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http://www.pauljorion.com/blog/?p=3526
Henri-François Defontaines: "Il semblerait qu'Einstein partageait mon avis, puisque pour résoudre ce paradoxe, il disait que la symétrie relativiste (de la relativité restreinte) était brisée pendant la phase de demi-tour. Le jumeau voyageur avait ressenti l'accélération lié au demi-tour (il s'était senti plaqué sur son siège, ou plus lourd), le sédentaire ne l'avait pas ressenti (il ne s'était senti plaqué sur son siège ou plus lourd à aucun moment), ce qui expliquait que le voyageur revenait physiquement plus jeune que le sédentaire. Ainsi, même pour Einstein (dont pourtant je ne partage pas certaines idées), la différence d'âge qui était purement observationnelle durant le voyage à vitesse constante devenait physique lorsque les jumeaux se retrouvaient en raison de l'accélération subie par le voyageur. Ce qui est vrai pour la dilatation du temps (d'après Einstein) doit être vrai pour la contraction des longueurs. Si l'accélération a rendu physiquement le voyageur plus jeune que le sédentaire, on doit pouvoir en conclure que l'accélération a physiquement contracté le segment. Ainsi, si un observateur du référentiel fixe observe que le segment est contracté par l'accélération, il en conclu que la contraction est de nature physique..." http://inac.cea.fr/Phocea/file.php?f...343/t343_1.pdf Gilles Cohen-Tannoudji: "Chez Poincaré, la contraction des longueurs et la dilatation des durées sont réelles.....Chez Einstein, la contraction des longueurs et la dilatation des durées ne sont pas réelles: elles sont le résultat d'un effet de perspective." http://www.youtube.com/watch?v=VSRIy...related&search Einsteinians trap long trains inside short tunnels http://math.ucr.edu/home/baez/physic...barn_pole.html "These are the props. You own a barn, 40m long, with automatic doors at either end, that can be opened and closed simultaneously by a switch. You also have a pole, 80m long, which of course won't fit in the barn. Now someone takes the pole and tries to run (at nearly the speed of light) through the barn with the pole horizontal. Special Relativity (SR) says that a moving object is contracted in the direction of motion: this is called the Lorentz Contraction. So, if the pole is set in motion lengthwise, then it will contract in the reference frame of a stationary observer.....So, as the pole passes through the barn, there is an instant when it is completely within the barn. At that instant, you close both doors simultaneously, with your switch. Of course, you open them again pretty quickly, but at least momentarily you had the contracted pole shut up in your barn. The runner emerges from the far door unscathed.....If the doors are kept shut the rod will obviously smash into the barn door at one end. If the door withstands this the leading end of the rod will come to rest in the frame of reference of the stationary observer. There can be no such thing as a rigid rod in relativity so the trailing end will not stop immediately and the rod will be compressed beyond the amount it was Lorentz contracted. If it does not explode under the strain and it is sufficiently elastic it will come to rest and start to spring back to its natural shape but since it is too big for the barn the other end is now going to crash into the back door and the rod will be trapped IN A COMPRESSED STATE inside the barn." http://master-p6.obspm.fr/relat/anne...atTD1_1011.pdf Université Pierre et Marie Curie "La situation est la suivante : un perchiste se saisit d'une perche mesurant 10 m, puis il s'élance en direction d'une grange mesurant 5 m de profondeur et percée de deux portes A et B (cf fig. 0.1). On suppose que le perchiste se déplace à une vitesse constante v telle que gamma = 2. Le paradoxe est le suivant : le perchiste a une perche de 10 m et voit une grange de longueur 5/gamma = 2,5 m, donc la perche ne rentre pas. De son côté, la grange voit une perche de longueur 10/ gamma = 5 m, donc la perche rentre. Finalement, est-ce que la perche rentre dans la grange ? Que se passe-t-il si on ferme la porte en B? (...) ...lorsque le bout P atteint la porte fermée en B, l'autre bout de la barre n'est pas encore au courant et la perche se contracte très fortement, jusqu'à ce que l'information que B est fermée se propage, via des ondes acoustiques, le long de la barre jusqu'en P." http://www.quebecscience.qc.ca/Revolutions "Cependant, si une fusée de 100 m passait devant nous à une vitesse proche de celle de la lumière, elle pourrait sembler ne mesurer que 50 m, ou même moins. Bien sûr, la question qui vient tout de suite à l'esprit est: «Cette contraction n'est-elle qu'une illusion?» Il semble tout à fait incroyable que le simple mouvement puisse comprimer un objet aussi rigide qu'une fusée. Et pourtant, la contraction est réelle... mais SANS COMPRESSION physique de l'objet! Ainsi, une fusée de 100 m passant à toute vitesse dans un tunnel de 60 m pourrait être entièrement contenue dans ce tunnel pendant une fraction de seconde, durant laquelle il serait possible de fermer des portes aux deux bouts! La fusée est donc réellement plus courte. Pourtant, il n'y a PAS DE COMPRESSION matérielle ou physique de l'engin. Comment est-ce possible?" http://www.academie-sciences.fr/memb...ein_Damour.pdf Thibault Damour: "La "contraction des longueurs" avait, avant Einstein, été considérée par George Fitzgerald et Hendrik Lorentz. Cependant, ils la considéraient comme un effet "réel" de contraction dans l' "espace absolu", alors que pour Einstein il s'agit d'un effet de perspective spatio-temporelle." http://alcor.concordia.ca/~scol/semi...ts/Durand.html "La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche, i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche. Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi- même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les deux cas)." http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html "The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé. Après avoir appris tout ça, l'esprit humain est prêt à chanter: http://www.haverford.edu/physics/songs/divine.htm No-one's as dee-vine as Albert Einstein Not Maxwell, Curie, or Bohr! He explained the photo-electric effect, And launched quantum physics with his intellect! His fame went glo-bell, he won the Nobel -- He should have been given four! No-one's as dee-vine as Albert Einstein, Professor with brains galore! No-one could outshine Professor Einstein -- Egad, could that guy derive! He gave us special relativity, That's always made him a hero to me! Brownian motion, my true devotion, He mastered back in aught-five! No-one's as dee-vine as Albert Einstein, Professor in overdrive! http://www.youtube.com/watch?v=5PkLLXhONvQ We all believe in relativity, relativity, relativity. Yes we all believe in relativity, 8.033, relativity. Einstein's postulates imply That planes are shorter when they fly. Their clocks are slowed by time dilation And look warped from aberration. We all believe in relativity, relativity, relativity. Yes we all believe in relativity, 8.033, relativity. Pentcho Valev |
#2
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http://www-cosmosaf.iap.fr/Paradoxe%...ngevinpres.htm
Institut d'Astrophysique de Paris: "FAQ 1 : Les contractions d'espace et de temps de la RR sont elles réelles ? Réponse habituelle : Non ! Réponse plus correcte : Cette question n'a pas de sens en RR : Réelles par rapport à quoi, puisqu'il n'y a pas d'espace absolu ? ........................................ FAQ3: N'est ce pas gênant de ne pas pouvoir définir de contraction absolue du temps et de l'espace ? Réponse: Non, cela signifie simplement que la RR suppose que ces critères ne correspondent à aucun caractère physique ( mesurable)" L'esprit humain chante toujours mais l'extase augmente: les croyants tombent sur le plancher en se déchirant les vêtements et en se tordant dans des convulsions. Pentcho Valev |
#3
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Einsteiniana: Il ne peut y avoir aucune accélération des photons dans
un champ de gravitation (la vitesse de la lumière est constante): http://www.parutions.com/pages/1-85-428-3935.html Joao Magueijo, PLUS VITE QUE LA LUMIERE, Dunod, 2003, p. 50: "En cours de route, en 1911, Einstein proposa même une théorie où la vitesse de la lumière variait! Aujourd'hui, les scientifiques sont soit horrifiés par cette article écrit par le grand Albert Einstein, alors professeur à Prague, soit tout simplement ignorants de son existence. Banesh Hoffmann, collègue et biographe d'Einstein, décrit ce texte de la manière suivante: "Et cela signifie... Quoi? Que la vitesse de la lumière n'est pas constante, que la gravitation la ralentit. Hérésie! Et de la part d'Einstein lui-même." http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php...ile_748_0_.pdf Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister. (...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement, de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse." http://www.amazon.ca/UNE-BR%C3%88VE-.../dp/2290006459 Stephen Hawking: "En fait, il n'est pas très logique de traiter la lumière comme on le fait des boulets de canon dans la théorie newtonienne de la gravitation simplement parce que sa vitesse est fixée. (Un boulet de canon tiré verticalement sera ralenti par la gravité, s'arrêtera finalement et retombera; un photon, lui, continuera sa course verticale à vitesse constante.)" http://www.amazon.fr/gp/product/2738...668551-5396107 Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle passerait !" Einsteiniana: Toutes les versions de la relativité générale établissent qu'il y a une accélération des photons dans un champ de gravitation (la vitesse de la lumière est variable): Albert Einstein "La Relativité" 1920: "...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet, la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse de propagation de la lumière varie avec le lieu." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace- temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE, mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces gravitationnelles dans tout l'espace. Cette conception ERRONEE, MAIS CEPENDANT FRUCTUEUSE, permit à Einstein d'élargir sa théorie de la relativité restreinte." http://www.arte.tv/fr/La-relativite-...ve/856858.html Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet en 1911." http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm "So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as well to accelerating (non-inertial) frames of reference]. If this were not so, there would be no bending of light by the gravitational field of stars....Indeed, this is exactly how Einstein did the calculation in: 'On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light,' Annalen der Physik, 35, 1911. which predated the full formal development of general relativity by about four years. This paper is widely available in English. You can find a copy beginning on page 99 of the Dover book 'The Principle of Relativity.' You will find in section 3 of that paper, Einstein's derivation of the (variable) speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is, c' = c0 ( 1 + V / c^2 ) where V is the gravitational potential relative to the point where the speed of light c0 is measured." http://www.mathpages.com/rr/s6-01/6-01.htm "In geometrical units we define c_0 = 1, so Einstein's 1911 formula can be written simply as c=1+phi. However, this formula for the speed of light (not to mention this whole approach to gravity) turned out to be incorrect, as Einstein realized during the years leading up to 1915 and the completion of the general theory. In fact, the general theory of relativity doesn't give any equation for the speed of light at a particular location, because the effect of gravity cannot be represented by a simple scalar field of c values. Instead, the "speed of light" at a each point depends on the direction of the light ray through that point, as well as on the choice of coordinate systems, so we can't generally talk about the value of c at a given point in a non- vanishing gravitational field. However, if we consider just radial light rays near a spherically symmetrical (and non- rotating) mass, and if we agree to use a specific set of coordinates, namely those in which the metric coefficients are independent of t, then we can read a formula analogous to Einstein's 1911 formula directly from the Schwarzschild metric. (...) In the Newtonian limit the classical gravitational potential at a distance r from mass m is phi=-m/r, so if we let c_r = dr/dt denote the radial speed of light in Schwarzschild coordinates, we have c_r =1+2phi, which corresponds to Einstein's 1911 equation, except that we have a factor of 2 instead of 1 on the potential term." http://www.speed-light.info/speed_of_light_variable.htm "Einstein wrote this paper in 1911 in German (download from: http://www.physik.uni-augsburg.de/an...35_898-908.pdf ). It predated the full formal development of general relativity by about four years. You can find an English translation of this paper in the Dover book 'The Principle of Relativity' beginning on page 99; you will find in section 3 of that paper Einstein's derivation of the variable speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is: c'=c0(1+phi/c^2) where phi is the gravitational potential relative to the point where the speed of light co is measured......You can find a more sophisticated derivation later by Einstein (1955) from the full theory of general relativity in the weak field approximation....For the 1955 results but not in coordinates see page 93, eqn (6.28): c(r)=[1+2phi(r)/c^2]c. Namely the 1955 approximation shows a variation in km/sec twice as much as first predicted in 1911." L'extase parmi les croyants augmente toujours mais en un certain moment elle est remplacée par une dépression profonde: les croyants restent immobiles sur le plancher et la seule chanson dont ils se souviennent dit: "You are lost You can never go home You are lost You can never go home": http://www.youtube.com/watch?v=CIYfoeBOhTU Where once was light Now darkness falls Where once was love Love is no more .................................. These tears you cry Have come too late Take back the lies The hurt, the blame And you will weep When you face the end alone You are lost You can never go home You are lost You can never go home. Pentcho Valev |
#4
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Un esprit qui n'est pas complètement dérationalisé:
http://forums.futura-sciences.com/ph...on-morley.html "Interpretation de l'expérience de Michelson-Morley. Cette experience nie l'existance de l'éther conjugé à l'utilisation de la relativité galiléenne. Mais qu'est qui pousse alors Einstein a supposer que la vitesse de la lumiere est invariante dans tt refs inertiels? Ou encore Lorentz à s'acrocher a l'existance de l'ether en lui aportant des propriétés particulières? Ces deux interprétations ont été effectivement fructueuses pour ce qui est de la confrontation a l'exprérimentation. Mais y a il eu a l'époque des interprétation niant l'existance de l'ether, et suposant que la vitesse de la lumière dépendait de la vitesse de la source (l'experience de Michelson-Morley étant parfaitement compatible avec une vision corpusculaire de la lumiere et une utilisation de la relativité galiléenne) ? Et pourquoi ces théories, même a l'époque ou les conséquence de la relativité restreinte ou de l'utilisation des transfo de Lorentz (ex: paradoxe de Langevin) ne pouvaient etre testé, ont elles été abandonés?" Pentcho Valev |
