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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE



 
 
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  #1  
Old April 27th 11, 02:46 PM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

http://agenda.ipc.univ-paris-diderot....php?article95
Etienne Klein: "La chose est devenue d'autant plus urgente que les
idées relativistes - et même absolument relativistes - gagnent du
terrain : on accuse désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce
à des arguments d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien
privilégié avec le « vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me
permettra de raconter, m'a fait récemment prendre conscience de cette
situation. Un jour, au terme d'un cours donné devant des élèves-
ingénieurs, alors que je venais de terminer au tableau un calcul de
relativité montrant que la durée d'un phénomène n'est pas la même pour
tous les observateurs, un jeune homme demanda la parole : « Monsieur,
personnellement, je ne suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai
qu'il allait défendre une théorie alternative, donner des éléments
pour remettre en selle l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait
mise à mort, bref qu'il allait argumenter. Je l'invitai donc à
s'expliquer : « Je ne crois pas à cette dilatation des durées que vous
venez de calculer, se contenta-t-il de répondre, parce que je ne la...
sens pas ! ». Ce jeune homme avait donc suffisamment confiance dans
ses intuitions et sa subjectivité pour penser qu'elles lui
permettaient de contester un résultat que près d'un siècle
d'expérimentation et d'objectivation avait permis de valider..."

Ce jeune homme avait des exigences CULTURELLES: "Sentir" une théorie
déductive veut dire vérifier si sa logique est valide et si ses
conclusions ne sont pas absurdes (si elles le sont, un postulat doit
être faux). Les preuves expérimentales ne satisfont pas aux exigences
culturelles - elles ne concernent que le coté PRAGMATIQUE de la
théorie. Si Etienne Klein était un professeur honnête, il analyserait
avec l'étudiant les conclusions les plus absurdes de la même théorie:

http://www.youtube.com/watch?v=VSRIy...related&search
Einsteinians trap long trains inside short tunnels

http://math.ucr.edu/home/baez/physic...barn_pole.html
"These are the props. You own a barn, 40m long, with automatic doors
at either end, that can be opened and closed simultaneously by a
switch. You also have a pole, 80m long, which of course won't fit in
the barn. Now someone takes the pole and tries to run (at nearly the
speed of light) through the barn with the pole horizontal. Special
Relativity (SR) says that a moving object is contracted in the
direction of motion: this is called the Lorentz Contraction. So, if
the pole is set in motion lengthwise, then it will contract in the
reference frame of a stationary observer.....So, as the pole passes
through the barn, there is an instant when it is completely within the
barn. At that instant, you close both doors simultaneously, with your
switch. Of course, you open them again pretty quickly, but at least
momentarily you had the contracted pole shut up in your barn. The
runner emerges from the far door unscathed.....If the doors are kept
shut the rod will obviously smash into the barn door at one end. If
the door withstands this the leading end of the rod will come to rest
in the frame of reference of the stationary observer. There can be no
such thing as a rigid rod in relativity so the trailing end will not
stop immediately and the rod will be compressed beyond the amount it
was Lorentz contracted. If it does not explode under the strain and it
is sufficiently elastic it will come to rest and start to spring back
to its natural shape but since it is too big for the barn the other
end is now going to crash into the back door and the rod will be
trapped IN A COMPRESSED STATE inside the barn."

http://master-p6.obspm.fr/relat/anne...atTD1_1011.pdf
Université Pierre et Marie Curie
"La situation est la suivante : un perchiste se saisit d'une perche
mesurant 10 m, puis il s'élance en direction d'une grange mesurant 5 m
de profondeur et percée de deux portes A et B (cf fig. 0.1). On
suppose que le perchiste se déplace à une vitesse constante v telle
que gamma = 2. Le paradoxe est le suivant : le perchiste a une perche
de 10 m et voit une grange de longueur 5/gamma = 2,5 m, donc la perche
ne rentre pas. De son côté, la grange voit une perche de longueur 10/
gamma = 5 m, donc la perche rentre. Finalement, est-ce que la perche
rentre dans la grange ? Que se passe-t-il si on ferme la porte en B?
(...) ...lorsque le bout P atteint la porte fermée en B, l'autre bout
de la barre n'est pas encore au courant et la perche se contracte très
fortement, jusqu'à ce que l'information que B est fermée se propage,
via des ondes acoustiques, le long de la barre jusqu'en P."

