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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
Pentcho Valev a écrit :
Si la physique contemporaine avait été basée sur la prémisse que la vitesse des photons (structures DISCONTINUES) varie avec la vitesse de l'émetteur, Albert Einstein (1954), Jean-Marc Lévy-Leblond et Etienne Klein seraient un peu plus optimistes: Oh que non, Pentcha-Pentchi. Si la physique avait élue une telle théorie en contradiction avec l'expérience, elle aurait sombré depuis longtemps. Toujours aucune honte d'être bête, menteur et hypocrite, Pentchiotte? |
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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
L'esprit critique n'était pas mort en France:
http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285: Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie [d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai." Maintenant l'esprit de Jacques Maritain est remplacé par l'esprit d'Alexandre Moatti. Quel développement! http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article838 Einstein - Un siècle contre lui Alexandre Moatti. Éditions Odile Jacob, 2007, Prix 21,90 € Note de lecture de Jean Günther - SPS n° 282, juillet 2008 Einstein, le plus célèbre physicien du XXe siècle, a focalisé autour de son nom et de la plus connue de ses réussites, la théorie de la Relativité, des oppositions parfois virulentes. Après avoir rappelé les aspects scientifiques du problème, l'auteur brosse un large tableau de ces controverses. On peut y distinguer trois épisodes, apparus à des dates et dans des circonstances différentes. Dans le contexte anti-allemand lié en France à la guerre de 1914-1918, des intellectuels, philosophes, scientifiques (ceux-ci généralement de second ordre) se sont déchaînés contre la science « allemande » et la relativité, qui en serait l'émanation. Citons, pêle-mêle, Émile Picard, Charles Richet, Henri Bergson, Jacques Maritain, Pierre Duhem, Gustave Le Bon, Henri Bouasse ; l'auteur en rapporte bien d'autres. Les motivations de ces divers contestataires, leur modes de raisonnement, sont des plus divers et leur analyses nous semblent maintenant dérisoires et sans fondement. Beaucoup, puissants et respectés en leur temps, ont sombré dans un salutaire oubli. http://www.amazon.fr/gp/product/2738...668551-5396107 Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle passerait !" Pentcho Valev |
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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy-
Leblond (la Science remplacée par le Postscientisme): http://www.crc-resurrection.org/Rena...e_Einstein.php "La vitesse de la lumière est constante, sa mesure est invariablement de 300 000 km/s, pour tout observateur, quelle que soit sa vitesse relative par rapport à la source lumineuse et à tout autre système de référence... Écoutons Lévy-Leblond : « Le génie d'Einstein fut de mettre en cause les notions de base d'espace et de temps elles-mêmes (bigre !). Il inversa la démarche : au lieu d'expliquer la constance apparente de la vitesse de la lumière (par quelque cause physique particulière), il la prit comme point de départ et bâtit sur cette hypothèse une nouvelle théorie de l'espace et du temps. » (Lévy- Leblond, p. 419) Mais c'est absurde ! « Qu'on le tourne et retourne comme on voudra, il faut avouer que c'est là un pur non-sens. » (Maritain, Réflexions sur l'intelligence, p. 215) Ce n'est plus la vitesse du mobile qui résulte de l'espace et du temps, ce sont l'espace et le temps qui se contractent ou se dilatent, pour laisser à l'objet sa vitesse constante, invariable, insurpassable, absolue ! « On pourrait dire que la théorie de la Relativité est un déplacement d'absolu... On frappe ainsi de relativité certains éléments réels (temps, dimensions) pour rendre absolues et invariantes certaines relations (exprimant les lois de la nature) », observe encore Jacques Maritain (p. 228)." Pentcho Valev |
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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy-
Leblond (l'honnêteté intellectuelle absolue remplacée par la malhonnêteté intellectuelle absolue): http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285: Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie [d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai." http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=16963 Jean-Marc Lévy-Leblond: "Mais l'inutile et depuis longtemps caduc « second postulat » (celui de l'invariance de la vitesse de la lumière) garde encore une place de choix dans les exposés." http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible ! Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il pourrait exister des photons immobiles, et la différence est essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure, mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité a plusieurs pieds." http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part, nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais, empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de futures mesures mettent en évidence une masse infime, mais non-nulle, du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat" deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle invalidée ? Heureusement, il n'en est rien ; mais, pour s'en assurer, il convient de la refonder sur des bases plus solides, et d'ailleurs plus économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la condition de l'exploiter à fond." http://ww2.ac-creteil.fr/lycees/93/l...e/p1chap6.html "postulat n°2: la vitesse d'un rayon de lumière donné est la même dans tous les référentiels galiléens. Ce second postulat est en accord avec l'expérience de Michelson: il affirme que la vitesse d'un rayon lumineux est la même que la source de lumière soit immobile ou en mouvement par rapport à l'observateur. (...) Les physiciens du 20ième siècle ont démontré (ex: travaux de Jean Marc Lévy-Leblond dans les années 1970) que le second 'postulat' d'Einstein n'était en fait pas un postulat car il découle d'un autre principe plus général appelé principe de causalité (qui dit qu'une conséquence est toujours nécessairement postérieure à sa cause...)" http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativ...ein_.281905.29 "La vitesse de la lumière dans le vide a la même valeur dans tous les référentiels inertiels. (...) Le second postulat formalise l'interprétation des équations de Maxwell suivant laquelle il n'y a pas d'éther, et est conforme aux expériences. (...) Jean-Marc Levy- Leblond fait remarquer que cette approche implique seulement l'existence d'une vitesse-limite c, qui est celle de toutes les particules sans masse, et donc de la lumière dans nos théories actuelles. Si le photon devait s'avérer avoir une masse (voir à ce sujet les propriétés physiques du photon), la relativité ne serait pas remise en question, mais la lumière aurait une vitesse légèrement inférieure à c, et qui dépendrait des référentiels." http://o.castera.free.fr/pdf/La_relativite.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un objet de longueur L0 dans son propre référentiel sera, dans un autre référentiel, repéré différemment et se verra attribuer une longueur inférieure L. Mais, comme dans le cas spatial, c'est là un effet de parallaxe : ce n'est que si les axes spatiotemporels de l'objet coincident avec ceux de la règle utilisée que l'on peut affirmer mesurer la longueur propre de l'objet. La dilatation des temps s'explique de façon analogue. Ces effets sont donc parfaitement "réels" tout en ne concernant que des "apparences"." Pentcho Valev a écrit: L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy- Leblond (la Science remplacée par le Postscientisme): http://www.crc-resurrection.org/Rena...e_Einstein.php "La vitesse de la lumière est constante, sa mesure est invariablement de 300 000 km/s, pour tout observateur, quelle que soit sa vitesse relative par rapport à la source lumineuse et à tout autre système de référence... Écoutons Lévy-Leblond : « Le génie d'Einstein fut de mettre en cause les notions de base d'espace et de temps elles-mêmes (bigre !). Il inversa la démarche : au lieu d'expliquer la constance apparente de la vitesse de la lumière (par quelque cause physique particulière), il la prit comme point de départ et bâtit sur cette hypothèse une nouvelle théorie de l'espace et du temps. » (Lévy- Leblond, p. 419) Mais c'est absurde ! « Qu'on le tourne et retourne comme on voudra, il faut avouer que c'est là un pur non-sens. » (Maritain, Réflexions sur l'intelligence, p. 215) Ce n'est plus la vitesse du mobile qui résulte de l'espace et du temps, ce sont l'espace et le temps qui se contractent ou se dilatent, pour laisser à l'objet sa vitesse constante, invariable, insurpassable, absolue ! « On pourrait dire que la théorie de la Relativité est un déplacement d'absolu... On frappe ainsi de relativité certains éléments réels (temps, dimensions) pour rendre absolues et invariantes certaines relations (exprimant les lois de la nature) », observe encore Jacques Maritain (p. 228)." Pentcho Valev |
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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
L'esprit de Jacques Maritain remplacé par les esprits de Jean-Marc
