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EINSTEINIANA: LA DÉRATIONALISATION DE L'ESPRIT HUMAIN



 
 
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  #1  
Old April 2nd 11, 07:28 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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http://www.pauljorion.com/blog/?p=3526
Henri-François Defontaines: "Il semblerait qu'Einstein partageait mon
avis, puisque pour résoudre ce paradoxe, il disait que la symétrie
relativiste (de la relativité restreinte) était brisée pendant la
phase de demi-tour. Le jumeau voyageur avait ressenti l'accélération
lié au demi-tour (il s'était senti plaqué sur son siège, ou plus
lourd), le sédentaire ne l'avait pas ressenti (il ne s'était senti
plaqué sur son siège ou plus lourd à aucun moment), ce qui expliquait
que le voyageur revenait physiquement plus jeune que le sédentaire.
Ainsi, même pour Einstein (dont pourtant je ne partage pas certaines
idées), la différence d'âge qui était purement observationnelle durant
le voyage à vitesse constante devenait physique lorsque les jumeaux se
retrouvaient en raison de l'accélération subie par le voyageur. Ce qui
est vrai pour la dilatation du temps (d'après Einstein) doit être vrai
pour la contraction des longueurs. Si l'accélération a rendu
physiquement le voyageur plus jeune que le sédentaire, on doit pouvoir
en conclure que l'accélération a physiquement contracté le segment.
Ainsi, si un observateur du référentiel fixe observe que le segment
est contracté par l'accélération, il en conclu que la contraction est
de nature physique..."

http://inac.cea.fr/Phocea/file.php?f...343/t343_1.pdf
Gilles Cohen-Tannoudji: "Chez Poincaré, la contraction des longueurs
et la dilatation des durées sont réelles.....Chez Einstein, la
contraction des longueurs et la dilatation des durées ne sont pas
réelles: elles sont le résultat d'un effet de perspective."

http://www.youtube.com/watch?v=VSRIy...related&search
Einsteinians trap long trains inside short tunnels

http://math.ucr.edu/home/baez/physic...barn_pole.html
"These are the props. You own a barn, 40m long, with automatic doors
at either end, that can be opened and closed simultaneously by a
switch. You also have a pole, 80m long, which of course won't fit in
the barn. Now someone takes the pole and tries to run (at nearly the
speed of light) through the barn with the pole horizontal. Special
Relativity (SR) says that a moving object is contracted in the
direction of motion: this is called the Lorentz Contraction. So, if
the pole is set in motion lengthwise, then it will contract in the
reference frame of a stationary observer.....So, as the pole passes
through the barn, there is an instant when it is completely within the
barn. At that instant, you close both doors simultaneously, with your
switch. Of course, you open them again pretty quickly, but at least
momentarily you had the contracted pole shut up in your barn. The
runner emerges from the far door unscathed.....If the doors are kept
shut the rod will obviously smash into the barn door at one end. If
the door withstands this the leading end of the rod will come to rest
in the frame of reference of the stationary observer. There can be no
such thing as a rigid rod in relativity so the trailing end will not
stop immediately and the rod will be compressed beyond the amount it
was Lorentz contracted. If it does not explode under the strain and it
is sufficiently elastic it will come to rest and start to spring back
to its natural shape but since it is too big for the barn the other
end is now going to crash into the back door and the rod will be
trapped IN A COMPRESSED STATE inside the barn."

http://master-p6.obspm.fr/relat/anne...atTD1_1011.pdf
Université Pierre et Marie Curie
"La situation est la suivante : un perchiste se saisit d'une perche
mesurant 10 m, puis il s'élance en direction d'une grange mesurant 5 m
de profondeur et percée de deux portes A et B (cf fig. 0.1). On
suppose que le perchiste se déplace à une vitesse constante v telle
que gamma = 2. Le paradoxe est le suivant : le perchiste a une perche
de 10 m et voit une grange de longueur 5/gamma = 2,5 m, donc la perche
ne rentre pas. De son côté, la grange voit une perche de longueur 10/
gamma = 5 m, donc la perche rentre. Finalement, est-ce que la perche
rentre dans la grange ? Que se passe-t-il si on ferme la porte en B?
(...) ...lorsque le bout P atteint la porte fermée en B, l'autre bout
de la barre n'est pas encore au courant et la perche se contracte très
fortement, jusqu'à ce que l'information que B est fermée se propage,
via des ondes acoustiques, le long de la barre jusqu'en P."

http://www.quebecscience.qc.ca/Revolutions
"Cependant, si une fusée de 100 m passait devant nous à une vitesse
proche de celle de la lumière, elle pourrait sembler ne mesurer que 50
m, ou même moins. Bien sûr, la question qui vient tout de suite à
l'esprit est: «Cette contraction n'est-elle qu'une illusion?» Il
semble tout à fait incroyable que le simple mouvement puisse comprimer
un objet aussi rigide qu'une fusée. Et pourtant, la contraction est
réelle... mais SANS COMPRESSION physique de l'objet! Ainsi, une fusée
de 100 m passant à toute vitesse dans un tunnel de 60 m pourrait être
entièrement contenue dans ce tunnel pendant une fraction de seconde,
durant laquelle il serait possible de fermer des portes aux deux
bouts! La fusée est donc réellement plus courte. Pourtant, il n'y a
PAS DE COMPRESSION matérielle ou physique de l'engin. Comment est-ce
possible?"