http://www.quebecscience.qc.ca/Revolutions
"Cependant, si une fusée de 100 m passait devant nous à une vitesse
proche de celle de la lumière, elle pourrait sembler ne mesurer que 50
m, ou même moins. Bien sûr, la question qui vient tout de suite à
l'esprit est: «Cette contraction n'est-elle qu'une illusion?» Il
semble tout à fait incroyable que le simple mouvement puisse comprimer
un objet aussi rigide qu'une fusée. Et pourtant, la contraction est
réelle... mais SANS COMPRESSION physique de l'objet! Ainsi, une fusée
de 100 m passant à toute vitesse dans un tunnel de 60 m pourrait être
entièrement contenue dans ce tunnel pendant une fraction de seconde,
durant laquelle il serait possible de fermer des portes aux deux
bouts! La fusée est donc réellement plus courte. Pourtant, il n'y a
PAS DE COMPRESSION matérielle ou physique de l'engin. Comment est-ce
possible?"

http://alcor.concordia.ca/~scol/semi...ts/Durand.html
"La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans
déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une
illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est
plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être
contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par
contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche,
i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa
longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se
mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche.
Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi-
même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas
une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les
deux cas)."

http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html
"The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon
l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé.

REDUCTIO AD ABSURDUM: Les conclusions absurdes de la relativité
restreinte montrent que le principe de la constance de la vitesse de
la lumière avancé par Einstein en 1905 est FAUX.

Pentcho Valev

  #2  
Old April 27th 11, 04:44 PM posted to sci.astro,sci.math
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Pentcho Valev a écrit :
http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html
"The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon
l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé.


Absolument pas,

REDUCTIO AD ABSURDUM: Les conclusions absurdes de la relativité
restreinte montrent que le principe de la constance de la vitesse de
la lumière avancé par Einstein en 1905 est FAUX.


Tout aussi faux.

Aucune honte, Pentcho Valev de vous montrer à la fois idiot et
menteur en public ?
  #3  
Old April 28th 11, 06:58 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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http://agenda.ipc.univ-paris-diderot....php?article95
Etienne Klein: "La chose est devenue d'autant plus urgente que les
idées relativistes - et même absolument relativistes - gagnent du
terrain : on accuse désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce
à des arguments d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien
privilégié avec le « vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me
permettra de raconter, m'a fait récemment prendre conscience de cette
situation. Un jour, au terme d'un cours donné devant des élèves-
ingénieurs, alors que je venais de terminer au tableau un calcul de
relativité montrant que la durée d'un phénomène n'est pas la même pour
tous les observateurs, un jeune homme demanda la parole : « Monsieur,
personnellement, je ne suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai
qu'il allait défendre une théorie alternative, donner des éléments
pour remettre en selle l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait
mise à mort, bref qu'il allait argumenter. Je l'invitai donc à
s'expliquer : « Je ne crois pas à cette dilatation des durées que vous
venez de calculer, se contenta-t-il de répondre, parce que je ne la...
sens pas ! ». Ce jeune homme avait donc suffisamment confiance dans
ses intuitions et sa subjectivité pour penser qu'elles lui
permettaient de contester un résultat que près d'un siècle
d'expérimentation et d'objectivation avait permis de valider..."

Etienne Klein, à la différence de votre étudiant, Einstein sentait
très bien la dilatation des durées parce qu'il l'avait déduite d'un
"RÉSULTAT DU CHAPITRE 12":

http://www.amazon.fr/Relativit%C3%A9.../dp/2228882542
"La Relativité", par Albert Einstein
Chapitre 23: « Soit donné un domaine spatio-temporel dans lequel il
n'existe pas de champ de gravitation relativement à un corps de
référence K dont l'état a été convenablement choisi ; par rapport au
domaine considéré, K est alors un corps de référence galiléen, et les
résultats de la Théorie de la relativité restreinte sont valable par
rapport à K. Supposons que le même domaine soit rapporté à un second
corps de référence K' qui est animé d'un mouvement de rotation
uniforme par rapport à K. Pour fixer les idées, supposons que K' soit
représenté par un disque circulaire plan qui effectue un mouvement de
rotation uniforme dans son plan autour de son centre. (...)
L'observateur commence par placer une des deux horloges de même
construction au centre de disque et l'autre sur la périphérie, de
sorte qu'elles sont au repos par rapport au disque. Nous nous
demandons d'abord si ces deux horloges ont la même vitesse au point de
vue du corps de référence galiléen K, non animé d'un mouvement de
rotation. Par rapport à celui-ci l'horloge placée au centre n'a pas de
vitesse, tandis que l'horloge placée sur la périphérie est en
mouvement par suite de la rotation relativement à K. D'APRÈS UN
RÉSULTAT DU CHAPITRE 12, cette dernière horloge marche donc d'une
façon permanente plus lentement, par rapport à K, que celle placée au
centre du disque. »