Lévy-Leblond, Jean Eisenstaedt etc. (l'honnêteté scientifique remplacée par la doublepensée postscientifique): http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268: Jacques Maritain cite Jean Perrin: "Il est remarquable qu'un retour à l'hypothèse de l'émission, en admettant que les particules lumineuses sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la Mécanique classique le résultat négatif de l'expérience de Michelson et de Morley quel que soit le mouvement d'ensemble du système..." http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 418: Jacques Maritain: "Si les résultats de Miller n'étaient pas confirmés [et il semble bien que ce soit le cas], l'incertitude de nos connaissances sur la nature de la lumière, et le fait même que notre science hésite encore entre la théorie de l'émission et celle de l'ondulation, devraient rendre sensible aux esprits même les moins avertis en philosophie et en logique la faute énorme qu'on commet en donnant pour nécessitée en raison, et cela dans l'ordre ontologique lui-même, l'interprétation einsteinienne de l'expérience de Michelson." http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285: Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie [d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai." http://www.larecherche.fr/content/re...ticle?id=10745 Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un siècle après son émergence, la théorie de la relativité est encore bien mal comprise - et pas seulement par les profanes ! Le vocable même qui la désigne (« relativité ») est fort inadéquat. Ses énoncés courants abondent en maladresses sémantiques, et donc en confusions épistémologiques. Paradoxe majeur, cette théorie, présentée comme un sommet de la modernité scientifique, garde de nombreux traits primitifs. Or, de récentes recherches montrent éloquemment qu'un sérieux approfondissement de ses concepts et de ses formulations peut résulter du retour à ses origines, avant même Einstein. Déjà le principe de relativité se comprend mieux si on le détache de la forme nouvelle qu'il prit après Lorentz, Poincaré et Einstein, pour le ressourcer chez Galilée et Descartes. Mais surtout, l'examen de nombreux travaux des XVIIe et XVIIIe siècles, injustement oubliés, met en évidence une théorie particulaire de la lumière, en germe dans la physique newtonienne, qui ouvre des voies d'approche négligées vers la théorie moderne. Ces considérations contrebalancent utilement le point de vue ondulatoire traditionnel, et allègent ses difficultés." http://www.passiondulivre.com/livre-...ravitation.htm "Étrangement, personne n'est jamais vraiment allé voir ce que l'on en pensait «avant», avant Einstein, avant Poincaré, avant Maxwell. Pourtant, quelques savants austères et ignorés, John Michell, Robert Blair et d'autres encore, s'y sont intéressés, de très près. Newtoniens impénitents, ces «philosophes de la nature» ont tout simplement traité la lumière comme faite de vulgaires particules matérielles : des «corpuscules lumineux». Mais ce sont gens sérieux et ils se sont basés sur leurs Classiques, Galilée, Newton et ses Principia où déjà l'on trouve des idées intéressantes. À la fin du XVIIIe siècle, au siècle des Lumières (si bien nommé en l'occurrence !), en Angleterre, en Écosse, en Prusse et même à Paris, une véritable balistique de la lumière sous-tend silencieusement la théorie de l'émission, avatar de la théorie corpusculaire de la lumière de Newton. Lus à la lumière (!) des théories aujourd'hui acceptées, les résultats ne sont pas minces. (...) Les «relativités» d'Einstein, cinématique einsteinienne et théorie de la gravitation, ont la triste réputation d'être difficiles... Ne remettent-elles pas en cause des notions familières ? Leur «refonte» est d'autant plus nécessaire. Cette préhistoire en est un nouvel acte qui offre un autre chemin vers ces théories délicates. Mais ce chemin, aussi long soit- il, est un raccourci, qu'il est temps, cent ans après «la» relativité d'Einstein, de découvrir et d'explorer." http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/...40/pgs/4_5.pdf Jean Eisenstaedt: "Il n'y a alors aucune raison théorique à ce que la vitesse de la lumière ne dépende pas de la vitesse de sa source ainsi que de celle de l'observateur terrestre ; plus clairement encore, il n'y a pas de raison, dans le cadre de la logique des Principia de Newton, pour que la lumière se comporte autrement - quant à sa trajectoire - qu'une particule matérielle. Il n'y a pas non plus de raison pour que la lumière ne soit pas sensible à la gravitation. Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute la théorie newtonienne ? C'est en fait ce que font plusieurs astronomes, opticiens, philosophes de la nature à la fin du XVIIIème siècle. Les résultats sont étonnants... et aujourd'hui nouveaux. (...) Même s'il était conscient de l'intérêt de la théorie de l'émission, Einstein n'a pas pris le chemin, totalement oublié, de Michell, de Blair, des Principia en somme. Le contexte de découverte de la relativité ignorera le XVIIIème siècle et ses racines historiques plongent au coeur du XIXème siècle. Arago, Fresnel, Fizeau, Maxwell, Mascart, Michelson, Poincaré, Lorentz en furent les principaux acteurs et l'optique ondulatoire le cadre dans lequel ces questions sont posées. Pourtant, au plan des structures physiques, l'optique relativiste des corps en mouvement de cette fin du XVIIIème est infiniment plus intéressante - et plus utile pédagogiquement - que le long cheminement qu'a imposé l'éther." http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX George Orwell: "La doublepensée est le pouvoir de garder à l'esprit simultanément deux croyances contradictoires, et de les accepter toutes deux. Un intellectuel du Parti sait dans quel sens ses souvenirs doivent être modifiés. Il sait, par conséquent, qu'il joue avec la réalité, mais, par l'exercice de la doublepensée, il se persuade que la réalité nest pas violée. Le processus doit être conscient, autrement il ne pourrait être réalisé avec une précision suffisante, mais il doit aussi être inconscient. Sinon, il apporterait avec lui une impression de falsification et, partant, de culpabilité. La doublepensée se place au cur même de l'Angsoc, puisque l'acte essentiel du Parti est d'employer la duperie consciente, tout en retenant la fermeté d'intention qui va de pair avec l'honnêteté véritable. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement, oublier tous les faits devenus gênants puis, lorsque c'est nécessaire, les tirer de l'oubli pour seulement le laps de temps utile, nier l'existence dune réalité objective alors qu'on tient compte de la réalité qu'on nie, tout cela est d'une indispensable nécessité. Pour se servir même du mot doublepensée, il est nécessaire d'user de la dualité de la pensée, car employer le mot, c'est admettre que l'on modifie la réalité. Par un nouvel acte de doublepensée, on efface cette connaissance, et ainsi de suite indéfiniment, avec le mensonge toujours en avance d'un bond sur la vérité. (...) Il est à peine besoin de dire que les plus subtils praticiens de la doublepensée sont ceux qui l'inventèrent et qui savent qu'elle est un vaste système de duperie mentale. Dans notre société, ceux qui ont la connaissance la plus complète de ce qui se passe, sont aussi ceux qui sont les plus éloignés de voir le monde tel qu'il est. En général, plus vaste est la compréhension, plus profonde est l'illusion. Le plus intelligent est le moins normal." Pentcho Valev |
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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
http://www.lefigaro.fr/livres/2010/0...on-339uvre.php
"Pour le physicien, la théorie de la relativité d'Einstein a détruit l'universalité du temps physique : il n'est plus le même pour chacun de nous. Mon présent peut être le passé de quelqu'un d'autre et le futur d'une tierce personne, s'ils sont tous deux en mouvement par rapport à moi. Et si, pour quelqu'un d'autre, le futur existe déjà et le passé est encore présent, tous les instants se valent. Le passage du temps n'est qu'illusion: «Pour nous autres physiciens convaincus, la distinction entre passé, présent et futur n'est qu'une illusion, même si elle est tenace», écrit Einstein. Pour le physicien moderne, le temps ne s'écoule plus: il est simplement là, immobile, comme une ligne droite s'étendant à l'infini dans les deux directions." http://www-llb.cea.fr/Phocea/Vie_des...php?id_ast=761 Two-day conference "Le Temps" (jointly with Séminaire Poincaré), IHP, 4 et 18 décembre 2010 http://www.bourbaphy.fr/damourtemps.pdf Thibault Damour: "Textbook presentations of Special Relativity often fail to convey the revolutionary nature, with respect to the "common conception of time", of the seminal paper of Einstein in June 1905. It is true that many of the equations, and mathematical considerations, of this paper were also contained in a 1904 paper of Lorentz, and in two papers of Poincaré submitted in June and July 1905. It is also true that the central informational core of a physical theory is defined by its fundamental equations, and that for some theories (notably Quantum Mechanics) the fundamental equations were discovered before their physical interpretation. However, in the case of Special Relativity, the egregious merit of Einstein was, apart from his new mathematical results and his new physical predictions (notably about the comparison of the readings of clocks which have moved with respect to each other) the conceptual breakthrough that the rescaled "local time" variable t' of Lorentz was "purely and simply, the time", as experienced by a moving observer. This new conceptualization of time implied a deep upheaval of the common conception of time. (...) The paradigm of the special relativistic upheaval of the usual concept of time is the twin paradox. Let us emphasize that this striking example of time dilation proves that time travel (towards the future) is possible. As a gedanken experiment (if we neglect practicalities such as the technology needed for reaching velocities comparable to the velocity of light, the cost of the fuel and the capacity of the traveller to sustain high accelerations), it shows that a sentient being can jump, "within a minute" (of his experienced time) arbitrarily far in the future, say sixty million years ahead, and see, and be part