http://www.academie-sciences.fr/memb...ein_Damour.pdf
Thibault Damour: "La "contraction des longueurs" avait, avant
Einstein, été considérée par George Fitzgerald et Hendrik Lorentz.
Cependant, ils la considéraient comme un effet "réel" de contraction
dans l' "espace absolu", alors que pour Einstein il s'agit d'un effet
de perspective spatio-temporelle."

http://alcor.concordia.ca/~scol/semi...ts/Durand.html
"La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans
déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une
illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est
plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être
contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par
contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche,
i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa
longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se
mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche.
Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi-
même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas
une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les
deux cas)."

http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html
"The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon
l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé.

Après avoir appris tout ça, l'esprit humain est prêt à chanter:

http://www.haverford.edu/physics/songs/divine.htm
No-one's as dee-vine as Albert Einstein
Not Maxwell, Curie, or Bohr!
He explained the photo-electric effect,
And launched quantum physics with his intellect!
His fame went glo-bell, he won the Nobel --
He should have been given four!
No-one's as dee-vine as Albert Einstein,
Professor with brains galore!
No-one could outshine Professor Einstein --
Egad, could that guy derive!
He gave us special relativity,
That's always made him a hero to me!
Brownian motion, my true devotion,
He mastered back in aught-five!
No-one's as dee-vine as Albert Einstein,
Professor in overdrive!

http://www.youtube.com/watch?v=5PkLLXhONvQ
We all believe in relativity, relativity, relativity.
Yes we all believe in relativity, 8.033, relativity.
Einstein's postulates imply
That planes are shorter when they fly.
Their clocks are slowed by time dilation
And look warped from aberration.
We all believe in relativity, relativity, relativity.
Yes we all believe in relativity, 8.033, relativity.

Pentcho Valev

  #2  
Old April 2nd 11, 08:52 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://www-cosmosaf.iap.fr/Paradoxe%...ngevinpres.htm
Institut d'Astrophysique de Paris:
"FAQ 1 : Les contractions d'espace et de temps de la RR sont elles
réelles ?
Réponse habituelle : Non !
Réponse plus correcte : Cette question n'a pas de sens en RR : Réelles
par rapport à quoi, puisqu'il n'y a pas d'espace absolu ?
........................................
FAQ3: N'est ce pas gênant de ne pas pouvoir définir de contraction
absolue du temps et de l'espace ?
Réponse: Non, cela signifie simplement que la RR suppose que ces
critères ne correspondent à aucun caractère physique ( mesurable)"

L'esprit humain chante toujours mais l'extase augmente: les croyants
tombent sur le plancher en se déchirant les vêtements et en se tordant
dans des convulsions.

Pentcho Valev

  #3  
Old April 3rd 11, 07:35 AM posted to sci.astro,sci.math
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Einsteiniana: Il ne peut y avoir aucune accélération des photons dans
un champ de gravitation (la vitesse de la lumière est constante):

http://www.parutions.com/pages/1-85-428-3935.html
Joao Magueijo, PLUS VITE QUE LA LUMIERE, Dunod, 2003, p. 50:
"En cours de route, en 1911, Einstein proposa même une théorie où la
vitesse de la lumière variait! Aujourd'hui, les scientifiques sont
soit horrifiés par cette article écrit par le grand Albert Einstein,
alors professeur à Prague, soit tout simplement ignorants de son
existence. Banesh Hoffmann, collègue et biographe d'Einstein, décrit
ce texte de la manière suivante: "Et cela signifie... Quoi? Que la
vitesse de la lumière n'est pas constante, que la gravitation la
ralentit. Hérésie! Et de la part d'Einstein lui-même."

http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php...ile_748_0_.pdf
Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir
comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister.
(...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en
attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement,
de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils
étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être
accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire
jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet
que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne
peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner
ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse."

http://www.amazon.ca/UNE-BR%C3%88VE-.../dp/2290006459
Stephen Hawking: "En fait, il n'est pas très logique de traiter la
lumière comme on le fait des boulets de canon dans la théorie
newtonienne de la gravitation simplement parce que sa vitesse est
fixée. (Un boulet de canon tiré verticalement sera ralenti par la
gravité, s'arrêtera finalement et retombera; un photon, lui,
continuera sa course verticale à vitesse constante.)"

http://www.amazon.fr/gp/product/2738...668551-5396107
Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait
toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle
impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie
par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de
corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de
la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et
indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle
passerait !"

Einsteiniana: Toutes les versions de la relativité générale
établissent qu'il y a une accélération des photons dans un champ de
gravitation (la vitesse de la lumière est variable):

Albert Einstein "La Relativité" 1920:
"...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà
souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le
vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité
restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet,
la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse
de propagation de la lumière varie avec le lieu."