Est-ce que vous avez vérifié la déduction d'Einstein, Etienne Klein?
Est-elle valide? C'est-à-dire, est-ce que la conclusion "cette
dernière horloge marche donc d'une façon permanente plus lentement"
découle validement du "RÉSULTAT DU CHAPITRE 12"? Non? Non, la
déduction d'Einstein n'est pas valide ou non, vous ne l'avez pas
vérifiée? Vous ne vérifierez jamais cette déduction parce que toutes
les déductions d'Einstein sont valides par définition et donc le
problème n'existe pas? Le problème n'a jamais existé? C'est un
nonproblème?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev

  #4  
Old April 29th 11, 07:37 AM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.mondialisation.ca/index.p...t=va&aid=12761
"Il est bien établi que nombre de scientifiques éminents ont nourri
dès le début des doutes sur la validité de la théorie de la relativité
restreinte et générale. Certains, comme Herbert Dingle, devenu très
embarrassé par les aspects du fameux paradoxe des jumeaux, a conçu des
doutes après avoir été au début un ardent défenseur de la théorie.
Malheureusement, si le récit des événements décrits dans son livre
Science at the Crossroadsest exact, il semble qu'après l'apparition de
ces doutes, les écarter devienne de plus en plus difficile. Pas grand
chose ne semble avoir changé depuis ces débuts, et il reste
apparemment toujours vrai que, contester la validité des théories de
la relativité n'est pas un choix de carrière raisonnable."

Etienne Klein, avez-vous jamais prononcé le nom "Herbert Dingle"? Le
nom "Bryan Wallace"? Non? Herbert Dingle et Bryan Wallace sont déjà
des nonêtres? Il n'ont jamais existé?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Quelques citations (plutôt, noncitations) des nonêtres:

http://www.nature.com/nature/journal...1831761a0.html
Nature 183, 1761 (20 June 1959) Herbert Dingle: "AS is well known,
Einstein's special theory of relativity rests on two postulates: (1)
the postulate of relativity; (2) the postulate of constant light
velocity, which says "that light is always propagated in empty space
with a definite velocity c which is independent of the state of motion
of the emitting body". For the first postulate there is much
experimental support; for the second, none."

http://blog.hasslberger.com/Dingle_S...Crossroads.pdf
Herbert Dingle, SCIENCE AT THE CROSSROADS
"According to the special relativity theory, as expounded by Einstein
in his original paper, two similar, regularly-running clocks, A and B,
in uniform relative motion, must work at different rates.....How is
the slower-working clock distinguished? The supposition that the
theory merely requires each clock to APPEAR to work more slowly from
the point of view of the other is ruled out not only by its many
applications and by the fact that the theory would then be useless in
practice, but also by Einstein's own examples, of which it is
sufficient to cite the one best known and most often claimed to have
been indirectly established by experiment, viz. 'Thence' [i.e. from
the theory he had just expounded, which takes no account of possible
effects of accleration, gravitation, or any difference at all between
the clocks except their state of uniform motion] 'we conclude that a
balance-clock at the equator must go more slowly, by a very small
amount, than a precisely similar clock situated at one of the poles
under otherwise identical conditions.' Applied to this example, the
question is: what entitled Einstein to conclude FROM HIS THEORY that
the equatorial, and not the polar, clock worked more slowly?"

http://articles.adsabs.harvard.edu/c...&filetype=.pdf
Herbert Dingle: "...the internal consistency of the restricted
relativity theory seems questionable if the postulate of the constancy
of the velocity of light is given its usual interpretation... (...)
These difficulties are removed if the postulate be interpreted MERELY
as requiring that the velocity of light relative to its actual
material source shall always be c..."

http://www.worldnpa.org/pdf/abstracts/abstracts_215.pdf
Herbert Dingle: "The special relativity theory requires different
rates of ageing to result from motion which belongs no more to one
twin than to the other: that is impossible. It is impossible to
exaggerate the importance of this result, for this theory is, by
common consent, "taken for granted" in Max Born's words, in all modern
atomic research. and it determines the course of practically all
current developments in physical science, theoretical and
experimental, whether concerned with the laboratory or with the
universe. To continue to use the theory without discrimination,
therefore, is not only to follow a false trail in the investigation of
nature, but also to risk physical disaster on the unforeseeable
scale... (...) But it is now clear that the interpretation of those
[Lorentz] equations as constituting a basis for a new kinematics,
displacing that of Galileo and Newton, which is the essence of the
special relativity theory, leads inevitably to impossibilities and
therefore cannot be true. Either there is an absolute standard of rest
- call it the ether as with Maxwell. or the universe as with Mach, or
absolute space as with Newton, or what you will or else ALL MOTION,
INCLUDING THAT WITH THE SPEED OF LIGHT, IS RELATIVE, AS WITH RITZ. It
remains to be determined, by a valid experimental determination of THE
TRUE RELATION OF THE VELOCITY OF LIGHT TO THAT OF ITS SOURCE, which of
these alternatives is the true one. In the meantime, the fiction of
"space-time" as an objective element of nature, and the associated
pseudo-concepts such as "time-dilation", that violate "saving common
sense", should be discharged from physics and philosophy..."

