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TESTING SETS OF ASSUMPTIONS, NOT THEORIES
Standard red herrings and lies published in the journal NATU
http://www.nature.com/news/2011/1106....2011.358.html "Can the time-warping ways of Einstein's theory of general relativity be measured by the quantum 'ticking' of an atom? In 2010, researchers at the University of California, Berkeley, claimed in Nature that they had used an inexpensive table-top apparatus to show how gravity had altered a fundamental oscillation of two atoms. But a group of French researchers now say that these atomic oscillations don't work like clocks at all. "We found that these claims cannot be supported," says Luc Blanchet, a theorist at the Astrophysical Institute of Paris. Blanchet and his colleagues publish a critique today in Classical and Quantum Gravity, alongside another paper that independently criticizes the Berkeley researchers. For decades, researchers have been putting general relativity to the test. THE THEORY HAS HELD UP SO FAR..." It hasn't. General relativity says that the speed of light varies with phi, the gravitational potential, in accordance with the equation c'=c(1+2phi/c^2). The alternative, Newton's emission theory of light, gives a slightly different equation: c'=c(1+phi/c^2). The Pound-Rebka experiment says that the frequency varies with phi in accordance with the equation f'=f(1+phi/c^2). So the Pound-Rebka experiment refutes general relativity and confirms its alternative, Newton's emission theory of light. Don't forget the formula: (frequency) = (speed of light)/(wavelength) Other glorious tests of Divine Albert's Divine Theory: http://www.newscientist.com/article/...to-albert.html New Scientist: Ode to Albert "Enter another piece of luck for Einstein. We now know that the light- bending effect was actually too small for Eddington to have discerned at that time. Had Eddington not been so receptive to Einstein's theory, he might not have reached such strong conclusions so soon, and the world would have had to wait for more accurate eclipse measurements to confirm general relativity." http://www.amazon.com/Brief-History-.../dp/0553380168 Stephen Hawking: "Einsteins prediction of light deflection could not be tested immediately in 1915, because the First World War was in progress, and it was not until 1919 that a British expedition, observing an eclipse from West Africa, showed that light was indeed deflected by the sun, just as predicted by the theory. This proof of a German theory by British scientists was hailed as a great act of reconciliation between the two countries after the war. It is ionic, therefore, that later examination of the photographs taken on that expedition showed the errors were as great as the effect they were trying to measure. Their measurement had been sheer luck, or a case of knowing the result they wanted to get, not an uncommon occurrence in science." http://discovermagazine.com/2008/mar...out-relativity "The eclipse experiment finally happened in 1919 (youre looking at it on this very page). Eminent British physicist Arthur Eddington declared general relativity a success, catapulting Einstein into fame and onto coffee mugs. In retrospect, it seems that Eddington fudged the results, throwing out photos that showed the wrong outcome. No wonder nobody noticed: At the time of Einsteins death in 1955, scientists still had almost no evidence of general relativity in action." http://www.cieletespace.fr/evenement...taient-fausses Jean-Marc Bonnet-Bidaud: "L'expédition britannique envoie deux équipes indépendantes sur le trajet de l'éclipse : l'une dirigée par Andrew Crommelin dans la ville de Sobral, dans le nord du Brésil, l'autre conduite par Eddington lui-même sur l'île de Principe, en face de Libreville, au Gabon. Le matériel embarqué est des plus sommaires au regard des moyens actuels : une lunette astronomique de seulement 20 cm de diamètre en chaque lieu, avec un instrument de secours de 10 cm à Sobral. Pour éviter l'emploi d'une monture mécanique trop lourde à transporter, la lumière est dirigée vers les lunettes par de simples miroirs mobiles, ce qui se