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace. Cette conception ERRONEE, MAIS
CEPENDANT FRUCTUEUSE, permit à Einstein d'élargir sa théorie de la
relativité restreinte."

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-...ve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."

http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]. If this were
not so, there would be no bending of light by the gravitational field
of stars....Indeed, this is exactly how Einstein did the calculation
in: 'On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light,'
Annalen der Physik, 35, 1911. which predated the full formal
development of general relativity by about four years. This paper is
widely available in English. You can find a copy beginning on page 99
of the Dover book 'The Principle of Relativity.' You will find in
section 3 of that paper, Einstein's derivation of the (variable) speed
of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is,
c' = c0 ( 1 + V / c^2 )
where V is the gravitational potential relative to the point where the
speed of light c0 is measured."

http://www.mathpages.com/rr/s6-01/6-01.htm
"In geometrical units we define c_0 = 1, so Einstein's 1911 formula
can be written simply as c=1+phi. However, this formula for the speed
of light (not to mention this whole approach to gravity) turned out to
be incorrect, as Einstein realized during the years leading up to 1915
and the completion of the general theory. In fact, the general theory
of relativity doesn't give any equation for the speed of light at a
particular location, because the effect of gravity cannot be
represented by a simple scalar field of c values. Instead, the "speed
of light" at a each point depends on the direction of the light ray
through that point, as well as on the choice of coordinate systems, so
we can't generally talk about the value of c at a given point in a non-
vanishing gravitational field. However, if we consider just radial
light rays near a spherically symmetrical (and non- rotating) mass,
and if we agree to use a specific set of coordinates, namely those in
which the metric coefficients are independent of t, then we can read a
formula analogous to Einstein's 1911 formula directly from the
Schwarzschild metric. (...) In the Newtonian limit the classical
gravitational potential at a distance r from mass m is phi=-m/r, so if
we let c_r = dr/dt denote the radial speed of light in Schwarzschild
coordinates, we have c_r =1+2phi, which corresponds to Einstein's 1911
equation, except that we have a factor of 2 instead of 1 on the
potential term."

http://www.speed-light.info/speed_of_light_variable.htm
"Einstein wrote this paper in 1911 in German (download from:
http://www.physik.uni-augsburg.de/an...35_898-908.pdf
). It predated the full formal development of general relativity by
about four years. You can find an English translation of this paper in
the Dover book 'The Principle of Relativity' beginning on page 99; you
will find in section 3 of that paper Einstein's derivation of the
variable speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The
result is: c'=c0(1+phi/c^2) where phi is the gravitational potential
relative to the point where the speed of light co is measured......You
can find a more sophisticated derivation later by Einstein (1955) from
the full theory of general relativity in the weak field
approximation....For the 1955 results but not in coordinates see page
93, eqn (6.28): c(r)=[1+2phi(r)/c^2]c. Namely the 1955 approximation
shows a variation in km/sec twice as much as first predicted in
1911."

L'extase parmi les croyants augmente toujours mais en un certain
moment elle est remplacée par une dépression profonde: les croyants
restent immobiles sur le plancher et la seule chanson dont ils se
souviennent dit: "You are lost You can never go home You are lost You
can never go home":

http://www.youtube.com/watch?v=CIYfoeBOhTU
Where once was light
Now darkness falls
Where once was love
Love is no more
..................................
These tears you cry
Have come too late
Take back the lies
The hurt, the blame
And you will weep
When you face the end alone
You are lost
You can never go home
You are lost
You can never go home.

Pentcho Valev

  #4  
Old April 5th 11, 09:48 AM posted to sci.astro,sci.math
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Un esprit qui n'est pas complètement dérationalisé:

http://forums.futura-sciences.com/ph...on-morley.html
"Interpretation de l'expérience de Michelson-Morley. Cette experience
nie l'existance de l'éther conjugé à l'utilisation de la relativité
galiléenne. Mais qu'est qui pousse alors Einstein a supposer que la
vitesse de la lumiere est invariante dans tt refs inertiels? Ou encore
Lorentz à s'acrocher a l'existance de l'ether en lui aportant des
propriétés particulières? Ces deux interprétations ont été
effectivement fructueuses pour ce qui est de la confrontation a
l'exprérimentation. Mais y a il eu a l'époque des interprétation niant
l'existance de l'ether, et suposant que la vitesse de la lumière
dépendait de la vitesse de la source (l'experience de Michelson-Morley
étant parfaitement compatible avec une vision corpusculaire de la
lumiere et une utilisation de la relativité galiléenne) ? Et pourquoi
ces théories, même a l'époque ou les conséquence de la relativité
restreinte ou de l'utilisation des transfo de Lorentz (ex: paradoxe de
Langevin) ne pouvaient etre testé, ont elles été abandonés?"

Pentcho Valev

  #5  
Old April 5th 11, 02:19 PM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=21075
"Cet enseignant contestataire a toujours été un scientifique
orthodoxe. Jean-Marc Lévy-Leblond ne professe aucune position
iconoclaste. « Je ne sabote pas l'institution, je suis juste à côté et
j'ai toujours pris garde à ne pas me laisser déporter. » Aucune
tentation, chez lui, de jouer les Galilée bravant l'Inquisition,
aucune indulgence pour des théories comme la fusion froide ou la
mémoire de l'eau."