http://www.fileden.com/files/2008/8/...9-p361-367.pdf
RADAR TESTING OF THE RELATIVE VELOCITY OF LIGHT IN SPACE
Bryan G. Wallace, Spectroscopy Letters 1969 pages 361-367
ABSTRACT: "Published interplanetary radar data presents evidence that
the relative velocity of light in space is c+v and not c."
INTRODUCTION: "There are three main theories about the relativity
velocity of light in space. The Newtonian corpuscular theory is
relativistic in the Galilean sense and postulates that the velocity is
c+v relative to the observer. The ether theory postulates that the
velocity is c relative to the ether. The Einstein theory postulates
that the velocity is c relative to the observer. The Michelson-Morley
experiment presents evidence against the ether theory and for the c+v
theory. The c theory explains the results of this experiment by
postulating ad hoc properties of space and time..."

http://www.ekkehard-friebe.de/wallace.htm
Bryan Wallace: "There is a popular argument that the world's oldest
profession is sexual prostitution. I think that it is far more likely
that the oldest profession is scientific prostitution, and that it is
still alive and well, and thriving in the 20th century. I suspect that
long before sex had any commercial value, the prehistoric shamans used
their primitive knowledge to acquire status, wealth, and political
power, in much the same way as the dominant scientific and religious
politicians of our time do. (...) Because many of the dominant
theories of our time do not follow the rules of science, they should
more properly be labeled pseudoscience. The people who tend to believe
more in theories than in the scientific method of testing theories,
and who ignore the evidence against the theories they believe in,
should be considered pseudoscientists and not true scientists. To the
extent that the professed beliefs are based on the desire for status,
wealth, or political reasons, these people are scientific prostitutes.
(...) Einstein's special relativity theory with his second postulate
that the speed of light in space is constant is the linchpin that
holds the whole range of modern physics theories together. Shatter
this postulate, and modern physics becomes an elaborate farce! (...)
The speed of light is c+v. (...) I expect that the scientists of the
future will consider the dominant abstract physics theories of our
time in much the same light as we now consider the Medieval theories
of how many angels can dance on the head of a pin or that the Earth
stands still and the Universe moves around it." [Bryan Wallace wrote
"The Farce of Physics" on his deathbed hence some imperfections in the
text!]

Pentcho Valev

  #5  
Old April 29th 11, 01:16 PM posted to sci.astro,sci.math
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http://www.psycho-energie.fr/double/...hibault-damour
Thibault Damour: "Le formalisme de la relativité einsteinienne dit que
le temps est une illusion..."

http://www-llb.cea.fr/Phocea/Vie_des...php?id_ast=761
Two-day conference "Le Temps" (jointly with Séminaire Poincaré), IHP,
4 et 18 décembre 2010
http://www.bourbaphy.fr/damourtemps.pdf
Thibault Damour: "Textbook presentations of Special Relativity often
fail to convey the revolutionary nature, with respect to the "common
conception of time", of the seminal paper of Einstein in June 1905. It
is true that many of the equations, and mathematical considerations,
of this paper were also contained in a 1904 paper of Lorentz, and in
two papers of Poincaré submitted in June and July 1905. It is also
true that the central informational core of a physical theory is
defined by its fundamental equations, and that for some theories
(notably Quantum Mechanics) the fundamental equations were discovered
before their physical interpretation. However, in the case of Special
Relativity, the egregious merit of Einstein was, apart from his new
mathematical results and his new physical predictions (notably about
the comparison of the readings of clocks which have moved with respect
to each other) the conceptual breakthrough that the rescaled "local
time" variable t' of Lorentz was "purely and simply, the time", as
experienced by a moving observer. This new conceptualization of time
implied a deep upheaval of the common conception of time. (...) The
paradigm of the special relativistic upheaval of the usual concept of
time is the twin paradox. Let us emphasize that this striking example
of time dilation proves that time travel (towards the future) is
possible. As a gedanken experiment (if we neglect practicalities such
as the technology needed for reaching velocities comparable to the
velocity of light, the cost of the fuel and the capacity of the
traveller to sustain high accelerations), it shows that a sentient
being can jump, "within a minute" (of his experienced time)
arbitrarily far in the future, say sixty million years ahead, and see,
and be part of, what (will) happen then on Earth. This is a clear way
of realizing that the future "already exists" (as we can experience it
"in a minute"). No wonder that many people, attached to the usual idea
of an external flow of time, refused to believe that the travelling
twin will come back younger than his sedentary brother."

