A Space & astronomy forum. SpaceBanter.com

Go Back   Home » SpaceBanter.com forum » Astronomy and Astrophysics » Astronomy Misc
Site Map Home Authors List Search Today's Posts Mark Forums Read Web Partners

LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE



 
 
Thread Tools Display Modes
  #11  
Old May 7th 11, 11:17 AM posted to sci.astro,sci.math
YBM[_2_]
external usenet poster
 
Posts: 17
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

Pentcho Valev a écrit :
Si la physique contemporaine avait été basée sur la prémisse que la
vitesse des photons (structures DISCONTINUES) varie avec la vitesse de
l'émetteur, Albert Einstein (1954), Jean-Marc Lévy-Leblond et Etienne
Klein seraient un peu plus optimistes:


Oh que non, Pentcha-Pentchi. Si la physique avait élue une telle théorie
en contradiction avec l'expérience, elle aurait sombré depuis longtemps.

Toujours aucune honte d'être bête, menteur et hypocrite, Pentchiotte?
  #12  
Old May 12th 11, 08:49 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

L'esprit critique n'était pas mort en France:

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

Maintenant l'esprit de Jacques Maritain est remplacé par l'esprit
d'Alexandre Moatti. Quel développement!

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article838
Einstein - Un siècle contre lui
Alexandre Moatti. Éditions Odile Jacob, 2007, Prix 21,90 €
Note de lecture de Jean Günther - SPS n° 282, juillet 2008
Einstein, le plus célèbre physicien du XXe siècle, a focalisé autour
de son nom et de la plus connue de ses réussites, la théorie de la
Relativité, des oppositions parfois virulentes. Après avoir rappelé
les aspects scientifiques du problème, l'auteur brosse un large
tableau de ces controverses. On peut y distinguer trois épisodes,
apparus à des dates et dans des circonstances différentes. Dans le
contexte anti-allemand lié en France à la guerre de 1914-1918, des
intellectuels, philosophes, scientifiques (ceux-ci généralement de
second ordre) se sont déchaînés contre la science « allemande » et la
relativité, qui en serait l'émanation. Citons, pêle-mêle, Émile
Picard, Charles Richet, Henri Bergson, Jacques Maritain, Pierre Duhem,
Gustave Le Bon, Henri Bouasse ; l'auteur en rapporte bien d'autres.
Les motivations de ces divers contestataires, leur modes de
raisonnement, sont des plus divers et leur analyses nous semblent
maintenant dérisoires et sans fondement. Beaucoup, puissants et
respectés en leur temps, ont sombré dans un salutaire oubli.

http://www.amazon.fr/gp/product/2738...668551-5396107
Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait
toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle
impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie
par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de
corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de
la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et
indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle
passerait !"

Pentcho Valev

  #13  
Old May 13th 11, 09:28 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy-
Leblond (la Science remplacée par le Postscientisme):

http://www.crc-resurrection.org/Rena...e_Einstein.php
"La vitesse de la lumière est constante, sa mesure est invariablement
de 300 000 km/s, pour tout observateur, quelle que soit sa vitesse
relative par rapport à la source lumineuse et à tout autre système de
référence... Écoutons Lévy-Leblond : « Le génie d'Einstein fut de
mettre en cause les notions de base d'espace et de temps elles-mêmes
(bigre !). Il inversa la démarche : au lieu d'expliquer la constance
apparente de la vitesse de la lumière (par quelque cause physique
particulière), il la prit comme point de départ et bâtit sur cette
hypothèse une nouvelle théorie de l'espace et du temps. » (Lévy-
Leblond, p. 419) Mais c'est absurde ! « Qu'on le tourne et retourne
comme on voudra, il faut avouer que c'est là un pur non-sens.
» (Maritain, Réflexions sur l'intelligence, p. 215) Ce n'est plus la
vitesse du mobile qui résulte de l'espace et du temps, ce sont
l'espace et le temps qui se contractent ou se dilatent, pour laisser à
l'objet sa vitesse constante, invariable, insurpassable, absolue ! «
On pourrait dire que la théorie de la Relativité est un déplacement
d'absolu... On frappe ainsi de relativité certains éléments réels
(temps, dimensions) pour rendre absolues et invariantes certaines
relations (exprimant les lois de la nature) », observe encore Jacques
Maritain (p. 228)."