Quid de la théorie de l'émission de Newton, Jean-Marc Lévy-Leblond?
Aucune indulgence toujours?

http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=10745
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un siècle après son émergence, la théorie de
la relativité est encore bien mal comprise - et pas seulement par les
profanes ! Le vocable même qui la désigne (« relativité ») est fort
inadéquat. Ses énoncés courants abondent en maladresses sémantiques,
et donc en confusions épistémologiques. Paradoxe majeur, cette
théorie, présentée comme un sommet de la modernité scientifique, garde
de nombreux traits primitifs. Or, de récentes recherches montrent
éloquemment qu'un sérieux approfondissement de ses concepts et de ses
formulations peut résulter du retour à ses origines, avant même
Einstein. Déjà le principe de relativité se comprend mieux si on le
détache de la forme nouvelle qu'il prit après Lorentz, Poincaré et
Einstein, pour le ressourcer chez Galilée et Descartes. Mais surtout,
l'examen de nombreux travaux des XVIIe et XVIIIe siècles, injustement
oubliés, met en évidence une théorie particulaire de la lumière, en
germe dans la physique newtonienne, qui ouvre des voies d'approche
négligées vers la théorie moderne. Ces considérations contrebalancent
utilement le point de vue ondulatoire traditionnel, et allègent ses
difficultés."

http://www.passiondulivre.com/livre-...ravitation.htm
"Étrangement, personne n'est jamais vraiment allé voir ce que l'on en
pensait «avant», avant Einstein, avant Poincaré, avant Maxwell.
Pourtant, quelques savants austères et ignorés, John Michell, Robert
Blair et d'autres encore, s'y sont intéressés, de très près.
Newtoniens impénitents, ces «philosophes de la nature» ont tout
simplement traité la lumière comme faite de vulgaires particules
matérielles : des «corpuscules lumineux». Mais ce sont gens sérieux et
ils se sont basés sur leurs Classiques, Galilée, Newton et ses
Principia où déjà l'on trouve des idées intéressantes. À la fin du
XVIIIe siècle, au siècle des Lumières (si bien nommé en
l'occurrence !), en Angleterre, en Écosse, en Prusse et même à Paris,
une véritable balistique de la lumière sous-tend silencieusement la
théorie de l'émission, avatar de la théorie corpusculaire de la
lumière de Newton. Lus à la lumière (!) des théories aujourd'hui
acceptées, les résultats ne sont pas minces. (...) Les «relativités»
d'Einstein, cinématique einsteinienne et théorie de la gravitation,
ont la triste réputation d'être difficiles... Ne remettent-elles pas
en cause des notions familières ? Leur «refonte» est d'autant plus
nécessaire. Cette préhistoire en est un nouvel acte qui offre un autre
chemin vers ces théories délicates. Mais ce chemin, aussi long soit-
il, est un raccourci, qu'il est temps, cent ans après «la» relativité
d'Einstein, de découvrir et d'explorer."

http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/...40/pgs/4_5.pdf
Jean Eisenstaedt: "Il n'y a alors aucune raison théorique à ce que la
vitesse de la lumière ne dépende pas de la vitesse de sa source ainsi
que de celle de l'observateur terrestre ; plus clairement encore, il
n'y a pas de raison, dans le cadre de la logique des Principia de
Newton, pour que la lumière se comporte autrement - quant à sa
trajectoire - qu'une particule matérielle. Il n'y a pas non plus de
raison pour que la lumière ne soit pas sensible à la gravitation.
Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute la théorie
newtonienne ? C'est en fait ce que font plusieurs astronomes,
opticiens, philosophes de la nature à la fin du XVIIIème siècle. Les
résultats sont étonnants... et aujourd'hui nouveaux. (...) Même s'il
était conscient de l'intérêt de la théorie de l'émission, Einstein n'a
pas pris le chemin, totalement oublié, de Michell, de Blair, des
Principia en somme. Le contexte de découverte de la relativité
ignorera le XVIIIème siècle et ses racines historiques plongent au
coeur du XIXème siècle. Arago, Fresnel, Fizeau, Maxwell, Mascart,
Michelson, Poincaré, Lorentz en furent les principaux acteurs et
l'optique ondulatoire le cadre dans lequel ces questions sont posées.
Pourtant, au plan des structures physiques, l'optique relativiste des
corps en mouvement de cette fin du XVIIIème est infiniment plus
intéressante - et plus utile pédagogiquement - que le long cheminement
qu'a imposé l'éther."

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-...ve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."

Jean-Marc Lévy-Leblond, imaginez que, par miracle, on se met à
discuter de la théorie de l'émission de Newton, disons sur ce forum
qui est en train de mourir pour le moment:

http://iramis.cea.fr/Phocea/Vie_des_...php?id_ast=761
Foundations of Physics in Greater Paris / Fondements de la physique en
région parisienne

Est-ce que cette discussion provoquera une dérationalisation
additionnelle de l'esprit scientifique en France? Ou bien une
rérationalisation? Ou bien: Aucune discussion, aucun problème?
(Staline: Aucun homme, aucun problème.)