révélera être une bien mauvaise idée. La stratégie est assez complexe. Il s'agit d'exposer des plaques photographiques durant l'éclipse pour enregistrer la position d'un maximum d'étoiles autour du Soleil, puis de comparer avec des plaques témoins de la même région du ciel obtenues de nuit, quelques mois plus tard. La différence des positions entre les deux séries de plaques, avec et sans le Soleil, serait la preuve de l'effet de la relativité et le résultat est bien sûr connu à l'avance. Problème non négligeable : la différence attendue est minuscule. Au maximum, au bord même du Soleil, l'écart prévu est seulement de un demi dix- millième de degré, soit très précisément 1,75 seconde d'arc (1,75"), correspondant à l'écart entre les deux bords d'une pièce de monnaie observée à 3 km de distance ! Or, quantités d'effets parasites peuvent contaminer les mesures, la qualité de l'émulsion photographique, les variations dans l'atmosphère terrestre, la dilatation des miroirs... Le jour J, l'équipe brésilienne voit le ciel se dégager au dernier moment mais Eddington n'aperçoit l'éclipse qu'à travers les nuages ! Sa quête est très maigre, tout juste deux plaques sur lesquelles on distingue à peine cinq étoiles. Pressé de rentrer en Angleterre, Eddington ne prend même pas la précaution d'attendre les plaques témoins. Les choses vont beaucoup mieux à Sobral : 19 plaques avec plus d'une dizaine d'étoiles et huit plaques prises avec la lunette de secours. L'équipe reste sur place deux mois pour réaliser les fameuses plaques témoins et, le 25 août, tout le monde est en Angleterre. Eddington se lance dans des calculs qu'il est le seul à contrôler, décidant de corriger ses propres mesures avec des plaques obtenues avec un autre instrument, dans une autre région du ciel, autour d'Arcturus. Il conclut finalement à une déviation comprise entre 1,31" et 1,91" : le triomphe d'Einstein est assuré ! Très peu sûr de sa méthode, Eddington attend anxieusement les résultats de l'autre expédition qui arrivent en octobre, comme une douche froide : suivant une méthode d'analyse rigoureuse, l'instrument principal de Sobral a mesuré une déviation de seulement 0,93". La catastrophe est en vue. S'ensuivent de longues tractations entre Eddington et Dyson, directeurs respectifs des observatoires de Cambridge et de Greenwich. On repêche alors les données de la lunette de secours de Sobral, qui a le bon goût de produire comme résultat un confortable 1,98", et le tour de passe-passe est joué. Dans la publication historique de la Royal Society, on lit comme justification une simple note : "Il reste les plaques astrographiques de Sobral qui donnent une déviation de 0,93", discordantes par une quantité au-delà des limites des erreurs accidentelles. Pour les raisons déjà longuement exposées, peu de poids est accordé à cette détermination." Plus loin, apparaît la conclusion catégorique: "Les résultats de Sobral et Principe laissent peu de doute qu'une déviation de la lumière existe au voisinage du Soleil et qu'elle est d'une amplitude exigée par la théorie de la relativité généralisée d'Einstein." Les données gênantes ont donc tout simplement été escamotées." http://alasource.blogs.nouvelobs.com...-deuxieme.html "D'abord il [Einstein] fait une hypothèse fausse (facile à dire aujourd'hui !) dans son équation de départ qui décrit les relations étroites entre géométrie de l'espace et contenu de matière de cet espace. Avec cette hypothèse il tente de calculer l'avance du périhélie de Mercure. Cette petite anomalie (à l'époque) du mouvement de la planète était un mystère. Einstein et Besso aboutissent finalement sur un nombre aberrant et s'aperçoivent qu'en fait le résultat est cent fois trop grand à cause d'une erreur dans la masse du soleil... Mais, même corrigé, le résultat reste loin des observations. Pourtant le physicien ne rejeta pas son idée. "Nous voyons là que si les critères de Popper étaient toujours respectés, la théorie aurait dû être abandonnée", constate, ironique, Etienne Klein. Un coup de main d'un autre ami, Grossmann, sortira Einstein de la difficulté et sa nouvelle équation s'avéra bonne. En quelques jours, il trouve