http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf
John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une
illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les
théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on
excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il
n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion."

http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc
Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour
développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon
lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre
sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que
nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de
sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la
physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la
notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système
constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que
la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes
complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui
gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur
mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre
psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons,
poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le
haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un
bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient
que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou
d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de
nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à
considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un
produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est
en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les
faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie
de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué
dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux
temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et
futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que
différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids
ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé
ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et
d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui
a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de
l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale :
la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient,
l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux
temporel."

Etienne Klein et Thibault Damour, les contradictions sont évidentes,
le problème est très important (il s'agit peut-être d'une science
mourante), et en même temps il n'y a aucune discussion en France! Que
se passe-t-il? Est-ce que la période de "trente ou quarante ans" est
devenue beaucoup plus courte?

http://archives.lesechos.fr/archives...077-80-ECH.htm
"Physicien au CEA, professeur et auteur, Etienne Klein s'inquiète des
relations de plus en plus conflictuelles entre la science et la
société. (...) « Je me demande si nous aurons encore des physiciens
dans trente ou quarante ans », remarque ce touche-à-tout aux multiples
centres d'intérêt : la constitution de la matière, le temps, les
relations entre science et philosophie. (...) Etienne Klein n'est pas
optimiste. Selon lui, il se pourrait bien que l'idée de progrès soit
tout bonnement « en train de mourir sous nos yeux »."

Pentcho Valev

  #6  
Old April 30th 11, 07:29 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
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http://www.dormirenfrance.fr/relativ...nt-s107511.htm
"Comme c'est les 100 ans de la version originale de la relativité
restreinte, une révision des hypothèses originales, des documents et
des idées qui ont conduit à l'acceptation de cette théorie est
opportune et justifiée. Chaque année, des millions d'étudiants sont
enseignées cette théorie sans une analyse critique de la relativité.
Théorie de la relativité se compose de ses deux variantes spécial
relativité et la relativité générale et est considéré comme la pierre
angulaire de la physique moderne. Albert Einstein a emprunté des idées
de Fitzgerald, Lorentz et Voigt pour créer un nouveau concept de
l'univers. Sa première uvre à cet égard plus tard, vint à être connu
comme la relativité restreinte et contient de nombreuses idées
controversées qui sont aujourd'hui considérées comme un axiome. Parmi
ceux-ci sont la longueur Contraction, Dilatation du temps, le paradoxe
des jumeaux et l'équivalence de masse et l'énergie résumées dans
l'équation E = mc2. (...) Toutefois, des doutes subsistent dans la
communauté scientifique qui n'ont jamais totalement abandonné le
confort d'une conception newtonienne du monde. (...) À la suite de ces
idées, notre compréhension de la géométrie, les mathématiques, la
physique, la science et l'univers ne serait jamais la même. Toutefois,
certains scientifiques déclarent que la vitesse de la lumière n'est
pas constante à partir des observations expérimentales différentes."

http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=72449
"La relativité doit être fausse. En effet, considérons une échelle de
20 mètres de long transportée si rapidement dans la direction qui lui
est parallèle qu'elle ne paraît plus avoir que 10 mètres de long dans
le système du laboratoire. A un moment donné, on peut donc la faire
entrer toute entière dans un bâtiment de 10 mètres de long. Plaçons-
nous cependant dans le système de référence du coureur qui la porte.
Pour lui, le bâtiment est contractée à la moitié de sa longueur.
Comment une perche de 20 mètres pourrait-elle entrer dans un bâtiment
de 5 mètres ? Et cette conclusion impossible à retenir ne démontre-t-
elle pas que la relativité renferme quelque part une faille logique
fondamentale ?"

http://forums.futura-sciences.com/ph...on-morley.html
"Interpretation de l'expérience de Michelson-Morley. Cette experience
nie l'existance de l'éther conjugé à l'utilisation de la relativité
galiléenne. Mais qu'est qui pousse alors Einstein a supposer que la
vitesse de la lumiere est invariante dans tt refs inertiels? Ou encore
Lorentz à s'acrocher a l'existance de l'ether en lui aportant des
propriétés particulières? Ces deux interprétations ont été
effectivement fructueuses pour ce qui est de la confrontation a
l'exprérimentation. Mais y a il eu a l'époque des interprétation niant
l'existance de l'ether, et suposant que la vitesse de la lumière
dépendait de la vitesse de la source (l'experience de Michelson-Morley
étant parfaitement compatible avec une vision corpusculaire de la
lumiere et une utilisation de la relativité galiléenne) ? Et pourquoi
ces théories, même a l'époque ou les conséquence de la relativité
restreinte ou de l'utilisation des transfo de Lorentz (ex: paradoxe de
Langevin) ne pouvaient etre testé, ont elles été abandonés?"

http://astronomie.forumactif.com/t87...ite-d-einstein
"J'ai l'impression que la question de Yacine comme celle de Dingle
(ralentissement des horloges) resteront sans réponse... Peut-être que
le postulat d'Einstein (l'invariance de c) est faux tout simplement?"