Pentcho Valev

  #6  
Old April 6th 11, 07:54 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.science.gouv.fr/fr/dossie...tivite-au-gps/
Science.gouv.fr: "Une contradiction interne à la physique était
apparue à la fin du XIXè siècle : la théorie électromagnétique de
Maxwell se révélait incompatible avec la relativité de Galilée-Newton
selon laquelle le mouvement rectiligne-uniforme - c'est-à-dire sans
accélération - est comme le repos. Selon ce principe de parfaite
relativité d'un tel mouvement - appelé aussi inertiel - aucune
expérience réalisée à l'intérieur d'un wagon non accéléré ne devrait
permettre de déterminer la vitesse du wagon, dans la mesure où la
vitesse n'est pas une notion absolue mais relative. Or, la théorie de
Maxwell indiquait qu'à l’aide d'une onde électromagnétique on devait
pouvoir déterminer la vitesse (donc absolue) du wagon. Il fallait donc
soit modifier - voire abandonner - la théorie de Maxwell ou celle de
Galilée-Newton. Einstein est préoccupé par cette affaire."

Selon la théorie électromagnetique de Maxwell, la vitesse de la
lumière dépend de la vitesse de l'observateur. Selon la théorie de
Galilée-Newton, la vitesse de la lumière dépend de la vitesse de
l'émetteur. Selon la relativité restreinte d'Einstein, la vitesse de
la lumière ne dépend ni de la vitesse de l'observateur ni de la
vitesse de l'émetteur. Einstein a abandonné quoi, Alexandre Moatti -
la théorie de Maxwell, celle de Galilée-Newton ou toutes les deux?

http://www.futura-sciences.com/fr/do...509/c3/221/p5/
"Les équations de Maxwell prévoyaient la propagation de la lumière à
la vitesse de 300.000 km/s par rapport à l'éther. Or, si l'on cherche
à calculer la vitesse de la lumière par rapport à un référentiel qui
est lui-même mobile dans l'éther, on observe que la lumière se propage
avec une VITESSE DIFFERENTE..."

http://culturesciencesphysique.ens-l..._CSP_relat.xml
Gabrielle Bonnet, École Normale Supérieure de Lyon: "Les équations de
Maxwell font en particulier intervenir une constante, c, qui est la
vitesse de la lumière dans le vide. Par un changement de référentiel
classique, si c est la vitesse de la lumière dans le vide dans un
premier référentiel, et si on se place désormais dans un nouveau
référentiel en translation par rapport au premier à la vitesse
constante v, la lumière devrait désormais aller à la vitesse c-v si
elle se déplace dans la direction et le sens de v, et à la vitesse c+v
si elle se déplace dans le sens contraire."

http://www.amazon.com/Brief-History-.../dp/0553380168
Stephen Hawking: "Maxwell's theory predicted that radio or light waves
should travel at a certain fixed speed. But Newton's theory had got
rid of the idea of absolute rest, so if light was supposed to travel
at a fixed speed, one would have to say what that fixed speed was to
be measured relative to. It was therefore suggested that there was a
substance called the "ether" that was present everywhere, even in
"empty" space. Light waves should travel through the ether as sound
waves travel through air, and their speed should therefore be relative
to the ether. Different observers, moving relative to the ether, would
see light coming toward them at different speeds, but light's speed
relative to the ether would remain fixed."

http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/Chasing.pdf
John Norton: "Finally, in an apparent eagerness to provide a seamless
account, an author may end up misstating the physics. Kaku (2004, p.
45) relates how Einstein found that his aversion to frozen light was
vindicated when he later learned Maxwell's theory:
Kaku: "When Einstein finally learned Maxwell's equations, he could
answer the question that was continually on his mind. As he suspected,
he found that there were no solutions of Maxwell's equations in which
light was frozen in time. But then he discovered more. To his
surprise, he found that in Maxwell's theory, light beams always
traveled at the same velocity, no matter how fast you moved."
This is supposedly what Einstein learned as a student at the Zurich
Polytechnic, where he completed his studies in 1900, well before the
formulation of the special theory of relativity. Yet the results
described are precisely what is not to be found in the ether based
Maxwell theory Einstein would then have learned. That theory allows
light to slow and be frozen in the frame of reference of a
sufficiently rapidly moving observer."

http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc
John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the
importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even
though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the
experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation,
has little force. Its null result happened to be fully compatible with
Newton's own emission theory of light. Located in the context of late
19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light
predominated, however, it presented a serious problem that exercised
the greatest theoretician of the day."

http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf
John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers
in finding source material, Stachel assembled the many small clues
that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of
light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the
Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of
relativity, whereas later writers almost universally use it as support
for the light postulate of special relativity. Even today, this point
needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible
with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT
POSTULATE."