#5
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http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=21075
"Cet enseignant contestataire a toujours été un scientifique orthodoxe. Jean-Marc Lévy-Leblond ne professe aucune position iconoclaste. « Je ne sabote pas l'institution, je suis juste à côté et j'ai toujours pris garde à ne pas me laisser déporter. » Aucune tentation, chez lui, de jouer les Galilée bravant l'Inquisition, aucune indulgence pour des théories comme la fusion froide ou la mémoire de l'eau." Quid de la théorie de l'émission de Newton, Jean-Marc Lévy-Leblond? Aucune indulgence toujours? http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=10745 Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un siècle après son émergence, la théorie de la relativité est encore bien mal comprise - et pas seulement par les profanes ! Le vocable même qui la désigne (« relativité ») est fort inadéquat. Ses énoncés courants abondent en maladresses sémantiques, et donc en confusions épistémologiques. Paradoxe majeur, cette théorie, présentée comme un sommet de la modernité scientifique, garde de nombreux traits primitifs. Or, de récentes recherches montrent éloquemment qu'un sérieux approfondissement de ses concepts et de ses formulations peut résulter du retour à ses origines, avant même Einstein. Déjà le principe de relativité se comprend mieux si on le détache de la forme nouvelle qu'il prit après Lorentz, Poincaré et Einstein, pour le ressourcer chez Galilée et Descartes. Mais surtout, l'examen de nombreux travaux des XVIIe et XVIIIe siècles, injustement oubliés, met en évidence une théorie particulaire de la lumière, en germe dans la physique newtonienne, qui ouvre des voies d'approche négligées vers la théorie moderne. Ces considérations contrebalancent utilement le point de vue ondulatoire traditionnel, et allègent ses difficultés." http://www.passiondulivre.com/livre-...ravitation.htm "Étrangement, personne n'est jamais vraiment allé voir ce que l'on en pensait «avant», avant Einstein, avant Poincaré, avant Maxwell. Pourtant, quelques savants austères et ignorés, John Michell, Robert Blair et d'autres encore, s'y sont intéressés, de très près. Newtoniens impénitents, ces «philosophes de la nature» ont tout simplement traité la lumière comme faite de vulgaires particules matérielles : des «corpuscules lumineux». Mais ce sont gens sérieux et ils se sont basés sur leurs Classiques, Galilée, Newton et ses Principia où déjà l'on trouve des idées intéressantes. À la fin du XVIIIe siècle, au siècle des Lumières (si bien nommé en l'occurrence !), en Angleterre, en Écosse, en Prusse et même à Paris, une véritable balistique de la lumière sous-tend silencieusement la théorie de l'émission, avatar de la théorie corpusculaire de la lumière de Newton. Lus à la lumière (!) des théories aujourd'hui acceptées, les résultats ne sont pas minces. (...) Les «relativités» d'Einstein, cinématique einsteinienne et théorie de la gravitation, ont la triste réputation d'être difficiles... Ne remettent-elles pas en cause des notions familières ? Leur «refonte» est d'autant plus nécessaire. Cette préhistoire en est un nouvel acte qui offre un autre chemin vers ces théories délicates. Mais ce chemin, aussi long soit- il, est un raccourci, qu'il est temps, cent ans après «la» relativité d'Einstein, de découvrir et d'explorer." http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/...40/pgs/4_5.pdf Jean Eisenstaedt: "Il n'y a alors aucune raison théorique à ce que la vitesse de la lumière ne dépende pas de la vitesse de sa source ainsi que de celle de l'observateur terrestre ; plus clairement encore, il n'y a pas de raison, dans le cadre de la logique des Principia de Newton, pour que la lumière se comporte autrement - quant à sa trajectoire - qu'une particule matérielle. Il n'y a pas non plus de raison pour que la lumière ne soit pas sensible à la gravitation. Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute la théorie newtonienne ? C'est en fait ce que font plusieurs astronomes, opticiens, philosophes de la nature à la fin du XVIIIème siècle. Les résultats sont étonnants... et aujourd'hui nouveaux. (...) Même s'il était conscient de l'intérêt de la théorie de l'émission, Einstein n'a pas pris le chemin, totalement oublié, de Michell, de Blair, des Principia en somme. Le contexte de découverte de la relativité ignorera le XVIIIème siècle et ses racines historiques plongent au coeur du XIXème siècle. Arago, Fresnel, Fizeau, Maxwell, Mascart, Michelson, Poincaré, Lorentz en furent les principaux acteurs et l'optique ondulatoire le cadre dans lequel ces questions sont posées. Pourtant, au plan des structures physiques, l'optique relativiste des corps en mouvement de cette fin du XVIIIème est infiniment plus intéressante - et plus utile pédagogiquement - que le long cheminement qu'a imposé l'éther." http://www.arte.tv/fr/La-relativite-...ve/856858.html Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet en 1911." Jean-Marc Lévy-Leblond, imaginez que, par miracle, on se met à discuter de la théorie de l'émission de Newton, disons sur ce forum qui est en train de mourir pour le moment: http://iramis.cea.fr/Phocea/Vie_des_...php?id_ast=761 Foundations of Physics in Greater Paris / Fondements de la physique en région parisienne Est-ce que cette discussion provoquera une dérationalisation additionnelle de l'esprit scientifique en France? Ou bien une rérationalisation? Ou bien: Aucune discussion, aucun problème? (Staline: Aucun homme, aucun problème.) Pentcho Valev |
