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SCIENCE ABSURDE FONDÉE SUR MENSONGE
http://www.savs.ch/fr/component/docm...ire-de-la-savs
"Contrairement à la plupart de ses contemporains à Göttingen, Ritz insiste pour que l'on modifie la théorie électrodynamique et l'optique pour satisfaire au principe classique de relativité, plutôt que d'appliquer la démarche inverse, comme l'ont fait Lorentz, Poincaré et Einstein. Il entame le développement de sa propre théorie, une «théorie de l'émission», basée sur l'hypothèse que la vitesse de la lumière dépend de la vitesse de la source émettrice; cette hypothèse s'oppose à celle d'Einstein, qui postule l'indépendance de la vitesse de la lumière comme l'une des bases de sa théorie de la relativité restreinte. (...) Malheureusement, la maladie emporte Walther Ritz avant qu'il ne puisse poursuivre plus avant l'élaboration de sa théorie propre. Après la mort du physicien, comme aucune expérience ne parvient à mettre en évidence une dépendance de la vitesse de la lumière par rapport au mouvement de la source émettrice, la théorie de l'émission de Ritz est abandonnée." Cette "aucune expérience" histoire était un mensonge flagrant. En 1887 l'expérience de Michelson-Morley avait confirmé, sans équivoque, la dépendance de la vitesse de la lumière prédite par la théorie de l'émission, et avait réfuté, toujours sans équivoque, l'hypothèse que la vitesse de la lumière ne dépend pas de la vitesse de la source émettrice (le second postulat d'Einstein de 1905): http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton's own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day." http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp. 39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE." La science absurde fondée sur le mensonge: http://www.pourlascience.fr/ewb_page...vite-26042.php Marc Lachièze-Rey: "Mais au cours du XIXe siècle, diverses expériences, et notamment celle de Michelson et Morley, ont convaincu les physiciens que la vitesse de la lumière dans le vide est invariante. En particulier, la vitesse de la lumière ne s'ajoute ni ne se retranche à celle de sa source si celle-ci est en mouvement. Autrement dit, la lumière n'obéit pas à la loi d'additivité des vitesses de la cinématique newtonienne (héritée de Galilée). (...) L'invariance de la vitesse de la lumière entraînait donc une remise en cause des notions newtoniennes de temps et d'espace absolus, ce qu'Einstein fut le premier à reconnaître pleinement. (...) La relativité restreinte exprime la disparition du temps, disparition encore plus radicale en relativité générale." Pentcho Valev |
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SCIENCE ABSURDE FONDÉE SUR MENSONGE
http://perso.ens-lyon.fr/karol.kozlo...elatAgreg5.pdf
Karol K. Kozlowski: "Il y eu alors entre 1881, date du résultat négatif de Michelson-Morley, et 1905 plusieurs tentatives pour essayer d'expliquer l'échec de l'expérience par rapport à la mesure du vent d'Éther. - On suppose que l'éther est entraîné par la Terre. Cela contredit l'expérience de Fizeau et les résultats provenant de l'aberration des étoiles. - On tente aussi d'argumenter que la vitesse de la lumière ne se rapporte pas à un système de référence, mais à la source lumineuse. C'est la théorie ballistique ou d'émission. Ainsi la vitesse de la lumière se compose avec celle du mouvement de la source. Cela explique l'expérience de Michelson mais est contredit par d'autres observations. On peut citer ici les mesures faite sur un système d'étoiles doubles. Le red shift maximal d'une des deux étoiles coïncide avec le blue shift maximal de l'autre. Il n'y a donc pas de retard de propagation comme le prédirait la théorie ballistique. - Il existe aussi une autre façon de justifier le résultat négatif de l'expérience de Michelson-Morley, c'est la contraction des longueurs proposée par Lorentz et Fitzgerald." ________________________________________________ [fin de la citation] La contraction des longueurs est proposée par Fitzgerald en 1889. Donc, entre 1881 et 1889, l'expérience de Michelson-Morley confirme, sans équivoque, la dépendance de la vitesse de la lumière prédite par la théorie de l'émission, et réfute, toujours sans équivoque, l'hypothèse que la vitesse de la lumière ne dépend pas de la vitesse de la source émettrice (le second postulat d'Einstein de 1905). Pentcho Valev |
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SCIENCE ABSURDE FONDÉE SUR MENSONGE
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoir...%A9_restreinte