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

http://www.amazon.fr/Introduction-re...dp/B000YZAES4/
Introduction à la relativité
James Hammond Smith (Auteur), Jean-Marc Lévy-Leblond (Auteur),
Philippe Brenier (Auteur), Guy Plaut (Auteur)
"Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux
lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les
résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par
exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à
un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la
vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la
lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière
se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à
l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui
d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par
rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une
certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister
sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA
LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT
AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE."

Pentcho Valev

  #7  
Old April 6th 11, 08:42 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/...38/pgs/7_8.pdf
Gilles COHEN-TANNOUDJI: "Pour rendre compatibles le principe de
relativité, selon lequel les lois de la nature s'expriment de la même
façon dans des référentiels inertiels en mouvement relatif rectiligne
et uniforme, et le principe d'invariabilité de la vitesse de la
lumière, Einstein a dû procéder à une véritable refondation de la
mécanique, remettant en cause la conception de la matière, de l'espace
et du temps. C’est maintenant l'énergie et non la masse qui joue le
rôle de caractéristique la plus fondamentale de la matière : la
lumière est une matière, mais c'est une matière qui a de l'énergie
sans avoir de masse."

http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php...ile_748_0_.pdf
Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir
comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister.
(...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en
attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement,
de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils
étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être
accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire
jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet
que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne
peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner
ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse."

Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne Klein, est-ce qu'il y a une
accélération des photons dans un champ de gravitation? Est-ce que les
photons et les boulets de canon subissent la même accélération?

http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]. If this were
not so, there would be no bending of light by the gravitational field
of stars....Indeed, this is exactly how Einstein did the calculation
in: 'On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light,'
Annalen der Physik, 35, 1911. which predated the full formal
development of general relativity by about four years. This paper is
widely available in English. You can find a copy beginning on page 99
of the Dover book 'The Principle of Relativity.' You will find in
section 3 of that paper, Einstein's derivation of the (variable) speed
of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is,
c' = c0 ( 1 + V / c^2 )
where V is the gravitational potential relative to the point where the
speed of light c0 is measured."

http://www.mathpages.com/rr/s6-01/6-01.htm
"In geometrical units we define c_0 = 1, so Einstein's 1911 formula
can be written simply as c=1+phi. However, this formula for the speed
of light (not to mention this whole approach to gravity) turned out to
be incorrect, as Einstein realized during the years leading up to 1915
and the completion of the general theory. In fact, the general theory
of relativity doesn't give any equation for the speed of light at a
particular location, because the effect of gravity cannot be
represented by a simple scalar field of c values. Instead, the "speed
of light" at a each point depends on the direction of the light ray
through that point, as well as on the choice of coordinate systems, so
we can't generally talk about the value of c at a given point in a non-
vanishing gravitational field. However, if we consider just radial
light rays near a spherically symmetrical (and non- rotating) mass,
and if we agree to use a specific set of coordinates, namely those in
which the metric coefficients are independent of t, then we can read a
formula analogous to Einstein's 1911 formula directly from the
Schwarzschild metric. (...) In the Newtonian limit the classical
gravitational potential at a distance r from mass m is phi=-m/r, so if
we let c_r = dr/dt denote the radial speed of light in Schwarzschild
coordinates, we have c_r =1+2phi, which corresponds to Einstein's 1911
equation, except that we have a factor of 2 instead of 1 on the
potential term."

http://www.speed-light.info/speed_of_light_variable.htm
"Einstein wrote this paper in 1911 in German (download from:
http://www.physik.uni-augsburg.de/an...35_898-908.pdf
). It predated the full formal development of general relativity by
about four years. You can find an English translation of this paper in
the Dover book 'The Principle of Relativity' beginning on page 99; you
will find in section 3 of that paper Einstein's derivation of the
variable speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The
result is: c'=c0(1+phi/c^2) where phi is the gravitational potential
relative to the point where the speed of light co is measured......You
can find a more sophisticated derivation later by Einstein (1955) from
the full theory of general relativity in the weak field
approximation....For the 1955 results but not in coordinates see page
93, eqn (6.28): c(r)=[1+2phi(r)/c^2]c. Namely the 1955 approximation
shows a variation in km/sec twice as much as first predicted in 1911."

George Orwell explique pourquoi Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne
Klein ne répondront jamais:

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Pentcho Valev

  #8  
Old April 6th 11, 09:37 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://media4.obspm.fr/public/AMC/pa...b-doppler.html
"En raison de l'invariance de la vitesse de la lumière et du fait
qu'une onde sonore nécessite un milieu matériel pour se propager, le
décalage vers le rouge ne se fait pas exactement de la même façon pour
une onde lumineuse ou sonore. En particulier, pour une onde sonore
usuelle l'effet Doppler n'affecte pas la longueur d'onde (mais juste
la fréquence, celle-ci étant changée différemment selon si c'est la
source ou l'observateur qui bouge par rapport au milieu de propagation
de l'onde, l'air pour le son), alors que pour une onde lumineuse les
deux sont changées afin que la relation (longueur d'onde)=(vitesse de
la lumière)/(fréquence) reste valable."