L'esprit critique se réveille en France? Jean Eisenstaedt? Jean Marc
Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-
Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean
Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger
Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie
During? Jean-Pierre Luminet? On va se cacher où?

Pentcho Valev

  #7  
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http://www.franceculture.com/emissio...erche-2011-04-
Etienne Klein: "La théorie quantique et la théorie de la relativité,
restreinte ou générale d'ailleurs, n'ont jamais été contredites par
des faits."

Quid des résultats des expériences de Michelson-Morley et de Pound-
Rebka, Etienne Klein? Vos frères Einsteiniens John Norton et Tom
Roberts vous diraient que ces résultats confirment la théorie de
l'émission de Newton, une théorie incompatible avec le principe de la
constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905:

http://groups.google.com/group/sci.p...abc7dbb30db6c2
John Norton: "THE MICHELSON-MORLEY EXPERIMENT IS FULLY COMPATIBLE WITH
AN EMISSION THEORY OF LIGHT THAT CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE."
Tom Roberts: "Sure. The fact that this one experiment is compatible
with other theories does not refute relativity in any way. The full
experimental record refutes most if not all emission theories, but not
relativity."
Pentcho Valev: "THE POUND-REBKA EXPERIMENT IS FULLY COMPATIBLE WITH AN
EMISSION THEORY OF LIGHT THAT CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE."
Tom Roberts: "Sure. But this experiment, too, does not refute
relativity. The full experimental record refutes most if not all
emission theories, but not relativity."

Bien sûr, John Norton et Tom Roberts ajouteraient que les expériences
de Michelson-Morley et de Pound-Rebka confirment aussi, d'une manière
glorieuse, la Théorie Divine d'Albert le Divin, mais on pourrait s'en
douter. Vous en avez pensé, Etienne Klein? Jamais? Pourquoi?
L'arrêtducrime est absolu dans ce cas?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Est-ce que l'on a discuté de la relation entre le principe de la
constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905 et
les résultats des expériences de Michelson-Morley et de Pound-Rebka en
France, Etienne Klein? On en discutera dans le futur? Non? Jamais?
Pourquoi? Le problème n'existe pas? Le problème n'a jamais existé?
C'est un nonproblème?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev

  #8  
Old April 30th 11, 02:47 PM posted to sci.astro,sci.math
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Pentcho Valev a écrit :
L'esprit critique se réveille en France? Jean Eisenstaedt? Jean Marc
Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-
Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean
Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger
Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie
During? Jean-Pierre Luminet? On va se cacher où?


Et l'imbécile parfait Pentcho Valev il va se cacher où pour ne pas
faire subir à ses descendants la honte d'avoir montré, jour après
jour, sur Usenet quel idiot et quel malhonnête personne il est ?
  #9  
Old May 2nd 11, 08:33 AM posted to sci.astro,sci.math
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Les prémisses fausses de la théorie déductive:

http://houchmandzadeh.net/cours/Rela...relativite.pdf
Bahram Houchmandzadeh, Directeur de Recherche au CNRS: "En réalité, de
nombreuse preuves expérimentales s'étaient accumulées dès la fin du
XIXème siècle, bien avant l'expérience des horloges atomiques. Le fait
le plus marquant était la mesure de la vitesse des ondes lumineuses.
Supposez que vous jetez une pierre dans l'eau et regardez les ondes de
surface s'écarter de vous. La vitesse v de ces ondes dépend seulement
des propriétés du liquide et de l'environnement (comme l'accélération
de gravité g, la profondeur du canal h, la tension de surface, ...).
Supposez maintenant que vous glissez à la surface de l'eau et qu'à
nouveau, vous provoquez des ondes se surfaces : cette fois, vous
verrez les ondes (dans la direction avant) s'écarter de vous avec une
vitesse v' plus faible ; si votre propre vitesse est v_p, alors v' = v
- v_p. Cela d'ailleurs est une façon efficace de mesurer votre vitesse
par rapport à l'eau. A la fin du XIXème, des scientifiques ont mesuré
la vitesse des ondes lumineuses lors d'une telle expériences, et ont
constaté que l'observateur fixe et l'observateur mobile mesuraient
exactement la même vitesse."

Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne
Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc
Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol?
Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis
de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On ne comparera
jamais le texte de Bahram Houchmandzadeh aux textes ci-dessous?

http://www.amazon.fr/James-Smith-Int.../dp/B0014P9USI
James H. Smith "Introduction à la relativité": "Si la lumière était un
flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il
n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de
l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une
fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur
et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la
lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport
à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la
vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement
ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se
propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel
elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à
leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND
EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE
CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE."

http://www.hep.man.ac.uk/u/roger/PHY.../lecture18.pdf
Roger Barlow: "Now suppose the source is fixed but the observer is
moving towards the source, with speed v. In time t, ct/(lambda) waves
pass a fixed point. A moving point adds another vt/(lambda). So f'=(c
+v)/(lambda)."

http://www-physics.ucsd.edu/students.../lecture16.pdf
Convention we will choose:
u = velocity of observer or source
v = velocity of wave
Moving Observer
Observer approaching: f'=(1/T')=(v+u)/(lambda)
Observer receding: f'=(1/T')=(v-u)/(lambda)

http://www.expo-db.be/ExposPrecedent...%20Doppler.pdf
6. Source immobile - Observateur en mouvement
La distance entre les crêtes, la longueur d'onde lambda ne change pas.
Mais la vitesse des crêtes par rapport à l'observateur change !
L'observateur se rapproche de la source
f' = V'/(lambda)
f' = f (1 + Vo/V)
L'observateur s'éloigne de la source
f' = f (1 - Vo/V)

http://www.eng.uwi.tt/depts/elec/sta...relativity.pdf
The Invalidation of a Sacred Principle of Modern Physics
Stephan J.G. Gift
"For a stationary observer O, the stationary light source S emits
light at speed c, wavelength Lo, and frequency Fo given by Fo=c/Lo. If
the observer moves toward S at speed v, then again based on classical
analysis, the speed of light relative to the moving observer is (c +
v) and not c as required by Einstein's law of light propagation. Hence
the observer intercepts wave-fronts of light at a frequency fA, which
is higher than Fo, as is observed, and is given by fA = (c+v)/Lo Fo.
(...) In light of this elementary result invalidating STR, it is
difficult to understand why this invalid theory has been (and
continues to be) accepted for the past 100 years."

Pentcho Valev

  #10  
Old May 7th 11, 07:26 AM posted to sci.astro,sci.math
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Si la physique contemporaine avait été basée sur la prémisse que la
vitesse des photons (structures DISCONTINUES) varie avec la vitesse de
l'émetteur, Albert Einstein (1954), Jean-Marc Lévy-Leblond et Etienne
Klein seraient un peu plus optimistes:

http://www.lexpress.fr/culture/livre...n_820418..html
Pour Albert Einstein, 1905 fut une annus mirabilis. Successivement en
mai, juin, juillet et septembre de cette année-là, le modeste employé
de l'Office fédéral des brevets à Berne (Suisse) publie quatre
articles fondateurs de la physique moderne. Il n'a alors que 26 ans.
Première idée révolutionnai la lumière ne se réduit pas à une onde;
elle est composée de grains d'énergie (plus tard appelés photons),
disposés de façon discontinue."

http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoir...%A9_restreinte
"Comme alternative à la relativité, Walter Ritz (1908) et d'autres
esquissent une théorie de l'émission qui s'appuie sur la théorie
corpusculaire de Newton et selon laquelle la vitesse de la lumière
dans tous les repères n'est constante que par rapport à la source (et
non à quelque éther), et où, au lieu de la transformation de Lorentz,
on utilise la transformation de Galilée (ce qui veut dire que dans un
système où la source se meut avec une vitesse v, la lumière ne se
propage pas à la vitesse c, mais à la vitesse v ± c). Cette théorie va
donc à l'encontre de la vitesse constante de la lumière, mais elle
satisfait au principe de relativité, et peut expliquer l'expérience de
Michelson-Morley."

http://www.perimeterinstitute.ca/ind...ecture_id=3576
John Stachel: "Einstein discussed the other side of the particle-field
dualism - get rid of fields and just have particles."
EINSTEIN'S 1954 CONFESSION: "I consider it entirely possible that
physics cannot be based upon the field concept, that is on continuous
structures. Then nothing will remain of my whole castle in the air,
including the theory of gravitation, but also nothing of the rest of
contemporary physics."
John Stachel's comment: "If I go down, everything goes down, ha ha,
hm, ha ha ha."