#6
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http://www.science.gouv.fr/fr/dossie...tivite-au-gps/
Science.gouv.fr: "Une contradiction interne à la physique était apparue à la fin du XIXè siècle : la théorie électromagnétique de Maxwell se révélait incompatible avec la relativité de Galilée-Newton selon laquelle le mouvement rectiligne-uniforme - c'est-à-dire sans accélération - est comme le repos. Selon ce principe de parfaite relativité d'un tel mouvement - appelé aussi inertiel - aucune expérience réalisée à l'intérieur d'un wagon non accéléré ne devrait permettre de déterminer la vitesse du wagon, dans la mesure où la vitesse n'est pas une notion absolue mais relative. Or, la théorie de Maxwell indiquait qu'à l’aide d'une onde électromagnétique on devait pouvoir déterminer la vitesse (donc absolue) du wagon. Il fallait donc soit modifier - voire abandonner - la théorie de Maxwell ou celle de Galilée-Newton. Einstein est préoccupé par cette affaire." Selon la théorie électromagnetique de Maxwell, la vitesse de la lumière dépend de la vitesse de l'observateur. Selon la théorie de Galilée-Newton, la vitesse de la lumière dépend de la vitesse de l'émetteur. Selon la relativité restreinte d'Einstein, la vitesse de la lumière ne dépend ni de la vitesse de l'observateur ni de la vitesse de l'émetteur. Einstein a abandonné quoi, Alexandre Moatti - la théorie de Maxwell, celle de Galilée-Newton ou toutes les deux? http://www.futura-sciences.com/fr/do...509/c3/221/p5/ "Les équations de Maxwell prévoyaient la propagation de la lumière à la vitesse de 300.000 km/s par rapport à l'éther. Or, si l'on cherche à calculer la vitesse de la lumière par rapport à un référentiel qui est lui-même mobile dans l'éther, on observe que la lumière se propage avec une VITESSE DIFFERENTE..." http://culturesciencesphysique.ens-l..._CSP_relat.xml Gabrielle Bonnet, École Normale Supérieure de Lyon: "Les équations de Maxwell font en particulier intervenir une constante, c, qui est la vitesse de la lumière dans le vide. Par un changement de référentiel classique, si c est la vitesse de la lumière dans le vide dans un premier référentiel, et si on se place désormais dans un nouveau référentiel en translation par rapport au premier à la vitesse constante v, la lumière devrait désormais aller à la vitesse c-v si elle se déplace dans la direction et le sens de v, et à la vitesse c+v si elle se déplace dans le sens contraire." http://www.amazon.com/Brief-History-.../dp/0553380168 Stephen Hawking: "Maxwell's theory predicted that radio or light waves should travel at a certain fixed speed. But Newton's theory had got rid of the idea of absolute rest, so if light was supposed to travel at a fixed speed, one would have to say what that fixed speed was to be measured relative to. It was therefore suggested that there was a substance called the "ether" that was present everywhere, even in "empty" space. Light waves should travel through the ether as sound waves travel through air, and their speed should therefore be relative to the ether. Different observers, moving relative to the ether, would see light coming toward them at different speeds, but light's speed relative to the ether would remain fixed." http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/Chasing.pdf John Norton: "Finally, in an apparent eagerness to provide a seamless account, an author may end up misstating the physics. Kaku (2004, p. 45) relates how Einstein found that his aversion to frozen light was vindicated when he later learned Maxwell's theory: Kaku: "When Einstein finally learned Maxwell's equations, he could answer the question that was continually on his mind. As he suspected, he found that there were no solutions of Maxwell's equations in which light was frozen in time. But then he discovered more. To his surprise, he found that in Maxwell's theory, light beams always traveled at the same velocity, no matter how fast you moved." This is supposedly what Einstein learned as a student at the Zurich Polytechnic, where he completed his studies in 1900, well before the formulation of the special theory of relativity. Yet the results described are precisely what is not to be found in the ether based Maxwell theory Einstein would then have learned. That theory allows light to slow and be frozen in the frame of reference of a sufficiently rapidly moving observer." http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton's own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day." http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." http://www.amazon.fr/Introduction-re...dp/B000YZAES4/ Introduction à la relativité James Hammond Smith (Auteur), Jean-Marc Lévy-Leblond (Auteur), Philippe Brenier (Auteur), Guy Plaut (Auteur) "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE." Pentcho Valev |
#7