C'est stupide? Idiot? Génial? L'observateur en mouvement ne peut pas
changer la longueur de l'onde sonore qui vient vers lui mais peut
changer la longueur de l'onde lumineuse?

http://www.hep.man.ac.uk/u/roger/PHY.../lecture18.pdf
Roger Barlow: "Now suppose the source is fixed but the observer is
moving towards the source, with speed v. In time t, ct/(lambda) waves
pass a fixed point. A moving point adds another vt/(lambda). So f'=(c
+v)/(lambda)."

http://www-physics.ucsd.edu/students.../lecture16.pdf
Convention we will choose:
u = velocity of observer or source
v = velocity of wave
Moving Observer
Observer approaching: f'=(1/T')=(v+u)/(lambda)
Observer receding: f'=(1/T')=(v-u)/(lambda)

http://www.expo-db.be/ExposPrecedent...%20Doppler.pdf
6. Source immobile - Observateur en mouvement
La distance entre les crêtes, la longueur d'onde lambda ne change pas.
Mais la vitesse des crêtes par rapport à l'observateur change !
L'observateur se rapproche de la source
f' = V'/(lambda)
f' = f (1 + Vo/V)
L'observateur s'éloigne de la source
f' = f (1 - Vo/V)

http://www.eng.uwi.tt/depts/elec/sta...relativity.pdf
The Invalidation of a Sacred Principle of Modern Physics
Stephan J.G. Gift
"For a stationary observer O, the stationary light source S emits
light at speed c, wavelength Lo, and frequency Fo given by Fo=c/Lo. If
the observer moves toward S at speed v, then again based on classical
analysis, the speed of light relative to the moving observer is (c +
v) and not c as required by Einstein's law of light propagation. Hence
the observer intercepts wave-fronts of light at a frequency fA, which
is higher than Fo, as is observed, and is given by fA = (c+v)/Lo Fo.
(...) In light of this elementary result invalidating STR, it is
difficult to understand why this invalid theory has been (and
continues to be) accepted for the past 100 years."

Pentcho Valev

  #9  
Old April 7th 11, 08:23 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://thescientist.over-blog.net/ar...-46556363.html
"Et cette relativité restreinte s'applique également aux longueurs (à
l'espace). Si la vitesse d'un objet est grande, ses longueurs se
contractent. Une règle de 30 cm lancée à très grande vitesse en
paraîtrait beaucoup moins pour un observateur extérieur, alors que
pour un observateur se déplaçant avec la règle, elle fera toujours 30
cm. Cette relativité restreinte est quelque chose de très difficile à
comprendre au début, elle peut paraître déroutante, mais lorsqu'on a
compris comment cela fonctionne, il est très amusant d'imaginer toutes
les aberrations possibles."

Au début, l'esprit humain n'est pas encore dérationalisé mais en fin
de compte tout sens de rationalité disparaît ("on a compris comment
cela fonctionne") et les Einsteiniens n'ont qu'à s'amuser à imaginer
les "aberrations" (idioties):

http://www.pauljorion.com/blog/?p=3526
Henri-François Defontaines: "Il semblerait qu'Einstein partageait mon
avis, puisque pour résoudre ce paradoxe, il disait que la symétrie
relativiste (de la relativité restreinte) était brisée pendant la
phase de demi-tour. Le jumeau voyageur avait ressenti l'accélération
lié au demi-tour (il s'était senti plaqué sur son siège, ou plus
lourd), le sédentaire ne l'avait pas ressenti (il ne s'était senti
plaqué sur son siège ou plus lourd à aucun moment), ce qui expliquait
que le voyageur revenait physiquement plus jeune que le sédentaire.
Ainsi, même pour Einstein (dont pourtant je ne partage pas certaines
idées), la différence d'âge qui était purement observationnelle durant
le voyage à vitesse constante devenait physique lorsque les jumeaux se
retrouvaient en raison de l'accélération subie par le voyageur. Ce qui
est vrai pour la dilatation du temps (d'après Einstein) doit être vrai
pour la contraction des longueurs. Si l'accélération a rendu
physiquement le voyageur plus jeune que le sédentaire, on doit pouvoir
en conclure que l'accélération a physiquement contracté le segment.
Ainsi, si un observateur du référentiel fixe observe que le segment
est contracté par l'accélération, il en conclu que la contraction est
de nature physique..."

http://inac.cea.fr/Phocea/file.php?f...343/t343_1.pdf
Gilles Cohen-Tannoudji: "Chez Poincaré, la contraction des longueurs
et la dilatation des durées sont réelles.....Chez Einstein, la
contraction des longueurs et la dilatation des durées ne sont pas
réelles: elles sont le résultat d'un effet de perspective."

