|
|
Thread Tools | Display Modes |
#1
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
http://www.pourlascience.fr/ewb_page...ique-24476.php
Maurice Mashaal: "Une traduction du décalage gravitationnel vers le rouge est qu'une horloge soumise à un champ de gravitation retarde par rapport à une horloge identique en l'absence de gravité. Pour un photon, cela signifie que sa fréquence est ralentie, ou que sa longueur d'onde est augmentée..." Si l'horloge soumise à un champ de gravitation retarde, Maurice Mashaal, la longueur d'onde ne peut pas augmenter. La dilatation gravitationnelle du temps introduite par Einstein en 1911 implique qu'aucune variation réelle concernant l'onde lumineuse n'a lieu: la vitesse est constante (ne varie pas avec le potentiel gravitationnel), la fréquence est constante, la longueur d'onde est constante. Il n'y a qu'une variation APPARENTE de la fréquence dont la seule cause est le temps dilaté: http://www.dicotop.com/gravitationnelle-redshift/ "L'affaiblissement gravitationnelle de la lumière des étoiles de haute gravité a été prédit par John Michell en 1783 et Pierre-Simon Laplace en 1796, en utilisant le concept d'Isaac Newton de corpuscules de lumière (voir: théorie de l’émission) et qui avait prédit que certaines étoiles aurait une gravité si forte que la lumière ne serait pas en mesure de s'échapper. L'effet de la gravité sur la lumière est ensuite explorée par Johann Georg von Soldner (1801), qui a calculé la quantité de déviation d'un rayon lumineux par le soleil, en arrivant à la réponse de Newton qui est la moitié de la valeur prédite par la relativité générale. Tout ce travail au début admis que la lumière pourrait ralentir et à l'automne [slow down and fall], ce qui était incompatible avec la conception moderne des ondes lumineuses. Une fois on a accepté que la lumière est une onde électromagnétique, il est clair que la fréquence de la lumière ne devrait pas changer de place en place, puisque les ondes d'une source avec une fréquence fixe garder la même fréquence partout. Une façon de contourner cette conclusion serait si le temps lui-même a été modifié, si les horloges à différents points des taux différents. C'est précisément la conclusion d'Einstein en 1911." http://www.relativitybook.com/resour...n_gravity.html Albert Einstein 1911: "Nothing compels us to assume that the clocks U in different gravitation potentials must be regarded as going at the same rate. On the contrary, we must certainly define the time in K in such a way that the number of wave crests and troughs between S2 and S1 is independent of the absolute value of time: for the process under observation is by nature a stationary one. If we did not satisfy this condition, we should arrive at a definition of time by the application of which time would merge explicitly into the laws of nature, and this would certainly be unnatural and unpractical. Therefore the two clocks in S1 and S2 do not both give the "time" correctly. If we measure time in S1 with the clock U, then we must measure time in S2 with a clock which goes 1+phi/c^2 times more slowly than the clock U when compared with U at one and the same place. For when measured by such a clock the frequency of the ray of light which is considered above is at its emission in S2 (...) equal to the frequency v1 of the same ray of light on its arrival in S1. This has a consequence which is of fundamental importance for our theory. For if we measure the velocity of light at different places in the accelerated, gravitation-free system K', employing clocks U of identical constitution we obtain the same magnitude at all these places. The same holds good, by our fundamental assumption, for the system K as well. But from what has just been said we must use clocks of unlike constitution for measuring time at places with differing gravitation potential. For measuring time at a place which, relatively to the origin of the co-ordinates, has the gravitation potential phi, we must employ a clock which - when removed to the origin of co-ordinates - goes (1+phi/c^2) times more slowly than the clock used for measuring time at the origin of co- ordinates. If we call the velocity of light at the origin of co- ordinates c0, then the velocity of light c at a place with the gravitation potential phi will be given by the relation c=c0(1+phi/ c^2)." Pentcho Valev |
#2
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9calage_d'Einstein
Wikipédia: "Le décalage d'Einstein est un effet prédit par les équations d'Albert Einstein de la relativité générale. D'après cette théorie, une fréquence produite dans un champ de gravitation est vue décalée vers le rouge (c'est-à-dire diminuée) quand elle est observée depuis un lieu où la gravitation est moindre. La cause de ce décalage des fréquences est dans la dilatation du temps créée par la gravitation. Mais une autre explication peut être fournie par la contraction des longueurs due à la gravitation, appliquée aux longueurs d'onde. Ces deux explications sont équivalentes..." Vous voyez, Maurice Mashaal. Ou bien: (dilatation gravitationnelle du temps, longueur d'onde constante), ou bien: (aucune dilatation gravitationnelle du temps, longueur d'onde variable). Ces deux explications sont fausses bien sûr. La vraie explication: (aucune dilatation du temps, vitesse de la lumière variable, fréquence variable, longueur d'onde constante). Un jour vous publierez peut-être la vraie explication dans "Pour la Science", Maurice Mashaal. Cela n'émouvra personne - cette science est morte depuis longtemps. Même Jean-Marc Lévy-Leblond vous le dirait: http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement dit et la société au sens large." http://www.archipope.net/article-12278372-6.html "Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde. Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l'Occident l'a connue », tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections scientifiques des Editions du Seuil." http://www.inra.fr/dpenv/pdf/LevyLeblondC56.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "Il est peut-être trop tard. Rien ne prouve, je le dis avec quelque gravité, que nous soyons capables d'opérer aujourd'hui ces nécessaires mutations. L'histoire, précisément, nous montre que, dans l'histoire des civilisations, les grands épisodes scientifiques sont terminés... (...) Rien ne garantit donc que dans les siècles à venir, notre civilisation, désormais mondiale, continue à garder à la science en tant que telle la place qu'elle a eue pendant quelques siècles." http://www.autodidactproject.org/oth...deology_2.html Ideology of/in Contemporary Physics, Jean-Marc Lévy-Leblond "In this way, major advances in modern physics, especially in relativity and quantum mechanics, have paradoxically fed an intensely irrational current. One knows the popular expression for scepticism and unconcern: 'everything is relative . . . as Einstein said' (and this is not so harmless as one would believe). At a seemingly more elaborate level, the mad attempts of Bergson to criticise and reinstate the theory of relativity within his own philosophy, even if they took place fifty years ago, still give evidence of a serious crisis in the relations between science and philosophy. (...) As far as the theories of relativity or quantum physics are concerned, the last fifty years have hardly witnessed any major evolution in their mode of presentation. Most handbooks are surprisingly similar, repeating indefinitely the same schemes of inner organisation. As a general rule, a historical or rather chronological introduction - of dubious accuracy - is followed by some philosophical reflections in which traditional dogmas are enunciated under a much more schematic and poorer form than that of their creators. Having fulfilled this first task, the author then approaches the 'strictly scientific' content of the book. It consists, in general, of purely theoretical, exaggeratedly formalistic accounts, from which references to real experiments steadily vanish. Not a single impression is left of the real procedures of scientific activity, of the dialectic between theory and practice, heuristic models and formalism, axioms and history. Modern physics appears as a collection of mathematical formulae, whose only justification is that 'they work'. Moreover, the 'examples' used to 'concretise' the knowledge are often totally unreal, and actually have the effect of making it even more abstract. Such is the case when the explanation of special relativity is based on the consideration of the entirely fictitious spatial and temporal behaviour of clocks and trains (today sometimes one speaks of rockets . . . it sounds better . . . but it is as stupid!). This kind of science fiction (which is not even funny) is the more dangerous as erases the existence of a large experimental practice, where the theory of relativity is embodied in the study of high-energy particles, involving hundreds of scientific workers, thousands of tons of steel and millions of dollars. (...) This teaching situation, even if it appears unhealthy and harmful with regard to the simple aims of training and teaching (transmission of knowledge), is however in perfect ideological harmony with the general context of modern physics. A closed arduous, forbidding education, which stresses technical manipulation more than conceptual understanding, in which neither past difficulties nor future problems in the search for knowledge appear, perfectly fulfils two essential roles: to promote hierarchisation and the 'elite' spirit on behalf of a science shown as being intrinsically difficult, to be within the reach of only a few privileged individuals; and to impose a purely operational technical concept of knowledge, far from a true conceptual understanding, which would necessarily be critical and thus would reveal the limits of this knowledge. This is why discussions about educational problems take on the form of ideological struggle. It is also why, because of the essentially political nature of the resistance to change in this field, no reformist illusions should be entertained as to the possibility of any major successes, as long as such a struggle only relies on the internal critique of scientific workers and teachers, remaining within the framework of an unchanged technical and social division of labour. (...) The very availability of an essay as this reflects the existence of a deep ideological crisis in the scientific milieu. This crisis is particularly obvious in the field of physics. It is expressed, on the one hand, by a