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http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/...38/pgs/7_8.pdf
Gilles COHEN-TANNOUDJI: "Pour rendre compatibles le principe de relativité, selon lequel les lois de la nature s'expriment de la même façon dans des référentiels inertiels en mouvement relatif rectiligne et uniforme, et le principe d'invariabilité de la vitesse de la lumière, Einstein a dû procéder à une véritable refondation de la mécanique, remettant en cause la conception de la matière, de l'espace et du temps. C’est maintenant l'énergie et non la masse qui joue le rôle de caractéristique la plus fondamentale de la matière : la lumière est une matière, mais c'est une matière qui a de l'énergie sans avoir de masse." http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php...ile_748_0_.pdf Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister. (...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement, de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse." Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne Klein, est-ce qu'il y a une accélération des photons dans un champ de gravitation? Est-ce que les photons et les boulets de canon subissent la même accélération? http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm "So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as well to accelerating (non-inertial) frames of reference]. If this were not so, there would be no bending of light by the gravitational field of stars....Indeed, this is exactly how Einstein did the calculation in: 'On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light,' Annalen der Physik, 35, 1911. which predated the full formal development of general relativity by about four years. This paper is widely available in English. You can find a copy beginning on page 99 of the Dover book 'The Principle of Relativity.' You will find in section 3 of that paper, Einstein's derivation of the (variable) speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is, c' = c0 ( 1 + V / c^2 ) where V is the gravitational potential relative to the point where the speed of light c0 is measured." http://www.mathpages.com/rr/s6-01/6-01.htm "In geometrical units we define c_0 = 1, so Einstein's 1911 formula can be written simply as c=1+phi. However, this formula for the speed of light (not to mention this whole approach to gravity) turned out to be incorrect, as Einstein realized during the years leading up to 1915 and the completion of the general theory. In fact, the general theory of relativity doesn't give any equation for the speed of light at a particular location, because the effect of gravity cannot be represented by a simple scalar field of c values. Instead, the "speed of light" at a each point depends on the direction of the light ray through that point, as well as on the choice of coordinate systems, so we can't generally talk about the value of c at a given point in a non- vanishing gravitational field. However, if we consider just radial light rays near a spherically symmetrical (and non- rotating) mass, and if we agree to use a specific set of coordinates, namely those in which the metric coefficients are independent of t, then we can read a formula analogous to Einstein's 1911 formula directly from the Schwarzschild metric. (...) In the Newtonian limit the classical gravitational potential at a distance r from mass m is phi=-m/r, so if we let c_r = dr/dt denote the radial speed of light in Schwarzschild coordinates, we have c_r =1+2phi, which corresponds to Einstein's 1911 equation, except that we have a factor of 2 instead of 1 on the potential term." http://www.speed-light.info/speed_of_light_variable.htm "Einstein wrote this paper in 1911 in German (download from: http://www.physik.uni-augsburg.de/an...35_898-908.pdf ). It predated the full formal development of general relativity by about four years. You can find an English translation of this paper in the Dover book 'The Principle of Relativity' beginning on page 99; you will find in section 3 of that paper Einstein's derivation of the variable speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is: c'=c0(1+phi/c^2) where phi is the gravitational potential relative to the point where the speed of light co is measured......You can find a more sophisticated derivation later by Einstein (1955) from the full theory of general relativity in the weak field approximation....For the 1955 results but not in coordinates see page 93, eqn (6.28): c(r)=[1+2phi(r)/c^2]c. Namely the 1955 approximation shows a variation in km/sec twice as much as first predicted in 1911." George Orwell explique pourquoi Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne Klein ne répondront jamais: http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net, comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie stupidité protectrice." Pentcho Valev |
#8
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http://media4.obspm.fr/public/AMC/pa...b-doppler.html
