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TESTING SETS OF ASSUMPTIONS, NOT THEORIES



 
 
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  #11  
Old June 10th 11, 06:48 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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Standard red herrings and lies published in the journal NATU

http://www.nature.com/news/2011/1106....2011.358.html
"Can the time-warping ways of Einstein's theory of general relativity
be measured by the quantum 'ticking' of an atom? In 2010, researchers
at the University of California, Berkeley, claimed in Nature that they
had used an inexpensive table-top apparatus to show how gravity had
altered a fundamental oscillation of two atoms. But a group of French
researchers now say that these atomic oscillations don't work like
clocks at all. "We found that these claims cannot be supported," says
Luc Blanchet, a theorist at the Astrophysical Institute of Paris.
Blanchet and his colleagues publish a critique today in Classical and
Quantum Gravity, alongside another paper that independently criticizes
the Berkeley researchers. For decades, researchers have been putting
general relativity to the test. THE THEORY HAS HELD UP SO FAR..."

It hasn't. General relativity says that the speed of light varies with
phi, the gravitational potential, in accordance with the equation
c'=c(1+2phi/c^2). The alternative, Newton's emission theory of light,
gives a slightly different equation: c'=c(1+phi/c^2). The Pound-Rebka
experiment says that the frequency varies with phi in accordance with
the equation f'=f(1+phi/c^2). So the Pound-Rebka experiment refutes
general relativity and confirms its alternative, Newton's emission
theory of light. Don't forget the formula:

(frequency) = (speed of light)/(wavelength)

Other glorious tests of Divine Albert's Divine Theory:

http://www.newscientist.com/article/...to-albert.html
New Scientist: Ode to Albert
"Enter another piece of luck for Einstein. We now know that the light-
bending effect was actually too small for Eddington to have discerned
at that time. Had Eddington not been so receptive to Einstein's
theory, he might not have reached such strong conclusions so soon, and
the world would have had to wait for more accurate eclipse
measurements to confirm general relativity."

http://www.amazon.com/Brief-History-.../dp/0553380168
Stephen Hawking: "Einsteins prediction of light deflection could not
be tested immediately in 1915, because the First World War was in
progress, and it was not until 1919 that a British expedition,
observing an eclipse from West Africa, showed that light was indeed
deflected by the sun, just as predicted by the theory. This proof of a
German theory by British scientists was hailed as a great act of
reconciliation between the two countries after the war. It is ionic,
therefore, that later examination of the photographs taken on that
expedition showed the errors were as great as the effect they were
trying to measure. Their measurement had been sheer luck, or a case of
knowing the result they wanted to get, not an uncommon occurrence in
science."

http://discovermagazine.com/2008/mar...out-relativity
"The eclipse experiment finally happened in 1919 (youre looking at it
on this very page). Eminent British physicist Arthur Eddington
declared general relativity a success, catapulting Einstein into fame
and onto coffee mugs. In retrospect, it seems that Eddington fudged
the results, throwing out photos that showed the wrong outcome. No
wonder nobody noticed: At the time of Einsteins death in 1955,
scientists still had almost no evidence of general relativity in
action."