"Comme alternative à la relativité, Walter Ritz (1908) et d'autres esquissent une théorie de l'émission qui s'appuie sur la théorie corpusculaire de Newton et selon laquelle la vitesse de la lumière dans tous les repères n'est constante que par rapport à la source (et non à quelque éther), et où, au lieu de la transformation de Lorentz, on utilise la transformation de Galilée (ce qui veut dire que dans un système où la source se meut avec une vitesse v, la lumière ne se propage pas à la vitesse c, mais à la vitesse v ± c). Cette théorie va donc à l'encontre de la vitesse constante de la lumière, mais elle satisfait au principe de relativité, et peut expliquer l'expérience de Michelson-Morley. Einstein a lui-même attiré l'attention avant 1905 sur ce type d'hypothèse, ce pourquoi dans ses écrits ultérieurs, il se réfère toujours à l'expérience de Michelson-Morley comme une confirmation du principe de relativité, et non comme une confirmation de la constance de la vitesse de la lumière." Supposons que le dernier énoncé soit vrai: Einstein "se réfère toujours à l'expérience de Michelson-Morley comme une confirmation du principe de relativité, et non comme une confirmation de la constance de la vitesse de la lumière". Pourquoi alors les enseignants d'aujourd'hui font-ils le contraire en se référant toujours à l'expérience de Michelson-Morley comme une confirmation de la constance de la vitesse de la lumière? Pour détruire l'esprit rationnel des étudiants? http://www.histoire-pour-tous.fr/dos...-physique.html Histoire Pour Tous: "Ils [Michelson et Morley] constatent que la vitesse de la lumière est la même dans tous les référentiels dans un même milieu, découverte qui crée un bouleversement dans la dynamique. En effet un observateur se déplaçant à une vitesse élevée, et un observateur étant immobile, dans un certain référentiel, verront un photon passer à la même vitesse..." http://culturesciencesphysique.ens-l..._CSP_relat.xml Gabrielle Bonnet, École Normale Supérieure de Lyon: "L'expérience de Michelson et Morley, qui a montré que le déplacement de la Terre autour du Soleil ne semble pas avoir d'influence sur la vitesse de la lumière sur Terre (celle-ci reste la même dans toutes les directions), démontre qu'en dépit du raisonnement effectué plus haut, c semble bien être la même dans tous les référentiels Galiléens..." http://www.lacosmo.com/relativite.html Christian Magnan: "Le fait que la vitesse de la lumière soit indépendante du système de coordonnées dans lequel on la mesure a eu, on le sait, une importance décisive dans l'invention de la théorie de la relativité. En montrant que cette vitesse de la lumière ne dépendait pas de la direction dans laquelle elle était mesurée, l'expérience de Michelson et Morley (l'article en décrivant le résultat date de 1887) a remis en cause toute la physique classique. Ces physiciens utilisèrent le vaisseau terrestre comme un repère en mouvement. La Terre tourne en effet autour du Soleil à la vitesse d'environ trente kilomètres par seconde. Selon la loi de composition des vitesses façon Galilée les vitesses devaient s'ajouter de sorte que la vitesse de la lumière, poussée en quelque sorte par la vitesse de la Terre, aurait dû être plus grande dans le sens où notre planète avance dans l'espace que dans le sens opposé ou dans le sens perpendiculaire. Mais en répétant les mesures tout au long de l'année, le long de l'orbite terrestre, Michelson et Morley ne détectèrent aucun effet de vitesse. Il fallait construire une théorie dans laquelle la valeur de la vitesse de la lumière s'avèrerait indépendante et de la direction et du repère choisi pour la mesurer." http://www.pourlascience.fr/ewb_page...vite-26042.php Marc Lachièze-Rey: "Mais au cours du XIXe siècle, diverses expériences, et notamment celle de Michelson et Morley, ont convaincu les physiciens que la vitesse de la lumière dans le vide est invariante. En particulier, la vitesse de la lumière ne s'ajoute ni ne se retranche à celle de sa source si celle-ci est en mouvement." http://ww2.ac-creteil.fr/lycees/93/l...e/p1chap6.html "postulat n°2: la vitesse d'un rayon de lumière donné est la même dans tous les référentiels galiléens. Ce second postulat est en accord avec l'expérience de Michelson: il affirme que la vitesse d'un rayon lumineux est la même que la source de lumière soit immobile ou en mouvement par rapport à l'observateur. (...) Les physiciens du 20ième siècle ont démontré (ex: travaux de Jean Marc Lévy-Leblond dans les années 1970) que le second 'postulat' d'Einstein n'était en fait pas un postulat car il découle d'un autre principe plus général appelé principe de causalité (qui dit qu'une conséquence