Pentcho Valev

  #14  
Old May 14th 11, 07:07 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy-
Leblond (l'honnêteté intellectuelle absolue remplacée par la
malhonnêteté intellectuelle absolue):

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=16963
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Mais l'inutile et depuis longtemps caduc «
second postulat » (celui de l'invariance de la vitesse de la lumière)
garde encore une place de choix dans les exposés."

http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf
Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a
vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument
impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a
rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe
quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est
ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible !
Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si
demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne
va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours
à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne
verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il
pourrait exister des photons immobiles, et la différence est
essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est
rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure,
mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon
est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais
n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour
la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit
capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a
pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa
masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse
de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les
journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est
trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien
contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe
construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux
propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse
non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et
la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce
qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand
vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle
continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité
a plusieurs pieds."

http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour
en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part,
nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière
est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais,
empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne
supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée
avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de
futures mesures mettent en évidence une masse infime, mais non-nulle,
du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la
lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais
variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les
procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat"
deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle
invalidée ? Heureusement, il n'en est rien ; mais, pour s'en assurer,
il convient de la refonder sur des bases plus solides, et d'ailleurs
plus économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la
condition de l'exploiter à fond."

http://ww2.ac-creteil.fr/lycees/93/l...e/p1chap6.html
"postulat n°2: la vitesse d'un rayon de lumière donné est la même dans
tous les référentiels galiléens. Ce second postulat est en accord avec
l'expérience de Michelson: il affirme que la vitesse d'un rayon
lumineux est la même que la source de lumière soit immobile ou en
mouvement par rapport à l'observateur. (...) Les physiciens du 20ième
siècle ont démontré (ex: travaux de Jean Marc Lévy-Leblond dans les
années 1970) que le second 'postulat' d'Einstein n'était en fait pas
un postulat car il découle d'un autre principe plus général appelé
principe de causalité (qui dit qu'une conséquence est toujours
nécessairement postérieure à sa cause...)"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativ...ein_.281905.29
"La vitesse de la lumière dans le vide a la même valeur dans tous les
référentiels inertiels. (...) Le second postulat formalise
l'interprétation des équations de Maxwell suivant laquelle il n'y a
pas d'éther, et est conforme aux expériences. (...) Jean-Marc Levy-
Leblond fait remarquer que cette approche implique seulement
l'existence d'une vitesse-limite c, qui est celle de toutes les
particules sans masse, et donc de la lumière dans nos théories
actuelles. Si le photon devait s'avérer avoir une masse (voir à ce
sujet les propriétés physiques du photon), la relativité ne serait pas
remise en question, mais la lumière aurait une vitesse légèrement
inférieure à c, et qui dépendrait des référentiels."

http://o.castera.free.fr/pdf/La_relativite.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un objet de longueur L0 dans son propre
référentiel sera, dans un autre référentiel, repéré différemment et se
verra attribuer une longueur inférieure L. Mais, comme dans le cas
spatial, c'est là un effet de parallaxe : ce n'est que si les axes
spatiotemporels de l'objet coincident avec ceux de la règle utilisée
que l'on peut affirmer mesurer la longueur propre de l'objet. La
dilatation des temps s'explique de façon analogue. Ces effets sont
donc parfaitement "réels" tout en ne concernant que des "apparences"."

