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DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS



 
 
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  #1  
Old November 21st 11, 01:58 PM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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http://www.pourlascience.fr/ewb_page...ique-24476.php
Maurice Mashaal: "Une traduction du décalage gravitationnel vers le
rouge est qu'une horloge soumise à un champ de gravitation retarde par
rapport à une horloge identique en l'absence de gravité. Pour un
photon, cela signifie que sa fréquence est ralentie, ou que sa
longueur d'onde est augmentée..."

Si l'horloge soumise à un champ de gravitation retarde, Maurice
Mashaal, la longueur d'onde ne peut pas augmenter. La dilatation
gravitationnelle du temps introduite par Einstein en 1911 implique
qu'aucune variation réelle concernant l'onde lumineuse n'a lieu: la
vitesse est constante (ne varie pas avec le potentiel gravitationnel),
la fréquence est constante, la longueur d'onde est constante. Il n'y a
qu'une variation APPARENTE de la fréquence dont la seule cause est le
temps dilaté:

http://www.dicotop.com/gravitationnelle-redshift/
"L'affaiblissement gravitationnelle de la lumière des étoiles de haute
gravité a été prédit par John Michell en 1783 et Pierre-Simon Laplace
en 1796, en utilisant le concept d'Isaac Newton de corpuscules de
lumière (voir: théorie de l’émission) et qui avait prédit que
certaines étoiles aurait une gravité si forte que la lumière ne serait
pas en mesure de s'échapper. L'effet de la gravité sur la lumière est
ensuite explorée par Johann Georg von Soldner (1801), qui a calculé la
quantité de déviation d'un rayon lumineux par le soleil, en arrivant à
la réponse de Newton qui est la moitié de la valeur prédite par la
relativité générale. Tout ce travail au début admis que la lumière
pourrait ralentir et à l'automne [slow down and fall], ce qui était
incompatible avec la conception moderne des ondes lumineuses. Une fois
on a accepté que la lumière est une onde électromagnétique, il est
clair que la fréquence de la lumière ne devrait pas changer de place
en place, puisque les ondes d'une source avec une fréquence fixe
garder la même fréquence partout. Une façon de contourner cette
conclusion serait si le temps lui-même a été modifié, si les horloges
à différents points des taux différents. C'est précisément la
conclusion d'Einstein en 1911."

http://www.relativitybook.com/resour...n_gravity.html
Albert Einstein 1911: "Nothing compels us to assume that the clocks U
in different gravitation potentials must be regarded as going at the
same rate. On the contrary, we must certainly define the time in K in
such a way that the number of wave crests and troughs between S2 and
S1 is independent of the absolute value of time: for the process under
observation is by nature a stationary one. If we did not satisfy this
condition, we should arrive at a definition of time by the application
of which time would merge explicitly into the laws of nature, and this
would certainly be unnatural and unpractical. Therefore the two clocks
in S1 and S2 do not both give the "time" correctly. If we measure time
in S1 with the clock U, then we must measure time in S2 with a clock
which goes 1+phi/c^2 times more slowly than the clock U when compared
with U at one and the same place. For when measured by such a clock
the frequency of the ray of light which is considered above is at its
emission in S2 (...) equal to the frequency v1 of the same ray of
light on its arrival in S1. This has a consequence which is of
fundamental importance for our theory. For if we measure the velocity
of light at different places in the accelerated, gravitation-free
system K', employing clocks U of identical constitution we obtain the
same magnitude at all these places. The same holds good, by our
fundamental assumption, for the system K as well. But from what has
just been said we must use clocks of unlike constitution for measuring
time at places with differing gravitation potential. For measuring
time at a place which, relatively to the origin of the co-ordinates,
has the gravitation potential phi, we must employ a clock which - when
removed to the origin of co-ordinates - goes (1+phi/c^2) times more
slowly than the clock used for measuring time at the origin of co-
ordinates. If we call the velocity of light at the origin of co-
ordinates c0, then the velocity of light c at a place with the
gravitation potential phi will be given by the relation c=c0(1+phi/
c^2)."