lack of motivation on the part of many young research workers, and, on the other hand, by the efforts of readjustment and self-justification on the part of the establishment. It is characterised by a serious loss of credibility in traditional values, which before had made it possible for research workers to create acceptable self-images. (...) Average scientists do not even control the meaning of their own work. Very often, they are obscure labourers in theoretical computation or experimentation; they only have a very narrow perspective of the global process to which their work is related. Confined to a limited subject, in a specialised field, their competence is extremely restricted. It is only necessary to listen to the complaints of the previous generations' scientists on the disappearance of 'general culture' in science. In fact, the case of physics is eloquent on the subject. One can say that, until the beginning of this century, the knowledge of an average physicist had progressed in a cumulative way, including progressively the whole of previous discovery. The training of physicists demanded an almost universal knowledge in the various spheres of physics. The arrival of 'modern' physics has brought about not only the parcelling of fields of knowledge, but also the abandonment of whole areas. I have already said that important sections of nineteenth-century physics are today excluded from the scientific knowledge of many physicists. Therefore the fields of competence are not only getting narrower, but some of them are practically vanishing altogether. If physicists no longer know about physics, a fortiori they know nothing about science! The idea of a 'scientific culture', of a 'scientific method', of a 'scientific spirit', which were common to all scientists and used to give them a large capacity for the rational understanding of all reality, have turned into huge practical jokes. True, some scientists have access to a global vision of their field or even of the social organisation of science and social ties, but that tends to depend solely on the position of power they occupy. The others, massively, are dispossessed of all mastery over their activity. They have no control, no understanding of its direction." Pentcho Valev |
#3
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
http://www.pourlascience.fr/ewb_page...iona-26041.php
Craig CALLENDER, professeur de philosophie à l'Université de Californie à San Diego, aux États-Unis: "Einstein lança l'assaut suivant en éliminant la simultanéité absolue. D'après sa théorie de la relativité restreinte, la détermination des événements qui se produisent au même instant dépend du mouvement de l'observateur. La véritable arène des événements n'est ni le temps ni l'espace, mais leur réunion : l'espace-temps. Deux observateurs se déplaçant à des vitesses différentes ne seront pas d'accord sur l'instant ni sur le lieu où se produit un événement, mais ils seront d'accord sur sa localisation dans l'espace-temps. L'espace et le temps sont ainsi des concepts plus secondaires. Einstein n'a fait qu'empirer les choses en 1915 avec sa théorie de la relativité générale, qui étend la relativité restreinte à des situations où la gravitation est présente." Pentcho Valev: "Le faux postulat d'Einstein? La théorie einsteinienne est DEDUCTIVE, donc "Le temps est une illusion" n'est qu'une conséquence des deux postulats d'Einstein de 1905. Si Craig Callender n'accepte pas cette conséquence, il doit dénoncer le faux postulat. John Norton doit faire la même chose: http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion." Maurice Mashaal? Cette discussion est terminée en France? Vous avez publié ma réaction mais c'était une faute impardonnable? Vous rejetez toutes mes réactions sans les lire depuis? Pentcho Valev |
#4
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
http://www.pourlascience.fr/ewb_page...ussi-26285.php
Alexandre Moatti: "L'expérience de Michelson et Morley, en 1887, en est un premier exemple. Par la mesure des interférences obtenues lors de deux trajets lumineux perpendiculaires (l'un dans le sens Nord-Sud, l'autre dans le sens Est-Ouest, celui du déplacement terrestre), l'expérience aurait dû mettre en évidence sur le trajet Est-Ouest une vitesse de la lumière diminuée de la vitesse de rotation de la Terre autour du Soleil. Il n'en fut rien. Ce résultat négatif a été expliqué en 1905 par la théorie de la relativité restreinte d'Einstein, qui stipule notamment que la vitesse de la lumière dans le vide est une constante absolue, indépendante de l'observateur et de son mouvement. L'expérience de Michelson et Morley a été répétée depuis un siècle avec des dispositifs de plus en plus précis, et a toujours donné un résultat négatif, confirmant la théorie de la relativité." http://www.pourlascience.fr/ewb_page...vite-26042.php Marc Lachièze-Rey: "Mais au cours du XIXe siècle, diverses expériences, et notamment celle de Michelson et Morley, ont convaincu les physiciens que la vitesse de la lumière dans le vide est invariante. En particulier, la vitesse de la lumière ne s'ajoute ni ne se retranche à celle de sa source si celle-ci est en mouvement." Maurice Mashaal, "Pour la Science" a publié ce mensonge combien de fois? La vérité publiée une seule fois? Non? Impossible? Pourquoi, Maurice Mashaal? "Pour la Science" doit publier des vérités de temps en temps. Concernant l'expérience de Michelson-Morley, la vérité est la suivante: http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf John Norton: "The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." Pentcho Valev |