Pentcho Valev a écrit:

L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy-
Leblond (la Science remplacée par le Postscientisme):

http://www.crc-resurrection.org/Rena...e_Einstein.php
"La vitesse de la lumière est constante, sa mesure est invariablement
de 300 000 km/s, pour tout observateur, quelle que soit sa vitesse
relative par rapport à la source lumineuse et à tout autre système de
référence... Écoutons Lévy-Leblond : « Le génie d'Einstein fut de
mettre en cause les notions de base d'espace et de temps elles-mêmes
(bigre !). Il inversa la démarche : au lieu d'expliquer la constance
apparente de la vitesse de la lumière (par quelque cause physique
particulière), il la prit comme point de départ et bâtit sur cette
hypothèse une nouvelle théorie de l'espace et du temps. » (Lévy-
Leblond, p. 419) Mais c'est absurde ! « Qu'on le tourne et retourne
comme on voudra, il faut avouer que c'est là un pur non-sens.
» (Maritain, Réflexions sur l'intelligence, p. 215) Ce n'est plus la
vitesse du mobile qui résulte de l'espace et du temps, ce sont
l'espace et le temps qui se contractent ou se dilatent, pour laisser à
l'objet sa vitesse constante, invariable, insurpassable, absolue ! «
On pourrait dire que la théorie de la Relativité est un déplacement
d'absolu... On frappe ainsi de relativité certains éléments réels
(temps, dimensions) pour rendre absolues et invariantes certaines
relations (exprimant les lois de la nature) », observe encore Jacques
Maritain (p. 228)."

Pentcho Valev

  #15  
Old May 19th 11, 07:40 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

L'esprit de Jacques Maritain remplacé par les esprits de Jean-Marc
Lévy-Leblond, Jean Eisenstaedt etc. (l'honnêteté scientifique
remplacée par la doublepensée postscientifique):

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268:
Jacques Maritain cite Jean Perrin: "Il est remarquable qu'un retour à
l'hypothèse de l'émission, en admettant que les particules lumineuses
sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE
dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la
Mécanique classique le résultat négatif de l'expérience de Michelson
et de Morley quel que soit le mouvement d'ensemble du système..."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 418:
Jacques Maritain: "Si les résultats de Miller n'étaient pas confirmés
[et il semble bien que ce soit le cas], l'incertitude de nos
connaissances sur la nature de la lumière, et le fait même que notre
science hésite encore entre la théorie de l'émission et celle de
l'ondulation, devraient rendre sensible aux esprits même les moins
avertis en philosophie et en logique la faute énorme qu'on commet en
donnant pour nécessitée en raison, et cela dans l'ordre ontologique
lui-même, l'interprétation einsteinienne de l'expérience de
Michelson."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=10745
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un siècle après son émergence, la théorie de
la relativité est encore bien mal comprise - et pas seulement par les
profanes ! Le vocable même qui la désigne (« relativité ») est fort
inadéquat. Ses énoncés courants abondent en maladresses sémantiques,
et donc en confusions épistémologiques. Paradoxe majeur, cette
théorie, présentée comme un sommet de la modernité scientifique, garde
de nombreux traits primitifs. Or, de récentes recherches montrent
éloquemment qu'un sérieux approfondissement de ses concepts et de ses
formulations peut résulter du retour à ses origines, avant même
Einstein. Déjà le principe de relativité se comprend mieux si on le
détache de la forme nouvelle qu'il prit après Lorentz, Poincaré et
Einstein, pour le ressourcer chez Galilée et Descartes. Mais surtout,
l'examen de nombreux travaux des XVIIe et XVIIIe siècles, injustement
oubliés, met en évidence une théorie particulaire de la lumière, en
germe dans la physique newtonienne, qui ouvre des voies d'approche
négligées vers la théorie moderne. Ces considérations contrebalancent
utilement le point de vue ondulatoire traditionnel, et allègent ses
difficultés."

