
la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit
capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a
pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa
masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse
de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les
journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est
trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien
contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe
construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux
propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse
non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et
la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce
qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand
vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle
continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité
a plusieurs pieds."

Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND?

http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de
crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et
économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle
connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans
la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche
scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement
dit et la société au sens large."

Pentcho Valev

  #8  
Old April 18th 11, 09:21 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.amazon.com/Revisiting-Fou.../dp/1402012845
Jean Eisenstaedt: "...the intensity of the bending of light rays, in
the context of Newton's theory, is only half of what it is in general
relativity. But what is really important is that the effect of
deviation is actually present. I want to state clearly that this
prediction is coherent with the vision that one has then of the
corpuscule of light but also with Newton's theory of gravitation and
also with Galilean kinematics. A grain of light, as it was often
called then, might be accelerated or slowed down without question.
Actually, the idea of the constancy of the velocity of light came to
the fore at the end of the nineteenth century from numerous
experiments and observations..."

Jean Eisenstaedt, tout est bien expliqué mais pourquoi le mensonge à
la fin de votre texte? Les textes ci-dessous n'existent pas? N'ont
jamais existé? Ce sont des nontextes?

James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp.
39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant
aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre
les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par
exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à
un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la
vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la
lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière
se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à
l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui
d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par
rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une
certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister
sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA
LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT
AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE."

http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc
John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the
importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even
though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the
experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation,
has little force. Its null result happened to be fully compatible with
Newton's own emission theory of light. Located in the context of late
19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light
predominated, however, it presented a serious problem that exercised
the greatest theoretician of the day."

http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf
John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers
in finding source material, Stachel assembled the many small clues
that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of
light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the
Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of
relativity, whereas later writers almost universally use it as support
for the light postulate of special relativity. Even today, this point
needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible
with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT
POSTULATE."

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev

  #9  
Old April 19th 11, 06:53 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.techno-science.net/?ongle...efinition=2874
"Pour vérifier la relativité générale, une mesure de la déviation des
rayons lumineux aux alentours d'une masse, lors d'une éclipse solaire
est envisagée. La première expédition est programmée en 1915, mais est
rendue impossible par la Première Guerre mondiale. En 1919, Arthur
Eddington réalise la fameuse mesure. Il annonce que les résultats sont
conformes à la théorie d'Einstein. Il apparaît bien plus tard qu'en
raison du temps nuageux, la marge d'erreur était bien supérieure au
phénomène à mesurer. Stephen Hawking explique dans Une Brève histoire
du temps que ce genre de faux bon résultat est courant quand on sait à
quoi s'attendre. Comme entre temps d'autres mesures avaient confirmé
la déviation de la lumière, le prestige de la relativité générale n'en
fut pas ébranlé."

http://www.amazon.com/Revisiting-Fou.../dp/1402012845
Jean Eisenstaedt: "...the intensity of the bending of light rays, in
the context of Newton's theory, is only half of what it is in general
relativity. But what is really important is that the effect of
deviation is actually present. I want to state clearly that this
prediction is coherent with the vision that one has then of the
corpuscule of light but also with Newton's theory of gravitation and
also with Galilean kinematics. A grain of light, as it was often
called then, might be accelerated or slowed down without question."

Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka a confirmé la déviation de la
lumière prédite par la théorie de l'émission de Newton (Jean
Eisenstaedt: "...the intensity of the bending of light rays, in the
context of Newton's theory, is only half of what it is in general
relativity") ? Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka a confirmé la
déviation de la lumière prédite par la relativité générale ? Jean
Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein?
Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-
Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain
Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de
Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On en discutera en
France? Non? Jamais? Pourquoi? L'arrêtducrime toujours?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Pentcho Valev a écrit:

La vitesse de la lumière varie dans un champ de gravitation:

http://www.amazon.fr/Relativit%C3%A9.../dp/2228882542
Albert Einstein, "La Relativité":
"...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà
souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le
vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité
restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet,
la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse
de propagation de la lumière varie avec le lieu."

La fréquence varie avec le potentiel gravitationnel, phi, conformément
à l'équation:

f' = f(1+phi/c^2)

Cette équation est confirmée par l'expérience de Pound-Rebka. Or la
vitesse de la lumière varie proportionnellement à la fréquence:

(fréquence) = (vitesse de la lumière)/(longueur d'onde)

Donc, la vitesse de la lumière varie avec le potentiel gravitationnel
conformément à l'équation:

c' = c(1+phi/c^2)

L'équation c'=c(1+phi/c^2) appartient à la théorie de l'émission de
Newton. Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka confirme la théorie de
l'émission de Newton?

On peut montrer que l'énoncé "La vitesse de la lumière varie avec le
potentiel gravitationnel" est équivalent à l'énoncé "La vitesse de la
lumière varie avec la vitesse de la source émettrice", ce dernier
énoncé DIRECTEMENT (c'est-à-dire, sans l'aide d'hypothèses auxiliaires
ad hoc) confirmé par l'expérience de Michelson-Morley:

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

Pentcho Valev

  #10  
Old April 20th 11, 09:40 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://e2phy.in2p3.fr/2005/documents.../Klein_txt.pdf
Etienne Klein: "Vous vous souvenez sans doute de la controverse lancée
par certains auteurs français à l'occasion de l'Année Mondiale de la
Physique : ils prétendent que Poincaré a découvert la relativité avant
Einstein... Il est vrai que Poincaré avait le formalisme de la
relativité devant les yeux dès juin 1905, mais ce qui empêche que l'on
puisse dire qu'il est le « père de la relativité » est qu'il n'a pas
su reconnaître en ce formalisme une nouvelle théorie de l'espace et du
temps."

Cette nouvelle théorie de l'espace et du temps découle du principe de
la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905.
D'un autre côté, cette nouvelle théorie de l'espace et du temps dit
que "le temps est une illusion", ce que vous, Etienne Klein, et John
Norton n'acceptez plus. Alors? Arrêtducrime toujours?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Pentcho Valev a écrit:

Le temps est une illusion, selon la relativité einsteinienne:

http://www.psycho-energie.fr/double/...hibault-damour
Thibault Damour: "Certains préféreraient penser que même si le
formalisme mathématique explique bien le monde observé, il ne doit pas
être confondu avec "la vraie réalité". Le formalisme de la relativité
einsteinienne dit que le temps est une illusion..."

Le temps n'est pas une illusion:

http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf
John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une
illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les
théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on
excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il
n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion."

http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc
Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour
développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon
lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre
sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que
nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de
sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la
physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la
notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système
constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que
la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes
complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui
gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur
mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre
psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons,
poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le
haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un
bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient
que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou
d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de
nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à
considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un
produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est
en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les
faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie
de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué
dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux
temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et
futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que
différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids
ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé
ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et
d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui
a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de
l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale :
la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient,
l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux
temporel."

Supposons que John Norton et Etienne Klein aient raison - le temps
n'est pas une illusion. Quelles sont les implications? Jean
Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein?
Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-
Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain
Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de
Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? La théorie einsteinienne
est vraie, toujours vraie, très vraie, absolument vraie? Une autre
implication? La vitesse de la lumière est constante, toujours
constante, très constante, absolument constante? Une autre
implication? Aucune? On discutera du thème "Le temps est une illusion:
une conséquence du principe de la constance de la vitesse de la
lumière avancé par Einstein en 1905" en France? Non? Jamais?
Pourquoi?

Pentcho Valev

 




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