Pentcho Valev

  #2  
Old November 21st 11, 06:13 PM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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Default DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS

http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9calage_d'Einstein
Wikipédia: "Le décalage d'Einstein est un effet prédit par les
équations d'Albert Einstein de la relativité générale. D'après cette
théorie, une fréquence produite dans un champ de gravitation est vue
décalée vers le rouge (c'est-à-dire diminuée) quand elle est observée
depuis un lieu où la gravitation est moindre. La cause de ce décalage
des fréquences est dans la dilatation du temps créée par la
gravitation. Mais une autre explication peut être fournie par la
contraction des longueurs due à la gravitation, appliquée aux
longueurs d'onde. Ces deux explications sont équivalentes..."

Vous voyez, Maurice Mashaal. Ou bien:

(dilatation gravitationnelle du temps, longueur d'onde constante),

ou bien:

(aucune dilatation gravitationnelle du temps, longueur d'onde
variable).

Ces deux explications sont fausses bien sûr. La vraie explication:

(aucune dilatation du temps, vitesse de la lumière variable, fréquence
variable, longueur d'onde constante).

Un jour vous publierez peut-être la vraie explication dans "Pour la
Science", Maurice Mashaal. Cela n'émouvra personne - cette science est
morte depuis longtemps. Même Jean-Marc Lévy-Leblond vous le dirait:

http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de
crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et
économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle
connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans
la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche
scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement
dit et la société au sens large."

http://www.archipope.net/article-12278372-6.html
"Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde.
Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l'Occident l'a
connue », tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond,
physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections
scientifiques des Editions du Seuil."

http://www.inra.fr/dpenv/pdf/LevyLeblondC56.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Il est peut-être trop tard. Rien ne prouve,
je le dis avec quelque gravité, que nous soyons capables d'opérer
aujourd'hui ces nécessaires mutations. L'histoire, précisément, nous
montre que, dans l'histoire des civilisations, les grands épisodes
scientifiques sont terminés... (...) Rien ne garantit donc que dans
les siècles à venir, notre civilisation, désormais mondiale, continue
à garder à la science en tant que telle la place qu'elle a eue pendant
quelques siècles."