http://www.passiondulivre.com/livre-...ravitation.htm
"Étrangement, personne n'est jamais vraiment allé voir ce que l'on en
pensait «avant», avant Einstein, avant Poincaré, avant Maxwell.
Pourtant, quelques savants austères et ignorés, John Michell, Robert
Blair et d'autres encore, s'y sont intéressés, de très près.
Newtoniens impénitents, ces «philosophes de la nature» ont tout
simplement traité la lumière comme faite de vulgaires particules
matérielles : des «corpuscules lumineux». Mais ce sont gens sérieux et
ils se sont basés sur leurs Classiques, Galilée, Newton et ses
Principia où déjà l'on trouve des idées intéressantes. À la fin du
XVIIIe siècle, au siècle des Lumières (si bien nommé en
l'occurrence !), en Angleterre, en Écosse, en Prusse et même à Paris,
une véritable balistique de la lumière sous-tend silencieusement la
théorie de l'émission, avatar de la théorie corpusculaire de la
lumière de Newton. Lus à la lumière (!) des théories aujourd'hui
acceptées, les résultats ne sont pas minces. (...) Les «relativités»
d'Einstein, cinématique einsteinienne et théorie de la gravitation,
ont la triste réputation d'être difficiles... Ne remettent-elles pas
en cause des notions familières ? Leur «refonte» est d'autant plus
nécessaire. Cette préhistoire en est un nouvel acte qui offre un autre
chemin vers ces théories délicates. Mais ce chemin, aussi long soit-
il, est un raccourci, qu'il est temps, cent ans après «la» relativité
d'Einstein, de découvrir et d'explorer."

http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/...40/pgs/4_5.pdf
Jean Eisenstaedt: "Il n'y a alors aucune raison théorique à ce que la
vitesse de la lumière ne dépende pas de la vitesse de sa source ainsi
que de celle de l'observateur terrestre ; plus clairement encore, il
n'y a pas de raison, dans le cadre de la logique des Principia de
Newton, pour que la lumière se comporte autrement - quant à sa
trajectoire - qu'une particule matérielle. Il n'y a pas non plus de
raison pour que la lumière ne soit pas sensible à la gravitation.
Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute la théorie
newtonienne ? C'est en fait ce que font plusieurs astronomes,
opticiens, philosophes de la nature à la fin du XVIIIème siècle. Les
résultats sont étonnants... et aujourd'hui nouveaux. (...) Même s'il
était conscient de l'intérêt de la théorie de l'émission, Einstein n'a
pas pris le chemin, totalement oublié, de Michell, de Blair, des
Principia en somme. Le contexte de découverte de la relativité
ignorera le XVIIIème siècle et ses racines historiques plongent au
coeur du XIXème siècle. Arago, Fresnel, Fizeau, Maxwell, Mascart,
Michelson, Poincaré, Lorentz en furent les principaux acteurs et
l'optique ondulatoire le cadre dans lequel ces questions sont posées.
Pourtant, au plan des structures physiques, l'optique relativiste des
corps en mouvement de cette fin du XVIIIème est infiniment plus
intéressante - et plus utile pédagogiquement - que le long cheminement
qu'a imposé l'éther."

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX
George Orwell: "La doublepensée est le pouvoir de garder à l'esprit
simultanément deux croyances contradictoires, et de les accepter
toutes deux. Un intellectuel du Parti sait dans quel sens ses
souvenirs doivent être modifiés. Il sait, par conséquent, qu'il joue
avec la réalité, mais, par l'exercice de la doublepensée, il se
persuade que la réalité nest pas violée. Le processus doit être
conscient, autrement il ne pourrait être réalisé avec une précision
suffisante, mais il doit aussi être inconscient. Sinon, il apporterait
avec lui une impression de falsification et, partant, de culpabilité.
La doublepensée se place au cur même de l'Angsoc, puisque l'acte
essentiel du Parti est d'employer la duperie consciente, tout en
retenant la fermeté d'intention qui va de pair avec l'honnêteté
véritable. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement,
oublier tous les faits devenus gênants puis, lorsque c'est nécessaire,
les tirer de l'oubli pour seulement le laps de temps utile, nier
l'existence dune réalité objective alors qu'on tient compte de la
réalité qu'on nie, tout cela est d'une indispensable nécessité. Pour
se servir même du mot doublepensée, il est nécessaire d'user de la
dualité de la pensée, car employer le mot, c'est admettre que l'on
modifie la réalité. Par un nouvel acte de doublepensée, on efface
cette connaissance, et ainsi de suite indéfiniment, avec le mensonge
toujours en avance d'un bond sur la vérité. (...) Il est à peine
besoin de dire que les plus subtils praticiens de la doublepensée sont
ceux qui l'inventèrent et qui savent qu'elle est un vaste système de
duperie mentale. Dans notre société, ceux qui ont la connaissance la
plus complète de ce qui se passe, sont aussi ceux qui sont les plus
éloignés de voir le monde tel qu'il est. En général, plus vaste est la
compréhension, plus profonde est l'illusion. Le plus intelligent est
le moins normal."