http://www.youtube.com/watch?v=VSRIy...related&search
Einsteinians trap long trains inside short tunnels

http://math.ucr.edu/home/baez/physic...barn_pole.html
"These are the props. You own a barn, 40m long, with automatic doors
at either end, that can be opened and closed simultaneously by a
switch. You also have a pole, 80m long, which of course won't fit in
the barn. Now someone takes the pole and tries to run (at nearly the
speed of light) through the barn with the pole horizontal. Special
Relativity (SR) says that a moving object is contracted in the
direction of motion: this is called the Lorentz Contraction. So, if
the pole is set in motion lengthwise, then it will contract in the
reference frame of a stationary observer.....So, as the pole passes
through the barn, there is an instant when it is completely within the
barn. At that instant, you close both doors simultaneously, with your
switch. Of course, you open them again pretty quickly, but at least
momentarily you had the contracted pole shut up in your barn. The
runner emerges from the far door unscathed.....If the doors are kept
shut the rod will obviously smash into the barn door at one end. If
the door withstands this the leading end of the rod will come to rest
in the frame of reference of the stationary observer. There can be no
such thing as a rigid rod in relativity so the trailing end will not
stop immediately and the rod will be compressed beyond the amount it
was Lorentz contracted. If it does not explode under the strain and it
is sufficiently elastic it will come to rest and start to spring back
to its natural shape but since it is too big for the barn the other
end is now going to crash into the back door and the rod will be
trapped IN A COMPRESSED STATE inside the barn."

http://master-p6.obspm.fr/relat/anne...atTD1_1011.pdf
Université Pierre et Marie Curie
"La situation est la suivante : un perchiste se saisit d'une perche
mesurant 10 m, puis il s'élance en direction d'une grange mesurant 5 m
de profondeur et percée de deux portes A et B (cf fig. 0.1). On
suppose que le perchiste se déplace à une vitesse constante v telle
que gamma = 2. Le paradoxe est le suivant : le perchiste a une perche
de 10 m et voit une grange de longueur 5/gamma = 2,5 m, donc la perche
ne rentre pas. De son côté, la grange voit une perche de longueur 10/
gamma = 5 m, donc la perche rentre. Finalement, est-ce que la perche
rentre dans la grange ? Que se passe-t-il si on ferme la porte en B?
(...) ...lorsque le bout P atteint la porte fermée en B, l'autre bout
de la barre n'est pas encore au courant et la perche se contracte très
fortement, jusqu'à ce que l'information que B est fermée se propage,
via des ondes acoustiques, le long de la barre jusqu'en P."

http://www.quebecscience.qc.ca/Revolutions
"Cependant, si une fusée de 100 m passait devant nous à une vitesse
proche de celle de la lumière, elle pourrait sembler ne mesurer que 50
m, ou même moins. Bien sûr, la question qui vient tout de suite à
l'esprit est: «Cette contraction n'est-elle qu'une illusion?» Il
semble tout à fait incroyable que le simple mouvement puisse comprimer
un objet aussi rigide qu'une fusée. Et pourtant, la contraction est
réelle... mais SANS COMPRESSION physique de l'objet! Ainsi, une fusée
de 100 m passant à toute vitesse dans un tunnel de 60 m pourrait être
entièrement contenue dans ce tunnel pendant une fraction de seconde,
durant laquelle il serait possible de fermer des portes aux deux
bouts! La fusée est donc réellement plus courte. Pourtant, il n'y a
PAS DE COMPRESSION matérielle ou physique de l'engin. Comment est-ce
possible?"

http://www.academie-sciences.fr/memb...ein_Damour.pdf
Thibault Damour: "La "contraction des longueurs" avait, avant
Einstein, été considérée par George Fitzgerald et Hendrik Lorentz.
Cependant, ils la considéraient comme un effet "réel" de contraction
dans l' "espace absolu", alors que pour Einstein il s'agit d'un effet
de perspective spatio-temporelle."

http://alcor.concordia.ca/~scol/semi...ts/Durand.html
"La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans
déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une
illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est
plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être
contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par
contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche,
i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa
longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se
mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche.
Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi-
même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas
une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les
deux cas)."

http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html
"The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon
l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé.

Pentcho Valev

  #10  
Old April 12th 11, 03:15 PM posted to sci.astro,sci.math
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Questions douleureuses après la dérationalisation de l'esprit humain:

http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=72449
"La relativité doit être fausse. En effet, considérons une échelle de
20 mètres de long transportée si rapidement dans la direction qui lui
est parallèle qu'elle ne paraît plus avoir que 10 mètres de long dans
le système du laboratoire. A un moment donné, on peut donc la faire
entrer toute entière dans un bâtiment de 10 mètres de long. Plaçons-
nous cependant dans le système de référence du coureur qui la porte.
Pour lui, le bâtiment est contractée à la moitié de sa longueur.
Comment une perche de 20 mètres pourrait-elle entrer dans un bâtiment
de 5 mètres ? Et cette conclusion impossible à retenir ne démontre-t-
elle pas que la relativité renferme quelque part une faille logique
fondamentale ?"

Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne
Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc
Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol?
Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis
de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? Que faites-vous?
Aucune honte? Elle est profitable cette agonie de l'esprit humain? On
ne peut faire rien? L'idiotie einsteinienne est devenue une propriété
intrinsèque de notre civilisation? Pas d'idiotie, pas de civilisation?

Pentcho Valev

 




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