http://www.cieletespace.fr/evenement...taient-fausses
Jean-Marc Bonnet-Bidaud: "L'expédition britannique envoie deux équipes
indépendantes sur le trajet de l'éclipse : l'une dirigée par Andrew
Crommelin dans la ville de Sobral, dans le nord du Brésil, l'autre
conduite par Eddington lui-même sur l'île de Principe, en face de
Libreville, au Gabon. Le matériel embarqué est des plus sommaires au
regard des moyens actuels : une lunette astronomique de seulement 20
cm de diamètre en chaque lieu, avec un instrument de secours de 10 cm
à Sobral. Pour éviter l'emploi d'une monture mécanique trop lourde à
transporter, la lumière est dirigée vers les lunettes par de simples
miroirs mobiles, ce qui se révélera être une bien mauvaise idée. La
stratégie est assez complexe. Il s'agit d'exposer des plaques
photographiques durant l'éclipse pour enregistrer la position d'un
maximum d'étoiles autour du Soleil, puis de comparer avec des plaques
témoins de la même région du ciel obtenues de nuit, quelques mois plus
tard. La différence des positions entre les deux séries de plaques,
avec et sans le Soleil, serait la preuve de l'effet de la relativité
et le résultat est bien sûr connu à l'avance. Problème non
négligeable : la différence attendue est minuscule. Au maximum, au
bord même du Soleil, l'écart prévu est seulement de un demi dix-
millième de degré, soit très précisément 1,75 seconde d'arc (1,75"),
correspondant à l'écart entre les deux bords d'une pièce de monnaie
observée à 3 km de distance ! Or, quantités d'effets parasites peuvent
contaminer les mesures, la qualité de l'émulsion photographique, les
variations dans l'atmosphère terrestre, la dilatation des miroirs...
Le jour J, l'équipe brésilienne voit le ciel se dégager au dernier
moment mais Eddington n'aperçoit l'éclipse qu'à travers les nuages !
Sa quête est très maigre, tout juste deux plaques sur lesquelles on
distingue à peine cinq étoiles. Pressé de rentrer en Angleterre,
Eddington ne prend même pas la précaution d'attendre les plaques
témoins. Les choses vont beaucoup mieux à Sobral : 19 plaques avec
plus d'une dizaine d'étoiles et huit plaques prises avec la lunette de
secours. L'équipe reste sur place deux mois pour réaliser les fameuses
plaques témoins et, le 25 août, tout le monde est en Angleterre.
Eddington se lance dans des calculs qu'il est le seul à contrôler,
décidant de corriger ses propres mesures avec des plaques obtenues
avec un autre instrument, dans une autre région du ciel, autour
d'Arcturus. Il conclut finalement à une déviation comprise entre 1,31"
et 1,91" : le triomphe d'Einstein est assuré ! Très peu sûr de sa
méthode, Eddington attend anxieusement les résultats de l'autre
expédition qui arrivent en octobre, comme une douche froide : suivant
une méthode d'analyse rigoureuse, l'instrument principal de Sobral a
mesuré une déviation de seulement 0,93". La catastrophe est en vue.
S'ensuivent de longues tractations entre Eddington et Dyson,
directeurs respectifs des observatoires de Cambridge et de Greenwich.
On repêche alors les données de la lunette de secours de Sobral, qui a
le bon goût de produire comme résultat un confortable 1,98", et le
tour de passe-passe est joué. Dans la publication historique de la
Royal Society, on lit comme justification une simple note : "Il reste
les plaques astrographiques de Sobral qui donnent une déviation de
0,93", discordantes par une quantité au-delà des limites des erreurs
accidentelles. Pour les raisons déjà longuement exposées, peu de poids
est accordé à cette détermination." Plus loin, apparaît la conclusion
catégorique: "Les résultats de Sobral et Principe laissent peu de
doute qu'une déviation de la lumière existe au voisinage du Soleil et
qu'elle est d'une amplitude exigée par la théorie de la relativité
généralisée d'Einstein." Les données gênantes ont donc tout simplement
été escamotées."

http://alasource.blogs.nouvelobs.com...-deuxieme.html
"D'abord il [Einstein] fait une hypothèse fausse (facile à dire
aujourd'hui !) dans son équation de départ qui décrit les relations
étroites entre géométrie de l'espace et contenu de matière de cet
espace. Avec cette hypothèse il tente de calculer l'avance du
périhélie de Mercure. Cette petite anomalie (à l'époque) du mouvement
de la planète était un mystère. Einstein et Besso aboutissent
finalement sur un nombre aberrant et s'aperçoivent qu'en fait le
résultat est cent fois trop grand à cause d'une erreur dans la masse
du soleil... Mais, même corrigé, le résultat reste loin des
observations. Pourtant le physicien ne rejeta pas son idée. "Nous
voyons là que si les critères de Popper étaient toujours respectés, la
théorie aurait dû être abandonnée", constate, ironique, Etienne Klein.
Un coup de main d'un autre ami, Grossmann, sortira Einstein de la
difficulté et sa nouvelle équation s'avéra bonne. En quelques jours,
il trouve la bonne réponse pour l'avance du périhélie de Mercure..."