Pentcho Valev

  #16  
Old May 21st 11, 12:25 PM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

http://www.lefigaro.fr/livres/2010/0...on-339uvre.php
"Pour le physicien, la théorie de la relativité d'Einstein a détruit
l'universalité du temps physique : il n'est plus le même pour chacun
de nous. Mon présent peut être le passé de quelqu'un d'autre et le
futur d'une tierce personne, s'ils sont tous deux en mouvement par
rapport à moi. Et si, pour quelqu'un d'autre, le futur existe déjà et
le passé est encore présent, tous les instants se valent. Le passage
du temps n'est qu'illusion: «Pour nous autres physiciens convaincus,
la distinction entre passé, présent et futur n'est qu'une illusion,
même si elle est tenace», écrit Einstein. Pour le physicien moderne,
le temps ne s'écoule plus: il est simplement là, immobile, comme une
ligne droite s'étendant à l'infini dans les deux directions."

http://www-llb.cea.fr/Phocea/Vie_des...php?id_ast=761
Two-day conference "Le Temps" (jointly with Séminaire Poincaré), IHP,
4 et 18 décembre 2010
http://www.bourbaphy.fr/damourtemps.pdf
Thibault Damour: "Textbook presentations of Special Relativity often
fail to convey the revolutionary nature, with respect to the "common
conception of time", of the seminal paper of Einstein in June 1905. It
is true that many of the equations, and mathematical considerations,
of this paper were also contained in a 1904 paper of Lorentz, and in
two papers of Poincaré submitted in June and July 1905. It is also
true that the central informational core of a physical theory is
defined by its fundamental equations, and that for some theories
(notably Quantum Mechanics) the fundamental equations were discovered
before their physical interpretation. However, in the case of Special
Relativity, the egregious merit of Einstein was, apart from his new
mathematical results and his new physical predictions (notably about
the comparison of the readings of clocks which have moved with respect
to each other) the conceptual breakthrough that the rescaled "local
time" variable t' of Lorentz was "purely and simply, the time", as
experienced by a moving observer. This new conceptualization of time
implied a deep upheaval of the common conception of time. (...) The
paradigm of the special relativistic upheaval of the usual concept of
time is the twin paradox. Let us emphasize that this striking example
of time dilation proves that time travel (towards the future) is
possible. As a gedanken experiment (if we neglect practicalities such
as the technology needed for reaching velocities comparable to the
velocity of light, the cost of the fuel and the capacity of the
traveller to sustain high accelerations), it shows that a sentient
being can jump, "within a minute" (of his experienced time)
arbitrarily far in the future, say sixty million years ahead, and see,
and be part of, what (will) happen then on Earth. This is a clear way
of realizing that the future "already exists" (as we can experience it
"in a minute"). No wonder that many people, attached to the usual idea
of an external flow of time, refused to believe that the travelling
twin will come back younger than his sedentary brother."

http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc
Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour
développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon
lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre
sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que
nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de
sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la
physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la
notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système
constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que
la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes
complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui
gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur
mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre
psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons,
poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le
haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un
bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient
que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou
d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de
nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à
considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un
produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est
en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les
faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie
de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué
dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux
temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et
futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que
différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids
ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé
ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et
d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui
a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de
l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale :
la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient,
l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux
temporel."

http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf
John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une
illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les
théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on
excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il
n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion."