la bonne réponse pour l'avance du périhélie de Mercure..." http://www.cieletespace.fr/evenement...taient-fausses Jean-Marc Bonnet-Bidaud: "L'épilogue du dernier test de la relativité, celui de l'orbite de Mercure, est encore plus passionnant. Ce fut en réalité un test a posteriori de la théorie, puisque la prédiction a fait suite à l'observation et ne l'a pas précédée. L'accord est stupéfiant. Le décalage observé dans la position de Mercure est de 43,11" par siècle, tandis que la prédiction de la relativité est de 42,98" par siècle ! Cette révision de l'horloge cosmique est toujours considérée comme le grand succès d'Einstein, mais elle est encore sous l'épée de Damoclès. En effet, des scientifiques soupçonnent que le Soleil pourrait ne pas être rigoureusement sphérique et un "aplatissement" réel introduirait une correction supplémentaire. La précision actuelle deviendrait alors le talon d'Achille compromettant le bel accord de la théorie." http://adsabs.harvard.edu/abs/2010AAS...21530404H Open Questions Regarding the 1925 Measurement of the Gravitational Redshift of Sirius B Jay B. Holberg Univ. of Arizona. "In January 1924 Arthur Eddington wrote to Walter S. Adams at the Mt. Wilson Observatory suggesting a measurement of the "Einstein shift" in Sirius B and providing an estimate of its magnitude. Adams' 1925 published results agreed remarkably well with Eddington's estimate. Initially this achievement was hailed as the third empirical test of General Relativity (after Mercury's anomalous perihelion advance and the 1919 measurement of the deflection of starlight). IT HAS BEEN KNOWN FOR SOME TIME THAT BOTH EDDINGTON'S ESTIMATE AND ADAMS' MEASUREMENT UNDERESTIMATED THE TRUE SIRIUS B GRAVITATIONAL REDSHIFT BY A FACTOR OF FOUR." http://www.cieletespace.fr/evenement...taient-fausses Jean-Marc Bonnet Bidaud: "Autour de l'étoile brillante Sirius, on découvre une petite étoile, Sirius B, à la fois très chaude et très faiblement lumineuse. Pour expliquer ces deux particularités, il faut supposer que l'étoile est aussi massive que le Soleil et aussi petite qu'une planète comme la Terre. C'est Eddington lui-même qui aboutit à cette conclusion dont il voit vite l'intérêt : avec de telles caractéristiques, ces naines blanches sont extrêmement denses et leur gravité très puissante. Le décalage vers le rouge de la gravitation est donc 100 fois plus élevé que sur le Soleil. Une occasion inespérée pour mesurer enfin quelque chose d'appréciable. Eddington s'adresse aussitôt à Walter Adams, directeur de l'observatoire du mont Wilson, en Californie, afin que le télescope de 2,5 m de diamètre Hooker entreprenne les vérifications. Selon ses estimations, basées sur une température de 8 000 degrés de Sirius B, mesurée par Adams lui-même, le décalage vers le rouge prédit par la relativité, en s'élevant à 20 km/s, devrait être facilement mesurable. Adams mobilise d'urgence le grand télescope et expose 28 plaques photographiques pour réaliser la mesure. Son rapport, publié le 18 mai 1925, est très confus car il mesure des vitesses allant de 2 à 33 km/s. Mais, par le jeu de corrections arbitraires dont personne ne comprendra jamais la logique, le décalage passe finalement à 21 km/s, plus tard corrigé à 19 km/s, et Eddington de conclure : "Les résultats peuvent être considérés comme fournissant une preuve directe de la validité du troisième test de la théorie de la relativité générale." Adams et Eddington se congratulent, ils viennent encore de "prouver" Einstein. Ce résultat, pourtant faux, ne sera pas remis en cause avant 1971. Manque de chance effectivement, la première mesure de température de Sirius B était largement inexacte : au lieu des 8 000 degrés envisagés par Eddington, l'étoile fait en réalité près de 30 000 degrés. Elle est donc beaucoup plus petite, sa gravité est plus intense et le décalage vers le rouge mesurable est de 89 km/s. C'est ce qu'aurait dû trouver Adams sur ses plaques s'il n'avait pas été "influencé" par le calcul erroné d'Eddington. L'écart est tellement flagrant que la suspicion de fraude a bien été envisagée." Pentcho Valev |
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