est toujours nécessairement postérieure à sa cause...)" http://www.pourlascience.fr/ewb_page...ussi-26285.php Alexandre Moatti: "L'expérience de Michelson et Morley, en 1887, en est un premier exemple. Par la mesure des interférences obtenues lors de deux trajets lumineux perpendiculaires (l'un dans le sens Nord-Sud, l'autre dans le sens Est-Ouest, celui du déplacement terrestre), l'expérience aurait dû mettre en évidence sur le trajet Est-Ouest une vitesse de la lumière diminuée de la vitesse de rotation de la Terre autour du Soleil. Il n'en fut rien. Ce résultat négatif a été expliqué en 1905 par la théorie de la relativité restreinte d'Einstein, qui stipule notamment que la vitesse de la lumière dans le vide est une constante absolue, indépendante de l'observateur et de son mouvement. L'expérience de Michelson et Morley a été répétée depuis un siècle avec des dispositifs de plus en plus précis, et a toujours donné un résultat négatif, confirmant la théorie de la relativité." http://www.erudit.org/culture/libert...66/59825ac.pdf Hubert Reeves: "Historiquement, tout a commencé lorsque, vers 1880, deux physiciens, Michelson et Morley, obtinrent après une expérience célèbre un résultat parfaitement irréconciliable avec les théories de la physique contemporaine. L'existence de ce résultat provoqua dans le monde de la physique un malaise qui dura plusieurs années. Nombre de physiciens s'efforcèrent de réconcilier la théorie avec l'expérience, certains allant même jusqu'à supposer l'existence d'une conspiration de la nature contre les physiciens. En 1905, le jeune Einstein reprit le problème à neuf, et proposa d'établir en principe fondamental de la physique l'inéluctable et malencontreux résultat de Michelson et Morley. Sur ce principe on rebâtirait toute la physique, et on réévaluerait les idées acceptées à la lumière de leur compatibilité avec ce principe. De là est née la théorie de la relativité. Ce principe est le suivant : si un observateur mesure la vitesse de la lumière provenant d'une source lumineuse, il trouvera toujours la même valeur, soit 186,000 milles à la seconde (vitesse qu'on appelle la vitesse c) quel que soit l'état de mouvement de la source. En d'autres mots, que la source s'approche on s'éloigne de moi, sa lumière vient toujours vers moi avec la même vitesse. Que cet énoncé, en apparence anodin, puisse avoir des conséquences assez étranges, on le verra facilement par l'exemple suivant : je considère une source qui s'éloigne de moi avec une vitesse voisine de c (la vitesse de la lumière) ; à première vue, je suis porté à raisonner comme ceci : la lumière qui vient de la source vers moi aura peine à me ratrapper et me parviendra grandement ralentie. Notre principe, basé sur l'expérience, affirme que la vitesse de la lumière est toujours, là comme ailleurs, égale à c." http://www.pauljorion.com/blog/?p=9459 Paul Jorion: "Ce que Michelson et Morley parvinrent à établir grâce à l'expérience qu'ils réalisèrent en 1887 (Michelson la répéterait en 1897 à lUniversité de Chicago où il enseignait désormais), c'est que le principe newtonien ne s'applique pas à la lumière. Imaginons cette fois, que vous vous trouvez sur le toit d'un vaisseau intergalactique se déplaçant dans l'espace à la moitié de la vitesse de la lumière et que vous dirigez le faisceau de lumière émanant d'une torche d'un modèle courant dans la direction où progresse le vaisseau stellaire. Si le principe newtonien d'addition des vitesses s'appliquait à la lumière émanant de votre torche, elle voyagerait maintenant à une vitesse égale à une fois et demie celle de la lumière. Or, ce que l'« expérience cruciale » de Michelson et Morley révéla, c'est que ce n'est pas le cas : le principe d'additivité des vitesses ne s'applique pas : quelle que soit la vitesse à laquelle se déplace l'émetteur de lumière, la vitesse de la lumière dans le faisceau émis est c : 300 000 kilomètres par seconde, ni plus ni moins. Autrement dit, la vitesse de la lumière est constante (c représente en fait la vitesse de la lumière dans un vide)." http://philosophie.initiation.cours....-48902702.html "A la fin du XIXème siècle, les travaux de deux physiciens, Michelson et Morley, mirent en évidence le constat suivant : quelque soit le référentiel utilisé, la vitesse de la lumière est constante, ce qui est en totale contradiction avec la vision classique ayant cours à leur époque." http://www.sciences.univ-nantes.fr/p...at/51relat.htm Claude SAINT-BLANQUET, Maître de conférences: "Compte tenu des résultats de l'expérience de Michelson et Morley, on doit renoncer à la transformation de Galilée." Pentcho Valev |