http://www.autodidactproject.org/oth...deology_2.html
Ideology of/in Contemporary Physics, Jean-Marc Lévy-Leblond
"In this way, major advances in modern physics, especially in
relativity and quantum mechanics, have paradoxically fed an intensely
irrational current. One knows the popular expression for scepticism
and unconcern: 'everything is relative . . . as Einstein said' (and
this is not so harmless as one would believe). At a seemingly more
elaborate level, the mad attempts of Bergson to criticise and
reinstate the theory of relativity within his own philosophy, even if
they took place fifty years ago, still give evidence of a serious
crisis in the relations between science and philosophy. (...) As far
as the theories of relativity or quantum physics are concerned, the
last fifty years have hardly witnessed any major evolution in their
mode of presentation. Most handbooks are surprisingly similar,
repeating indefinitely the same schemes of inner organisation. As a
general rule, a historical or rather chronological introduction - of
dubious accuracy - is followed by some philosophical reflections in
which traditional dogmas are enunciated under a much more schematic
and poorer form than that of their creators. Having fulfilled this
first task, the author then approaches the 'strictly scientific'
content of the book. It consists, in general, of purely theoretical,
exaggeratedly formalistic accounts, from which references to real
experiments steadily vanish. Not a single impression is left of the
real procedures of scientific activity, of the dialectic between
theory and practice, heuristic models and formalism, axioms and
history. Modern physics appears as a collection of mathematical
formulae, whose only justification is that 'they work'. Moreover, the
'examples' used to 'concretise' the knowledge are often totally
unreal, and actually have the effect of making it even more abstract.
Such is the case when the explanation of special relativity is based
on the consideration of the entirely fictitious spatial and temporal
behaviour of clocks and trains (today sometimes one speaks of
rockets . . . it sounds better . . . but it is as stupid!). This kind
of science fiction (which is not even funny) is the more dangerous as
erases the existence of a large experimental practice, where the
theory of relativity is embodied in the study of high-energy
particles, involving hundreds of scientific workers, thousands of tons
of steel and millions of dollars. (...) This teaching situation, even
if it appears unhealthy and harmful with regard to the simple aims of
training and teaching (transmission of knowledge), is however in
perfect ideological harmony with the general context of modern
physics. A closed arduous, forbidding education, which stresses
technical manipulation more than conceptual understanding, in which
neither past difficulties nor future problems in the search for
knowledge appear, perfectly fulfils two essential roles: to promote
hierarchisation and the 'elite' spirit on behalf of a science shown as
being intrinsically difficult, to be within the reach of only a few
privileged individuals; and to impose a purely operational technical
concept of knowledge, far from a true conceptual understanding, which
would necessarily be critical and thus would reveal the limits of this
knowledge. This is why discussions about educational problems take on
the form of ideological struggle. It is also why, because of the
essentially political nature of the resistance to change in this
field, no reformist illusions should be entertained as to the
possibility of any major successes, as long as such a struggle only
relies on the internal critique of scientific workers and teachers,
remaining within the framework of an unchanged technical and social
division of labour. (...) The very availability of an essay as this
reflects the existence of a deep ideological crisis in the scientific
milieu. This crisis is particularly obvious in the field of physics.
It is expressed, on the one hand, by a lack of motivation on the part
of many young research workers, and, on the other hand, by the efforts
of readjustment and self-justification on the part of the
establishment. It is characterised by a serious loss of credibility in
traditional values, which before had made it possible for research
workers to create acceptable self-images. (...) Average scientists do
not even control the meaning of their own work. Very often, they are
obscure labourers in theoretical computation or experimentation; they
only have a very narrow perspective of the global process to which
their work is related. Confined to a limited subject, in a specialised
field, their competence is extremely restricted. It is only necessary
to listen to the complaints of the previous generations' scientists on
the disappearance of 'general culture' in science. In fact, the case
of physics is eloquent on the subject. One can say that, until the
beginning of this century, the knowledge of an average physicist had
progressed in a cumulative way, including progressively the whole of
previous discovery. The training of physicists demanded an almost
universal knowledge in the various spheres of physics. The arrival of
'modern' physics has brought about not only the parcelling of fields
of knowledge, but also the abandonment of whole areas. I have already
said that important sections of nineteenth-century physics are today
excluded from the scientific knowledge of many physicists. Therefore
the fields of competence are not only getting narrower, but some of
them are practically vanishing altogether. If physicists no longer
know about physics, a fortiori they know nothing about science! The
idea of a 'scientific culture', of a 'scientific method', of a
'scientific spirit', which were common to all scientists and used to
give them a large capacity for the rational understanding of all
reality, have turned into huge practical jokes. True, some scientists
have access to a global vision of their field or even of the social
organisation of science and social ties, but that tends to depend
solely on the position of power they occupy. The others, massively,
are dispossessed of all mastery over their activity. They have no
control, no understanding of its direction."