"En raison de l'invariance de la vitesse de la lumière et du fait qu'une onde sonore nécessite un milieu matériel pour se propager, le décalage vers le rouge ne se fait pas exactement de la même façon pour une onde lumineuse ou sonore. En particulier, pour une onde sonore usuelle l'effet Doppler n'affecte pas la longueur d'onde (mais juste la fréquence, celle-ci étant changée différemment selon si c'est la source ou l'observateur qui bouge par rapport au milieu de propagation de l'onde, l'air pour le son), alors que pour une onde lumineuse les deux sont changées afin que la relation (longueur d'onde)=(vitesse de la lumière)/(fréquence) reste valable." C'est stupide? Idiot? Génial? L'observateur en mouvement ne peut pas changer la longueur de l'onde sonore qui vient vers lui mais peut changer la longueur de l'onde lumineuse? http://www.hep.man.ac.uk/u/roger/PHY.../lecture18.pdf Roger Barlow: "Now suppose the source is fixed but the observer is moving towards the source, with speed v. In time t, ct/(lambda) waves pass a fixed point. A moving point adds another vt/(lambda). So f'=(c +v)/(lambda)." http://www-physics.ucsd.edu/students.../lecture16.pdf Convention we will choose: u = velocity of observer or source v = velocity of wave Moving Observer Observer approaching: f'=(1/T')=(v+u)/(lambda) Observer receding: f'=(1/T')=(v-u)/(lambda) http://www.expo-db.be/ExposPrecedent...%20Doppler.pdf 6. Source immobile - Observateur en mouvement La distance entre les crêtes, la longueur d'onde lambda ne change pas. Mais la vitesse des crêtes par rapport à l'observateur change ! L'observateur se rapproche de la source f' = V'/(lambda) f' = f (1 + Vo/V) L'observateur s'éloigne de la source f' = f (1 - Vo/V) http://www.eng.uwi.tt/depts/elec/sta...relativity.pdf The Invalidation of a Sacred Principle of Modern Physics Stephan J.G. Gift "For a stationary observer O, the stationary light source S emits light at speed c, wavelength Lo, and frequency Fo given by Fo=c/Lo. If the observer moves toward S at speed v, then again based on classical analysis, the speed of light relative to the moving observer is (c + v) and not c as required by Einstein's law of light propagation. Hence the observer intercepts wave-fronts of light at a frequency fA, which is higher than Fo, as is observed, and is given by fA = (c+v)/Lo Fo. (...) In light of this elementary result invalidating STR, it is difficult to understand why this invalid theory has been (and continues to be) accepted for the past 100 years." Pentcho Valev |
#9
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http://thescientist.over-blog.net/ar...-46556363.html
"Et cette relativité restreinte s'applique également aux longueurs (à l'espace). Si la vitesse d'un objet est grande, ses longueurs se contractent. Une règle de 30 cm lancée à très grande vitesse en paraîtrait beaucoup moins pour un observateur extérieur, alors que pour un observateur se déplaçant avec la règle, elle fera toujours 30 cm. Cette relativité restreinte est quelque chose de très difficile à comprendre au début, elle peut paraître déroutante, mais lorsqu'on a compris comment cela fonctionne, il est très amusant d'imaginer toutes les aberrations possibles." Au début, l'esprit humain n'est pas encore dérationalisé mais en fin de compte tout sens de rationalité disparaît ("on a compris comment cela fonctionne") et les Einsteiniens n'ont qu'à s'amuser à imaginer les "aberrations" (idioties): http://www.pauljorion.com/blog/?p=3526 Henri-François Defontaines: "Il semblerait qu'Einstein partageait mon avis, puisque pour résoudre ce paradoxe, il disait que la symétrie relativiste (de la relativité restreinte) était brisée pendant la phase de demi-tour. Le jumeau voyageur avait ressenti l'accélération lié au demi-tour (il s'était senti plaqué sur son siège, ou plus lourd), le sédentaire ne l'avait pas ressenti (il ne s'était senti plaqué sur son siège ou plus lourd à aucun moment), ce qui expliquait que le voyageur revenait physiquement plus jeune que le sédentaire. Ainsi, même pour Einstein (dont pourtant je ne partage pas certaines idées), la différence d'âge qui était purement observationnelle durant le voyage à vitesse constante devenait physique lorsque les jumeaux se retrouvaient en raison de l'accélération subie par le voyageur. Ce qui est vrai pour la dilatation du temps (d'après Einstein) doit être vrai pour la contraction des longueurs. Si l'accélération a rendu physiquement le voyageur plus jeune que le sédentaire, on doit pouvoir en conclure que l'accélération a physiquement contracté le segment. Ainsi, si un observateur du référentiel fixe observe que le segment est contracté par l'accélération, il en conclu que la contraction est de nature physique..." http://inac.cea.fr/Phocea/file.php?f...343/t343_1.pdf Gilles Cohen-Tannoudji: "Chez Poincaré, la contraction des longueurs et la dilatation des durées sont réelles.....Chez Einstein, la contraction des longueurs et la dilatation des durées ne sont pas réelles: elles sont le résultat d'un effet de perspective." http://www.youtube.com/watch?v=VSRIy...related&search Einsteinians trap long trains inside short tunnels http://math.ucr.edu/home/baez/physic...barn_pole.html "These are the props. You own a barn, 40m long, with automatic doors at either end, that can be opened and closed simultaneously by a switch. You also have a pole, 80m long, which of course won't fit in the barn. Now someone takes the pole and tries to run (at nearly the