http://agenda.ipc.univ-paris-diderot....php?article95
Etienne Klein: "Il est difficile de nier qu'une certaine inculture
scientifique est devenue intellectuellement et socialement
dangereuse : elle empêche de fonder une épistémologie rigoureuse de la
science contemporaine, favorise l'emprise des gourous de toutes sortes
et rend délicate lorganisation de débats sérieux sur l'usage que nous
voulons faire des technologies. Gaston Bachelard aimait à dire que «
la culture scientifique nous demande de vivre un effort de la pensée
». Sans doute est-ce cet effort là que nous n'encourageons plus assez.
La chose est devenue d'autant plus urgente que les idées relativistes
- et même absolument relativistes - gagnent du terrain : on accuse
désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce à des arguments
d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien privilégié avec le «
vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me permettra de raconter, m'a
fait récemment prendre conscience de cette situation. Un jour, au
terme d'un cours donné devant des élèves-ingénieurs, alors que je
venais de terminer au tableau un calcul de relativité montrant que la
durée d'un phénomène n'est pas la même pour tous les observateurs, un
jeune homme demanda la parole : « Monsieur, personnellement, je ne
suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai qu'il allait défendre
une théorie alternative, donner des éléments pour remettre en selle
l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait mise à mort, bref qu'il
allait argumenter. Je l'invitai donc à s'expliquer : « Je ne crois pas
à cette dilatation des durées que vous venez de calculer, se contenta-
t-il de répondre, parce que je ne la... sens pas ! »."

Etienne Klein, peut-être le jeune homme avait-il raison après tout? On
discutera de l'absurdité de "cette dilatation des durées" en France?
Non? Jamais? Pourquoi?

Pentcho Valev

  #17  
Old May 22nd 11, 08:18 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

http://www.ehess.fr/fr/enseignement/.../2008/ue/1798/
Alexandre Moatti: "L'objet de ces conférences est, dans ce contexte,
de présenter et d'analyser les oppositions de toute nature -
scientifique, philosophique, idéologique - qui se sont cristallisées
contre la nouvelle physique du début du XXe siècle, et en particulier
contre la relativité. Ces oppositions persistent en effet de nos
jours, dans des réseaux qu'on peut qualifier d' « alterscientifiques
», qui réfutent tout ou partie des bases de la physique du XXe siècle..
(...) Des points communs ont été dégagés entre ces différentes
figures, postures et mouvements « alterscientifiques » à travers les
âges. Ce sont des individus ou groupes d'individus formés à la science
mais n'ayant pas toujours suivi son évolution (ingénieurs ou médecins
notamment) - ceci peut aussi s'appliquer à des scientifiques sortant
de leur domaine de magistère. Ils sont ambivalents entre une
fascination pour la science apprise pendant leurs études et un rejet
de la science telle qu'elle a évolué depuis. Ils mêlent différents
champs scientifiques et refusent la spécialisation de la science. Ils
contestent des « théories établies » sans proposition de théorie
alternative cohérente."

Alexandre Moatti, si le principe de la constance de la vitesse de la
lumière est faux (ou si on le conteste), quelle est la "théorie
alternative cohérente" qu'on pourrait proposer? Si on ne voit encore
pas la "théorie alternative cohérente", est-ce que l'on doit continuer
à utiliser, idolâtrer etc. le faux principe?

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268:
Jacques Maritain cite Jean Perrin: "Il est remarquable qu'un retour à
l'hypothèse de l'émission, en admettant que les particules lumineuses
sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE
dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la
Mécanique classique le résultat négatif de l'expérience de Michelson
et de Morley quel que soit le mouvement d'ensemble du système..."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 418:
Jacques Maritain: "Si les résultats de Miller n'étaient pas confirmés
[et il semble bien que ce soit le cas], l'incertitude de nos
connaissances sur la nature de la lumière, et le fait même que notre
science hésite encore entre la théorie de l'émission et celle de
l'ondulation, devraient rendre sensible aux esprits même les moins
avertis en philosophie et en logique la faute énorme qu'on commet en
donnant pour nécessitée en raison, et cela dans l'ordre ontologique
lui-même, l'interprétation einsteinienne de l'expérience de
Michelson."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