#5
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
Maurice Mashaal,
J'avais oublié que le livre de Banesh Hoffmann etait publié par "Pour la Science": http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." Donc, concernant l'expérience de Michelson-Morley, le bilan de "Pour la Science" est peut-être le suivant: - la vérité publiée une fois - le mensonge publié plus de mille fois Pentcho Valev |
#6
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
On Nov 22, 8:44*am, Pentcho Valev wrote:
Maurice Mashaal, J'avais oublié que le livre de Banesh Hoffmann etait publié par "Pour la Science": http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." Donc, concernant l'expérience de Michelson-Morley, le bilan de "Pour la Science" est peut-être le suivant: - la vérité publiée une fois - le mensonge publié plus de mille fois Pentcho Valev THIS IS OUR MATH FORUM NOT YOUR PHYSICS FORUM |
#7
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
http://groups.google.com/group/fr.sc...4253943ad50852
On Oct 30 2007 Alexandre Moatti wrote in fr.sci.physique: Vous pouvez être intéressés à mon livre "Einstein, un siècle contre lui", Editions Odile Jacob, octobre 2007 ( voir l'annonce sur mon blog de sciences http://www.maths-et-physique.net/article-13366169.html ) C'est une étude détaillée de l'opposition à la relativité, depuis les physiciens expérimentaux (voire des philosophes ou des médecins) qui n'y comprenaient pas grand'chose en 1920 jusqu'aux révisionnistes de la science lors de l'année mondiale de la physique en 2005 (on en connaît dans ce forum). Un livre que je me suis bien amusé à écrire. Bien à vous, Alexandre Moatti Toujours bien amusé, Moatti? Et bien rémunéré? Vous avez gagné combien? L'opposition est définitivement écrasée? Il n'a resté que des pontes et des sycophantes? Non l'opposition n'est pas écrasée, Moatti. Ma proposition du 20 juin 2011 reste inchangée: http://groups.google.com/group/fr.sc...5b460af396726d http://www.amazon.fr/gp/product/2738...668551-5396107 Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle passerait !" Mais c'est Einstein qui utilisait, dans la période 1907-1915, les implications de "la théorie corpusculaire" concernant la vitesse de la lumière, Alexandre Moatti: http://www.arte.tv/fr/La-relativite-...ve/856858.html Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet en 1911." Donc la question cruciale est: En 1915, dans la version finale de la relativité générale, la vitesse de la lumière est devenue constante (ne varie pas avec le potentiel gravitationnel) ou encore plus variable? Vous savez la réponse: la vitesse de la lumière est devenue ENCORE PLUS VARIABLE dans la version finale de la relativité générale.. Alors, pourquoi mentez-vous, Alexandre Moatti? Alexandre Moatti, vous êtes haut dans la hiérarchie einsteinienne en France: http://www.viadeo.com/fr/profile/alexandre.moatti Alexandre Moatti, Directeur de la publication de http://www.science.gouv.fr/ , Ministère de la recherche On ne trouve que des éloges pour Einstein sur http://www.science.gouv.fr/ pour le moment mais les temps changent. Si vous êtes un homme judicieux, Alexandre Moatti, vous devez immédiatement publier un article avec un titre comme: "Les expériences de Michelson-Morley et de Pound-Rebka et la vitesse de la lumière" Pentcho Valev |
#8
|
|||
|
|||
DILATATION GRAVITATIONNELLE DU TEMPS
Question raisonnable, réponse idiote:
http://forums.futura-sciences.com/as...e-lumiere.html daniel100: "La gravitation affecterait-elle la vitesse de la lumière ? Bonjour à tous et toutes, On sait que la vitesse de la lumière C dépend du milieu : l'eau, le verre, le diamant... La gravitation ou les champs électromagnétiques, affectent-ils C ? Peut-on dire que C est affectée par un trou noir (C ferait-elle « marche arrière » ?!), ou est-ce un autre phénomène ? Je fais référence à la vitesse de C et non d'un changement de trajectoire. Merci," Gilgamesh, modérateur: "Le trajet optique va être affecté par la présence d'une masse, donc sans que la vitesse en soit affectée, le temps de parcours l'est. Ensuite la traversée d'un champs de gravité fait perdre de l'énergie au champs EM et sa frequence diminue (redshift)." Jean-Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Jean Eisenstaedt? Olivier Darrigol? Jean-Michel Alimi? Françoise Balibar? Gilles Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Jean-Pierre Luminet? Qu'avez vous fait de la science française? Pentcho Valev |
Thread Tools | |
Display Modes | |
|
|
Similar Threads | ||||
Thread | Thread Starter | Forum | Replies | Last Post |
RELATIVITÉ ET TEMPS | Pentcho Valev | Astronomy Misc | 7 | August 28th 11 06:49 PM |
cpu temps running seti | Eric[_33_] | Amateur Astronomy | 1 | September 7th 08 05:37 PM |
Time dilatation, but no relativity of simultaneity or lengthcontraction | Pentcho Valev | Astronomy Misc | 7 | July 12th 08 08:51 PM |
Time dilatation in circular motion | Pentcho Valev | Astronomy Misc | 0 | May 5th 08 12:34 AM |