speed of light) through the barn with the pole horizontal. Special Relativity (SR) says that a moving object is contracted in the direction of motion: this is called the Lorentz Contraction. So, if the pole is set in motion lengthwise, then it will contract in the reference frame of a stationary observer.....So, as the pole passes through the barn, there is an instant when it is completely within the barn. At that instant, you close both doors simultaneously, with your switch. Of course, you open them again pretty quickly, but at least momentarily you had the contracted pole shut up in your barn. The runner emerges from the far door unscathed.....If the doors are kept shut the rod will obviously smash into the barn door at one end. If the door withstands this the leading end of the rod will come to rest in the frame of reference of the stationary observer. There can be no such thing as a rigid rod in relativity so the trailing end will not stop immediately and the rod will be compressed beyond the amount it was Lorentz contracted. If it does not explode under the strain and it is sufficiently elastic it will come to rest and start to spring back to its natural shape but since it is too big for the barn the other end is now going to crash into the back door and the rod will be trapped IN A COMPRESSED STATE inside the barn." http://master-p6.obspm.fr/relat/anne...atTD1_1011.pdf Université Pierre et Marie Curie "La situation est la suivante : un perchiste se saisit d'une perche mesurant 10 m, puis il s'élance en direction d'une grange mesurant 5 m de profondeur et percée de deux portes A et B (cf fig. 0.1). On suppose que le perchiste se déplace à une vitesse constante v telle que gamma = 2. Le paradoxe est le suivant : le perchiste a une perche de 10 m et voit une grange de longueur 5/gamma = 2,5 m, donc la perche ne rentre pas. De son côté, la grange voit une perche de longueur 10/ gamma = 5 m, donc la perche rentre. Finalement, est-ce que la perche rentre dans la grange ? Que se passe-t-il si on ferme la porte en B? (...) ...lorsque le bout P atteint la porte fermée en B, l'autre bout de la barre n'est pas encore au courant et la perche se contracte très fortement, jusqu'à ce que l'information que B est fermée se propage, via des ondes acoustiques, le long de la barre jusqu'en P." http://www.quebecscience.qc.ca/Revolutions "Cependant, si une fusée de 100 m passait devant nous à une vitesse proche de celle de la lumière, elle pourrait sembler ne mesurer que 50 m, ou même moins. Bien sûr, la question qui vient tout de suite à l'esprit est: «Cette contraction n'est-elle qu'une illusion?» Il semble tout à fait incroyable que le simple mouvement puisse comprimer un objet aussi rigide qu'une fusée. Et pourtant, la contraction est réelle... mais SANS COMPRESSION physique de l'objet! Ainsi, une fusée de 100 m passant à toute vitesse dans un tunnel de 60 m pourrait être entièrement contenue dans ce tunnel pendant une fraction de seconde, durant laquelle il serait possible de fermer des portes aux deux bouts! La fusée est donc réellement plus courte. Pourtant, il n'y a PAS DE COMPRESSION matérielle ou physique de l'engin. Comment est-ce possible?" http://www.academie-sciences.fr/memb...ein_Damour.pdf Thibault Damour: "La "contraction des longueurs" avait, avant Einstein, été considérée par George Fitzgerald et Hendrik Lorentz. Cependant, ils la considéraient comme un effet "réel" de contraction dans l' "espace absolu", alors que pour Einstein il s'agit d'un effet de perspective spatio-temporelle." http://alcor.concordia.ca/~scol/semi...ts/Durand.html "La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche, i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche. Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi- même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les deux cas)." http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html "The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé. Pentcho Valev |
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Questions douleureuses après la dérationalisation de l'esprit humain:
http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=72449 "La relativité doit être fausse. En effet, considérons une échelle de 20 mètres de long transportée si rapidement dans la direction qui lui est parallèle qu'elle ne paraît plus avoir que 10 mètres de long dans le système du laboratoire. A un moment donné, on peut donc la faire entrer toute entière dans un bâtiment de 10 mètres de long. Plaçons- nous cependant dans le système de référence du coureur qui la porte. Pour lui, le bâtiment est contractée à la moitié de sa longueur. Comment une perche de 20 mètres pourrait-elle entrer dans un bâtiment de 5 mètres ? Et cette conclusion impossible à retenir ne démontre-t- elle pas que la relativité renferme quelque part une faille logique fondamentale ?" Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? Que faites-vous? Aucune honte? Elle est profitable cette agonie de l'esprit humain? On ne peut faire rien? L'idiotie einsteinienne est devenue une propriété intrinsèque de notre civilisation? Pas d'idiotie, pas de civilisation? Pentcho Valev |
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