http://arxiv.org/ftp/physics/papers/0101/0101109.pdf
"The two first articles (January and March) establish clearly a
discontinuous structure of matter and light. The standard look of
Einstein's SR is, on the contrary, essentially based on the continuous
conception of the field."

http://www.pbs.org/wgbh/nova/einstein/genius/
"And then, in June, Einstein completes special relativity, which adds
a twist to the story: Einstein's March paper treated light as
particles, but special relativity sees light as a continuous field of
waves. Alice's Red Queen can accept many impossible things before
breakfast, but it takes a supremely confident mind to do so. Einstein,
age 26, sees light as wave and particle, picking the attribute he
needs to confront each problem in turn. Now that's tough."

http://arxiv.org/PS_cache/astro-ph/p.../0305457v3.pdf
New varying speed of light theories
Joao Magueijo
"In sharp contrast, the constancy of the speed of light has remain
sacred, and the term "heresy" is occasionally used in relation to
"varying speed of light theories". The reason is clear: the constancy
of c, unlike the constancy of G or e, is the pillar of special
relativity and thus of modern physics. Varying c theories are expected
to cause much more structural damage to physics formalism than other
varying constant theories."

http://www.ekkehard-friebe.de/wallace.htm
The farce of physics
Bryan Wallace
"Einstein's special relativity theory with his second postulate that
the speed of light in space is constant is the linchpin that holds the
whole range of modern physics theories together. Shatter this
postulate, and modern physics becomes an elaborate farce! (...) The
speed of light is c+v."

http://www.docstoc.com/docs/50282475...s-dans-loeuvre
Louis de Broglie: "Tout d'abord toute idée de "grain" se trouvait
expulsée de la théorie de la Lumière : celle-ci prenait la forme d'une
"théorie du champ" où le rayonnement était représenté par une
répartition continue dans l'espace de grandeurs évoluant continûment
au cours du temps sans qu'il fût possible de distinguer, dans les
domaines spatiaux au sein desquels évoluait le champ lumineux, de très
petites régions singulières où le champ serait très fortement
concentré et qui fournirait une image du type corpusculaire. Ce
caractère à la fois continu et ondulatoire de la lumière se trouvait
prendre une forme très précise dans la théorie de Maxwell où le champ
lumineux venait se confondre avec un certain type de champ
électromagnétique."

http://en.wikisource.org/wiki/The_De...e_of_Radiation
The Development of Our Views on the Composition and Essence of
Radiation by Albert Einstein, 1909
"A large body of facts shows undeniably that light has certain
fundamental properties that are better explained by Newton's emission
theory of light than by the oscillation theory. For this reason, I
believe that the next phase in the development of theoretical physics
will bring us a theory of light that can be considered a fusion of the
oscillation and emission theories. The purpose of the following
remarks is to justify this belief and to show that a profound change
in our views on the composition and essence of light is
imperative.....Then the electromagnetic fields that make up light no
longer appear as a state of a hypothetical medium, but rather as
independent entities that the light source gives off, just as in
Newton's emission theory of light......Relativity theory has changed
our views on light. Light is conceived not as a manifestation of the
state of some hypothetical medium, but rather as an independent entity
like matter. Moreover, this theory shares with the corpuscular theory
of light the unusual property that light carries inertial mass from
the emitting to the absorbing object."

http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de
crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et
économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle
connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans
la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche
scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement
dit et la société au sens large."

http://www.festival-astronomie.com/m...s-sciences.php
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Grandeur et misère de l'aventure
scientifique. Au cours des 20 dernières années, le rôle de la science
dans la société a profondément changé. Cette évolution récente tient à
une transformation sans équivalent depuis la Révolution scientifique
du début du XVIIéme siécle. Nous nous trouvons aujourd'hui dans une
situation paradoxale où le poids de lactivité scientifique et son
efficacité technique sans précédent mettent en cause ses fondement
mêmes, et menacent sa dimension intellectuelle et culturelle au profit
de sa seule utilité pratique et marchande."

http://www.archipope.net/article-12278372-6.html
"Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde.
Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l'Occident l'a
connue », tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond,
physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections
scientifiques des Editions du Seuil."

http://archives.lesechos.fr/archives...077-80-ECH.htm
"Physicien au CEA, professeur et auteur, Etienne Klein s'inquiète des
relations de plus en plus conflictuelles entre la science et la
société. (...) « Je me demande si nous aurons encore des physiciens
dans trente ou quarante ans », remarque ce touche-à-tout aux multiples
centres d'intérêt : la constitution de la matière, le temps, les
relations entre science et philosophie. (...) Etienne Klein n'est pas
optimiste. Selon lui, il se pourrait bien que l'idée de progrès soit
tout bonnement « en train de mourir sous nos yeux »."

Pentcho Valev

 




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