http://www.cieletespace.fr/evenement...taient-fausses
Jean-Marc Bonnet-Bidaud: "L'épilogue du dernier test de la relativité,
celui de l'orbite de Mercure, est encore plus passionnant. Ce fut en
réalité un test a posteriori de la théorie, puisque la prédiction a
fait suite à l'observation et ne l'a pas précédée. L'accord est
stupéfiant. Le décalage observé dans la position de Mercure est de
43,11" par siècle, tandis que la prédiction de la relativité est de
42,98" par siècle ! Cette révision de l'horloge cosmique est toujours
considérée comme le grand succès d'Einstein, mais elle est encore sous
l'épée de Damoclès. En effet, des scientifiques soupçonnent que le
Soleil pourrait ne pas être rigoureusement sphérique et un
"aplatissement" réel introduirait une correction supplémentaire. La
précision actuelle deviendrait alors le talon d'Achille compromettant
le bel accord de la théorie."

http://adsabs.harvard.edu/abs/2010AAS...21530404H
Open Questions Regarding the 1925 Measurement of the Gravitational
Redshift of Sirius B
Jay B. Holberg Univ. of Arizona.
"In January 1924 Arthur Eddington wrote to Walter S. Adams at the Mt.
Wilson Observatory suggesting a measurement of the "Einstein shift" in
Sirius B and providing an estimate of its magnitude. Adams' 1925
published results agreed remarkably well with Eddington's estimate.
Initially this achievement was hailed as the third empirical test of
General Relativity (after Mercury's anomalous perihelion advance and
the 1919 measurement of the deflection of starlight). IT HAS BEEN
KNOWN FOR SOME TIME THAT BOTH EDDINGTON'S ESTIMATE AND ADAMS'
MEASUREMENT UNDERESTIMATED THE TRUE SIRIUS B GRAVITATIONAL REDSHIFT BY
A FACTOR OF FOUR."

http://www.cieletespace.fr/evenement...taient-fausses
Jean-Marc Bonnet Bidaud: "Autour de l'étoile brillante Sirius, on
découvre une petite étoile, Sirius B, à la fois très chaude et très
faiblement lumineuse. Pour expliquer ces deux particularités, il faut
supposer que l'étoile est aussi massive que le Soleil et aussi petite
qu'une planète comme la Terre. C'est Eddington lui-même qui aboutit à
cette conclusion dont il voit vite l'intérêt : avec de telles
caractéristiques, ces naines blanches sont extrêmement denses et leur
gravité très puissante. Le décalage vers le rouge de la gravitation
est donc 100 fois plus élevé que sur le Soleil. Une occasion inespérée
pour mesurer enfin quelque chose d'appréciable. Eddington s'adresse
aussitôt à Walter Adams, directeur de l'observatoire du mont Wilson,
en Californie, afin que le télescope de 2,5 m de diamètre Hooker
entreprenne les vérifications. Selon ses estimations, basées sur une
température de 8 000 degrés de Sirius B, mesurée par Adams lui-même,
le décalage vers le rouge prédit par la relativité, en s'élevant à 20
km/s, devrait être facilement mesurable. Adams mobilise d'urgence le
grand télescope et expose 28 plaques photographiques pour réaliser la
mesure. Son rapport, publié le 18 mai 1925, est très confus car il
mesure des vitesses allant de 2 à 33 km/s. Mais, par le jeu de
corrections arbitraires dont personne ne comprendra jamais la logique,
le décalage passe finalement à 21 km/s, plus tard corrigé à 19 km/s,
et Eddington de conclure : "Les résultats peuvent être considérés
comme fournissant une preuve directe de la validité du troisième test
de la théorie de la relativité générale." Adams et Eddington se
congratulent, ils viennent encore de "prouver" Einstein. Ce résultat,
pourtant faux, ne sera pas remis en cause avant 1971. Manque de chance
effectivement, la première mesure de température de Sirius B était
largement inexacte : au lieu des 8 000 degrés envisagés par Eddington,
l'étoile fait en réalité près de 30 000 degrés. Elle est donc beaucoup
plus petite, sa gravité est plus intense et le décalage vers le rouge
mesurable est de 89 km/s. C'est ce qu'aurait dû trouver Adams sur ses
plaques s'il n'avait pas été "influencé" par le calcul erroné
d'Eddington. L'écart est tellement flagrant que la suspicion de fraude
a bien été envisagée."

Pentcho Valev

 




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