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La dérationalisation de l'esprit humain sur Wikipédia:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativ...ein_.281905.29 "La vitesse de la lumière dans le vide a la même valeur dans tous les référentiels inertiels. (...) Le second postulat formalise l'interprétation des équations de Maxwell suivant laquelle il n'y a pas d'éther, et est conforme aux expériences. (...) Jean-Marc Levy- Leblond fait remarquer que cette approche implique seulement l'existence d'une vitesse-limite c, qui est celle de toutes les particules sans masse, et donc de la lumière dans nos théories actuelles. Si le photon devait s'avérer avoir une masse (voir à ce sujet les propriétés physiques du photon), la relativité ne serait pas remise en question, mais la lumière aurait une vitesse légèrement inférieure à c, et qui dépendrait des référentiels." Toujours aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? Pentcho Valev a écrit: L'idée de Jean-Marc Lévy-Leblond (la Théorie Divine d'Albert le Divin est vraie même si la vitesse de la lumière est variable) détruit la rationalité scientifique dans le monde anglophone: http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=16963 Jean-Marc Lévy-Leblond: "Mais l'inutile et depuis longtemps caduc « second postulat » (celui de l'invariance de la vitesse de la lumière) garde encore une place de choix dans les exposés." http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part, nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais, empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de futures mesures mettent en évidence une masse infime, mais non-nulle, du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat" deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle invalidée ? Heureusement, il n'en est rien ; mais, pour s'en assurer, il convient de la refonder sur des bases plus solides, et d'ailleurs plus économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la condition de l'exploiter à fond." http://www.hep.princeton.edu/~mcdona..._44_271_76.pdf Jean-Marc Levy-Leblond: "This is the point of view from wich I intend to criticize the overemphasized role of the speed of light in the foundations of the special relativity, and to propose an approach to these foundations that dispenses with the hypothesis of the invariance of c. (...) We believe that special relativity at the present time stands as a universal theory discribing the structure of a common space-time arena in which all fundamental processes take place. (...) The evidence of the nonzero mass of the photon would not, as such, shake in any way the validity of the special relalivity. It would, however, nullify all its derivations which are based on the invariance of the photon velocity." http://groups.google.ca/group/sci.ph...1ebdf49c012de2 Tom Roberts: "If it is ultimately discovered that the photon has a nonzero mass (i.e. light in vacuum does not travel at the invariant speed of the Lorentz transform), SR would be unaffected but both Maxwell's equations and QED would be refuted (or rather, their domains of applicability would be reduced)." http://www.amazon.com/Einsteins-Rela.../dp/9810238886 Jong-Ping Hsu: "The fundamentally new ideas of the first purpose are developed on the basis of the term paper of a Harvard physics undergraduate. They lead to an unexpected affirmative answer to the long-standing question of whether it is possible to construct a relativity theory without postulating the constancy of the speed of light and retaining only the first postulate of special relativity. This question was discussed in the early years following the discovery of special relativity by many physicists, including Ritz, Tolman, Kunz, Comstock and Pauli, all of whom obtained negative answers." http://www.newscientist.com/article/...elativity.html Why Einstein was wrong about relativity 29 October 2008, Mark Buchanan, NEW SCIENTIST "This "second postulate" is the source of all Einstein's eccentric physics of shrinking space and haywire clocks. And with a little further thought, it leads to the equivalence of mass and energy embodied in the iconic equation E = mc^2. The argument is not about the physics, which countless experiments have confirmed. It is about whether we can reach the same conclusions without hoisting light onto its highly irregular pedestal. (...) But in fact, says Feigenbaum, both Galileo and Einstein missed a surprising subtlety in the maths - one that renders Einstein's second postulate superfluous. (...) The idea that Einstein's relativity has nothing to do with light could actually come in rather handy. For one thing, it rules out a nasty shock if anyone were ever to prove that photons, the particles of light, have mass. We know that the photon's mass is very small - less than 10^(-49) grams. A photon with any mass at all would imply that our understanding of electricity and magnetism is wrong, and that electric charge might not be conserved. That would be problem enough, but a massive photon would also spell deep trouble for the second postulate, as a photon with mass would not necessarily always travel at the same speed. Feigenbaum's work shows how, contrary to many physicists' beliefs, this need not be a problem for relativity." http://groups.google.com/group/sci.p...d3ebf3b94d89ad Tom Roberts: "As I said before, Special Relativity would not be affected by a non-zero photon mass, as Einstein's second postulate is not required in a modern derivation (using group theory one obtains three related theories, two of which are solidly refuted experimentally and the third is SR). So today's foundations of modern physics would not be threatened. http://arxiv.org/PS_cache/arxiv/pdf/...806.1234v1.pdf Mitchell J. Feigenbaum: "In this paper, not only do I show that the constant speed of light is unnecessary for the construction of the theories of relativity, but overwhelmingly more, there is no room for it in the theory. (...) We can make a few guesses. There is a "villain" in the story, who, of course, is Newton." Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? Pentcho Valev a écrit: La dérationalisation implacable de la société scientifique française: http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible ! Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il pourrait exister des photons immobiles, et la différence est essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure, mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité a plusieurs pieds." Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement dit et la société au sens large." Pentcho Valev |