Pentcho Valev a écrit:

http://www.amazon.fr/EINSTEIN-si%C3%.../dp/2738120075
EINSTEIN un siècle contre lui, par Alexandre Moatti
p. 88: En dehors de ces reproches traditionnels adressés à la
relativité, mais formulés non sans un certain humour, Bouasse avance
qu'on ne peut à la fois demander au cerveau humain de renoncer aux
notions intuitives de temps et d'espace qu'il s'est forgées, et lui
faire confiance quand il s'agit de comprendre une théorie complexe
comme la relativité:
Henri Bouasse: "Je dis que les données intuitives de notre cerveau
forment un bloc que vous n'avez pas le droit de diviser. Si vous en
rejetez une partie, vous êtes fatalement conduit à rejeter le tout: ce
qui supprime toute possibilité de connaissance."

C'est la destruction de l'esprit humain à l'époque du Postscientisme
que Bouasse craint, Moatti. Pourquoi est-ce vous luttez contre les
esprits critiques de France? Quel est votre but ultime?

Pentcho Valev

  #18  
Old May 22nd 11, 09:15 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268:
Jacques Maritain cite Jean Perrin: "Il est remarquable qu'un retour à
l'hypothèse de l'émission, en admettant que les particules lumineuses
sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE
dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la
Mécanique classique le résultat négatif de l'expérience de Michelson
et de Morley quel que soit le mouvement d'ensemble du système..."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 418:
Jacques Maritain: "Si les résultats de Miller n'étaient pas confirmés
[et il semble bien que ce soit le cas], l'incertitude de nos
connaissances sur la nature de la lumière, et le fait même que notre
science hésite encore entre la théorie de l'émission et celle de
l'ondulation, devraient rendre sensible aux esprits même les moins
avertis en philosophie et en logique la faute énorme qu'on commet en
donnant pour nécessitée en raison, et cela dans l'ordre ontologique
lui-même, l'interprétation einsteinienne de l'expérience de
Michelson."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

Est-ce que Jacques Maritain, le génie français, est un nonêtre en
France?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

http://maritain.nd.edu/jmc/ndjmc.htm
Jacques Maritain Center
http://maritain.nd.edu/jmc/links.htm
Links to Other Maritain Websites
Institut International "Jacques Maritain" - Rome
American Maritain Association.
Canadian Jacques Maritain Association l'association canadienne Jacques-
Maritain
Instituto Jacques Maritain do Brasil
Instituto Maritain de Chile
German website devoted to Maritain
Great Books page on Maritain
Malsapina Great books page on Jacques Maritain
Stanford Encyclopedia of Philosophy page on Maritain
The Philosophy of St. Thomas Aquinas in the Light of Jacques Maritain
and the Maritain Photo Gallery

Pentcho Valev

 




Thread Tools
Display Modes

Posting Rules
You may not post new threads
You may not post replies
You may not post attachments
You may not edit your posts

vB code is On
Smilies are On
[IMG] code is On
HTML code is Off
Forum Jump

Similar Threads
Thread Thread Starter Forum Replies Last Post
THE DEGENERATION OF DEDUCTIVE SCIENCE Pentcho Valev Astronomy Misc 9 June 11th 10 11:33 PM
DEDUCTIVE SCIENCE Pentcho Valev Astronomy Misc 0 March 23rd 09 07:02 AM
LOGICISM AGAINST EMPIRICISM IN DEDUCTIVE SCIENCE Pentcho Valev Astronomy Misc 1 March 4th 09 07:22 AM
DEDUCTIVE SCIENCE: VALEV REFUTED ukastronomy Astronomy Misc 0 January 12th 09 09:40 AM
Was ist Relativitäts-Theorie? - Albert Einstein Double-A Misc 0 May 26th 06 02:09 PM


All times are GMT +1. The time now is 08:48 AM.


Powered by vBulletin® Version 3.6.4
Copyright ©2000 - 2024, Jelsoft Enterprises Ltd.
Copyright ©2004-2024 SpaceBanter.com.
The comments are property of their posters.