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SCIENCE ABSURDE FONDÉE SUR MENSONGE
http://www.motionmountain.eu/bienvenue.html
LE LIVRE GRATUIT DE PHYSIQUE, La relativité - volume II p. 33: "Cette indépendance de la vitesse de la lumière par rapport à l'observateur fut vérifiée avec une grande précision par Michelson et Morley en 1887 et les années suivantes." Ce mensonge sera enseigné jusqu'à quand? Ce n'est plus nécessaire - l'esprit rationnel est disparu pour toujours. http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton's own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day." http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp. 39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE." Pentcho Valev |
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SCIENCE ABSURDE FONDÉE SUR MENSONGE
http://www.amazon.com/Curious-Histor.../dp/0691118655
The Curious History of Relativity: How Einstein's Theory of Gravity Was Lost and Found Again Jean Eisenstaedt pp. 18-19: "A passenger boards a one-hundred-meter-long train at the rear. The train travels one hundred kilometers in one hour. Our passenger gets off the train at the front; he has therefore traveled one hundred kilometers and one hundred meters while, during the same interval of time, the train (i.e., the front of the train) has traveled only one hundred kilometers. Thus the speed of our passenger will be one hundred kilometers per hour - the speed of the train - plus one hundred meters per hour (or, equivalently, 0.1 km per hour, his speed relative to the train), that is, 100.1 kilometers per hour. In short, all this amounts to a simple addition: 100.1=100+0.1. There is indeed addition of speeds. Q.E.D. This little argument holds the key to all classical mechanics. If, as Michelson's experiment showed, this theorem of the addition of speeds is not valid, in particular for light, then something is not right with our initial assumptions. Is it absolute space? Absolute time? The definition of speed? Where's the mistake? It must necessarily be in the concepts and definitions of physics, for the rest is just mathematics! The most convincing solution physicists will find will be special relativity." Jean Eisenstaedt, vous n'aviez pas lu Banesh Hoffmann et James Smith - leur interprétation de l'expérience de Michelson-Morley? Les aviez lus mais ne les aviez pas compris? Les aviez compris mais c'était la doublepensée qui vous guidait? http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp. 39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE." http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX George Orwell: "La doublepensée est le pouvoir de garder à l'esprit simultanément deux croyances contradictoires, et de les accepter toutes deux. Un intellectuel du Parti sait dans quel sens ses souvenirs doivent être modifiés. Il sait, par conséquent, qu'il joue avec la réalité, mais, par l'exercice de la doublepensée, il se persuade que la réalité nest pas violée. Le processus doit être conscient, autrement il ne pourrait être réalisé avec une précision suffisante, mais il doit aussi être inconscient. Sinon, il apporterait avec lui une impression de falsification et, partant, de culpabilité. La doublepensée se place au cur même de l'Angsoc, puisque l'acte essentiel du Parti est d'employer la duperie consciente, tout en retenant la fermeté d'intention qui va de pair avec l'honnêteté véritable. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement, oublier tous les faits devenus gênants puis, lorsque c'est nécessaire, les tirer de l'oubli pour seulement le laps de temps utile, nier l'existence dune réalité objective alors qu'on tient compte de la réalité qu'on nie, tout cela est d'une indispensable nécessité. Pour se servir même du mot doublepensée, il est nécessaire d'user de la dualité de la pensée, car employer le mot, c'est admettre que l'on modifie la réalité. Par un nouvel acte de doublepensée, on efface cette connaissance, et ainsi de suite indéfiniment, avec le mensonge toujours en avance d'un bond sur la vérité. (...) Il est à peine besoin de dire que les plus subtils praticiens de la doublepensée sont ceux qui l'inventèrent et qui savent qu'elle est un vaste système de duperie mentale. Dans notre société, ceux qui ont la connaissance la plus complète de ce qui se passe, sont aussi ceux qui sont les plus éloignés de voir le monde tel qu'il est. En général, plus vaste est la compréhension, plus profonde est l'illusion. Le plus intelligent est le moins normal." Pentcho Valev |
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