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http://o.castera.free.fr/pdf/La_relativite.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un objet de longueur L0 dans son propre référentiel sera, dans un autre référentiel, repéré différemment et se verra attribuer une longueur inférieure L. Mais, comme dans le cas spatial, c'est là un effet de parallaxe : ce n'est que si les axes spatiotemporels de l'objet coincident avec ceux de la règle utilisée que l'on peut affirmer mesurer la longueur propre de l'objet. La dilatation des temps s'explique de façon analogue. Ces effets sont donc parfaitement "réels" tout en ne concernant que des "apparences"." Aucune pitié pour les étudiants, Jean-Marc Lévy-Leblond? Il est agréable de les dérationaliser? Les effets qui sont parfaitement "réels" tout en ne concernant que des "apparences", auraient-ils lieu si la vitesse de la lumière était variable? Pentcho Valev a écrit: La dérationalisation de l'esprit humain sur Wikipédia: http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativ...ein_.281905.29 "La vitesse de la lumière dans le vide a la même valeur dans tous les référentiels inertiels. (...) Le second postulat formalise l'interprétation des équations de Maxwell suivant laquelle il n'y a pas d'éther, et est conforme aux expériences. (...) Jean-Marc Levy- Leblond fait remarquer que cette approche implique seulement l'existence d'une vitesse-limite c, qui est celle de toutes les particules sans masse, et donc de la lumière dans nos théories actuelles. Si le photon devait s'avérer avoir une masse (voir à ce sujet les propriétés physiques du photon), la relativité ne serait pas remise en question, mais la lumière aurait une vitesse légèrement inférieure à c, et qui dépendrait des référentiels." Toujours aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? Pentcho Valev a écrit: L'idée de Jean-Marc Lévy-Leblond (la Théorie Divine d'Albert le Divin est vraie même si la vitesse de la lumière est variable) détruit la rationalité scientifique dans le monde anglophone: http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=16963 Jean-Marc Lévy-Leblond: "Mais l'inutile et depuis longtemps caduc « second postulat » (celui de l'invariance de la vitesse de la lumière) garde encore une place de choix dans les exposés." http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part, nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais, empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de futures mesures mettent en évidence une masse infime, mais non-nulle, du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat" deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle invalidée ? Heureusement, il n'en est rien ; mais, pour s'en assurer, il convient de la refonder sur des bases plus solides, et d'ailleurs plus économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la condition de l'exploiter à fond." http://www.hep.princeton.edu/~mcdona..._44_271_76.pdf Jean-Marc Levy-Leblond: "This is the point of view from wich I intend to criticize the overemphasized role of the speed of light in the foundations of the special relativity, and to propose an approach to these foundations that dispenses with the hypothesis of the invariance of c. (...) We believe that special relativity at the present time stands as a universal theory discribing the structure of a common space-time arena in which all fundamental processes take place. (...) The evidence of the nonzero mass of the photon would not, as such, shake in any way the validity of the special relalivity. It would, however, nullify all its derivations which are based on the invariance of the photon velocity." http://groups.google.ca/group/sci.ph...1ebdf49c012de2 Tom Roberts: "If it is ultimately discovered that the photon has a nonzero mass (i.e. light in vacuum does not travel at the invariant speed of the Lorentz transform), SR would be unaffected but both Maxwell's equations and QED would be refuted (or rather, their domains of applicability would be reduced)." http://www.amazon.com/Einsteins-Rela.../dp/9810238886 Jong-Ping Hsu: "The fundamentally new ideas of the first purpose are developed on the basis of the term paper of a Harvard physics undergraduate. They lead to an unexpected affirmative answer to the long-standing question of whether it is possible to construct a relativity theory without postulating the constancy of the speed of light and retaining only the first postulate of special relativity. This question was discussed in the early years following the discovery of special relativity by many physicists, including Ritz, Tolman, Kunz, Comstock and Pauli, all of whom obtained negative answers." http://www.newscientist.com/article/...elativity.html Why Einstein was wrong about relativity 29 October 2008, Mark Buchanan, NEW SCIENTIST "This "second postulate" is the source of all Einstein's eccentric physics of shrinking space and haywire clocks. And with a little further thought, it leads to the equivalence of mass and energy embodied in the iconic equation E = mc^2. The argument is not about the physics, which countless experiments have confirmed. It is about whether we can reach the same conclusions without hoisting light onto its highly irregular pedestal. (...) But in fact, says Feigenbaum, both Galileo and Einstein missed a surprising subtlety in the maths - one that renders Einstein's second postulate superfluous. (...) The idea that Einstein's relativity has nothing to do with light could actually come in rather handy. For one thing, it rules out a nasty shock if anyone were ever to prove that photons, the particles of light, have mass. We know that the photon's mass is very small - less than 10^(-49) grams. A photon with any mass at all would imply that our understanding of electricity and magnetism is wrong, and that electric charge might not be conserved. That would be problem enough, but a massive photon would also spell deep trouble for the second postulate, as a photon with mass would not necessarily always travel at the same speed. Feigenbaum's work shows how, contrary to many physicists' beliefs, this need not be a problem for relativity." http://groups.google.com/group/sci.p...d3ebf3b94d89ad Tom Roberts: "As I said before, Special Relativity would not be affected by a non-zero photon mass, as Einstein's second postulate is not required in a modern derivation (using group theory one obtains three related theories, two of which are solidly refuted experimentally and the third is SR). So today's foundations of modern physics would not be threatened. http://arxiv.org/PS_cache/arxiv/pdf/...806.1234v1.pdf Mitchell J. Feigenbaum: "In this paper, not only do I show that the constant speed of light is unnecessary for the construction of the theories of relativity, but overwhelmingly more, there is no room for it in the theory. (...) We can make a few guesses. There is a "villain" in the story, who, of course, is Newton." Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? Pentcho Valev a écrit: La dérationalisation implacable de la société scientifique française: http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible ! Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il pourrait exister des photons immobiles, et la différence est essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure, mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité a plusieurs pieds." Aucune honte, Jean-Marc LÉVY-LEBLOND? http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement dit et la société au sens large." Pentcho Valev |
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