Pentcho Valev

  #3  
Old November 22nd 11, 08:22 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.pourlascience.fr/ewb_page...iona-26041.php
Craig CALLENDER, professeur de philosophie à l'Université de
Californie à San Diego, aux États-Unis: "Einstein lança l'assaut
suivant en éliminant la simultanéité absolue. D'après sa théorie de la
relativité restreinte, la détermination des événements qui se
produisent au même instant dépend du mouvement de l'observateur. La
véritable arène des événements n'est ni le temps ni l'espace, mais
leur réunion : l'espace-temps. Deux observateurs se déplaçant à des
vitesses différentes ne seront pas d'accord sur l'instant ni sur le
lieu où se produit un événement, mais ils seront d'accord sur sa
localisation dans l'espace-temps. L'espace et le temps sont ainsi des
concepts plus secondaires. Einstein n'a fait qu'empirer les choses en
1915 avec sa théorie de la relativité générale, qui étend la
relativité restreinte à des situations où la gravitation est
présente."
Pentcho Valev: "Le faux postulat d'Einstein? La théorie einsteinienne
est DEDUCTIVE, donc "Le temps est une illusion" n'est qu'une
conséquence des deux postulats d'Einstein de 1905. Si Craig Callender
n'accepte pas cette conséquence, il doit dénoncer le faux postulat.
John Norton doit faire la même chose: http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf
John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une
illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les
théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on
excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il
n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion."

Maurice Mashaal? Cette discussion est terminée en France? Vous avez
publié ma réaction mais c'était une faute impardonnable? Vous rejetez
toutes mes réactions sans les lire depuis?

Pentcho Valev

  #4  
Old November 22nd 11, 12:20 PM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.pourlascience.fr/ewb_page...ussi-26285.php
Alexandre Moatti: "L'expérience de Michelson et Morley, en 1887, en
est un premier exemple. Par la mesure des interférences obtenues lors
de deux trajets lumineux perpendiculaires (l'un dans le sens Nord-Sud,
l'autre dans le sens Est-Ouest, celui du déplacement terrestre),
l'expérience aurait dû mettre en évidence sur le trajet Est-Ouest une
vitesse de la lumière diminuée de la vitesse de rotation de la Terre
autour du Soleil. Il n'en fut rien. Ce résultat négatif a été expliqué
en 1905 par la théorie de la relativité restreinte d'Einstein, qui
stipule notamment que la vitesse de la lumière dans le vide est une
constante absolue, indépendante de l'observateur et de son mouvement.
L'expérience de Michelson et Morley a été répétée depuis un siècle
avec des dispositifs de plus en plus précis, et a toujours donné un
résultat négatif, confirmant la théorie de la relativité."

http://www.pourlascience.fr/ewb_page...vite-26042.php
Marc Lachièze-Rey: "Mais au cours du XIXe siècle, diverses
expériences, et notamment celle de Michelson et Morley, ont convaincu
les physiciens que la vitesse de la lumière dans le vide est
invariante. En particulier, la vitesse de la lumière ne s'ajoute ni ne
se retranche à celle de sa source si celle-ci est en mouvement."

Maurice Mashaal,

"Pour la Science" a publié ce mensonge combien de fois? La vérité
publiée une seule fois? Non? Impossible? Pourquoi, Maurice Mashaal?
"Pour la Science" doit publier des vérités de temps en temps.
Concernant l'expérience de Michelson-Morley, la vérité est la
suivante:

http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf
John Norton: "The Michelson-Morley experiment is fully compatible with
an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE."

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

Pentcho Valev

  #5  
Old November 22nd 11, 12:44 PM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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Maurice Mashaal,

J'avais oublié que le livre de Banesh Hoffmann etait publié par "Pour
la Science":

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

Donc, concernant l'expérience de Michelson-Morley, le bilan de "Pour
la Science" est peut-être le suivant:

- la vérité publiée une fois

- le mensonge publié plus de mille fois

Pentcho Valev

  #6  
Old November 22nd 11, 02:17 PM posted to sci.astro,sci.math
Ludovicus
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On Nov 22, 8:44*am, Pentcho Valev wrote:
Maurice Mashaal,

J'avais oublié que le livre de Banesh Hoffmann etait publié par "Pour
la Science":

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

Donc, concernant l'expérience de Michelson-Morley, le bilan de "Pour
la Science" est peut-être le suivant:

- la vérité publiée une fois

- le mensonge publié plus de mille fois

Pentcho Valev


THIS IS OUR MATH FORUM NOT YOUR PHYSICS FORUM
  #7  
Old November 25th 11, 10:12 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://groups.google.com/group/fr.sc...4253943ad50852
On Oct 30 2007 Alexandre Moatti wrote in fr.sci.physique:
Vous pouvez être intéressés à mon livre "Einstein, un siècle contre lui",
Editions Odile Jacob, octobre 2007 ( voir l'annonce sur mon blog de sciences http://www.maths-et-physique.net/article-13366169.html )

C'est une étude détaillée de l'opposition à la relativité, depuis les
physiciens expérimentaux (voire des philosophes ou des médecins) qui n'y
comprenaient pas grand'chose en 1920 jusqu'aux révisionnistes de la science
lors de l'année mondiale de la physique en 2005 (on en connaît dans ce
forum).

Un livre que je me suis bien amusé à écrire.

Bien à vous,

Alexandre Moatti


Toujours bien amusé, Moatti? Et bien rémunéré? Vous avez gagné
combien? L'opposition est définitivement écrasée? Il n'a resté que des
pontes et des sycophantes? Non l'opposition n'est pas écrasée, Moatti.
Ma proposition du 20 juin 2011 reste inchangée:

http://groups.google.com/group/fr.sc...5b460af396726d

http://www.amazon.fr/gp/product/2738...668551-5396107
Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait
toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle
impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie
par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de
corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de
la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et
indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle
passerait !"

Mais c'est Einstein qui utilisait, dans la période 1907-1915, les
implications de "la théorie corpusculaire" concernant la vitesse de la
lumière, Alexandre Moatti:

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-...ve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."

Donc la question cruciale est: En 1915, dans la version finale de la
relativité générale, la vitesse de la lumière est devenue constante
(ne varie pas avec le potentiel gravitationnel) ou encore plus
variable? Vous savez la réponse: la vitesse de la lumière est devenue
ENCORE PLUS VARIABLE dans la version finale de la relativité générale..
Alors, pourquoi mentez-vous, Alexandre Moatti?

Alexandre Moatti, vous êtes haut dans la hiérarchie einsteinienne en
France:

http://www.viadeo.com/fr/profile/alexandre.moatti
Alexandre Moatti, Directeur de la publication de http://www.science.gouv.fr/
, Ministère de la recherche

On ne trouve que des éloges pour Einstein sur http://www.science.gouv.fr/
pour le moment mais les temps changent. Si vous êtes un homme
judicieux, Alexandre Moatti, vous devez immédiatement publier un
article avec un titre comme:

"Les expériences de Michelson-Morley et de Pound-Rebka et la vitesse
de la lumière"

Pentcho Valev

  #8  
Old November 28th 11, 07:37 AM posted to sci.astro,sci.math
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Question raisonnable, réponse idiote:

http://forums.futura-sciences.com/as...e-lumiere.html
daniel100: "La gravitation affecterait-elle la vitesse de la lumière ?
Bonjour à tous et toutes, On sait que la vitesse de la lumière C
dépend du milieu : l'eau, le verre, le diamant... La gravitation ou
les champs électromagnétiques, affectent-ils C ? Peut-on dire que C
est affectée par un trou noir (C ferait-elle « marche arrière » ?!),
ou est-ce un autre phénomène ? Je fais référence à la vitesse de C et
non d'un changement de trajectoire. Merci,"
Gilgamesh, modérateur: "Le trajet optique va être affecté par la
présence d'une masse, donc sans que la vitesse en soit affectée, le
temps de parcours l'est. Ensuite la traversée d'un champs de gravité
fait perdre de l'énergie au champs EM et sa frequence diminue
(redshift)."

Jean-Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Jean
Eisenstaedt? Olivier Darrigol? Jean-Michel Alimi? Françoise Balibar?
Gilles Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Jean-Pierre Luminet? Qu'avez vous
fait de la science française?

Pentcho Valev

 




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