of, what (will) happen then on Earth. This is a clear way of realizing that the future "already exists" (as we can experience it "in a minute"). No wonder that many people, attached to the usual idea of an external flow of time, refused to believe that the travelling twin will come back younger than his sedentary brother." http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons, poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale : la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient, l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux temporel." http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion." http://agenda.ipc.univ-paris-diderot....php?article95 Etienne Klein: "Il est difficile de nier qu'une certaine inculture scientifique est devenue intellectuellement et socialement dangereuse : elle empêche de fonder une épistémologie rigoureuse de la science contemporaine, favorise l'emprise des gourous de toutes sortes et rend délicate lorganisation de débats sérieux sur l'usage que nous voulons faire des technologies. Gaston Bachelard aimait à dire que « la culture scientifique nous demande de vivre un effort de la pensée ». Sans doute est-ce cet effort là que nous n'encourageons plus assez. La chose est devenue d'autant plus urgente que les idées relativistes - et même absolument relativistes - gagnent du terrain : on accuse désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce à des arguments d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien privilégié avec le « vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me permettra de raconter, m'a fait récemment prendre conscience de cette situation. Un jour, au terme d'un cours donné devant des élèves-ingénieurs, alors que je venais de terminer au tableau un calcul de relativité montrant que la durée d'un phénomène n'est pas la même pour tous les observateurs, un jeune homme demanda la parole : « Monsieur, personnellement, je ne suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai qu'il allait défendre une théorie alternative, donner des éléments pour remettre en selle l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait mise à mort, bref qu'il allait argumenter. Je l'invitai donc à s'expliquer : « Je ne crois pas à cette dilatation des durées que vous venez de calculer, se contenta- t-il de répondre, parce que je ne la... sens pas ! »." Etienne Klein, peut-être le jeune homme avait-il raison après tout? On discutera de l'absurdité de "cette dilatation des durées" en France? Non? Jamais? Pourquoi? Pentcho Valev |
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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
http://www.ehess.fr/fr/enseignement/.../2008/ue/1798/
Alexandre Moatti: "L'objet de ces conférences est, dans ce contexte, de présenter et d'analyser les oppositions de toute nature - scientifique, philosophique, idéologique - qui se sont cristallisées contre la nouvelle physique du début du XXe siècle, et en particulier contre la relativité. Ces oppositions persistent en effet de nos jours, dans des réseaux qu'on peut qualifier d' « alterscientifiques », qui réfutent tout ou partie des bases de la physique du XXe siècle.. (...) Des points communs ont été dégagés entre ces différentes figures, postures et mouvements « alterscientifiques » à travers les âges. Ce sont des individus ou groupes d'individus formés à la science mais n'ayant pas toujours suivi son évolution (ingénieurs ou médecins notamment) - ceci peut aussi s'appliquer à des scientifiques sortant de leur domaine de magistère. Ils sont ambivalents entre une fascination pour la science apprise pendant leurs études et un rejet de la science telle qu'elle a évolué depuis. Ils mêlent différents champs scientifiques et refusent la spécialisation de la science. Ils contestent des « théories établies » sans proposition de théorie alternative cohérente." Alexandre Moatti, si le principe de la constance de la vitesse de la lumière est faux (ou si on le conteste), quelle est la "théorie alternative cohérente" qu'on pourrait proposer? Si on ne voit encore pas la "théorie alternative cohérente", est-ce que l'on doit continuer à utiliser, idolâtrer etc. le faux principe? http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268: Jacques Maritain cite Jean Perrin: "Il est remarquable qu'un retour à l'hypothèse de l'émission, en admettant que les particules lumineuses sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la Mécanique classique le résultat négatif de l'expérience de Michelson et de Morley quel que soit le mouvement d'ensemble du système..." http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 418: Jacques Maritain: "Si les résultats de Miller n'étaient pas confirmés [et il semble bien que ce soit le cas], l'incertitude de nos connaissances sur la nature de la lumière, et le fait même que notre science hésite encore entre la théorie de l'émission et celle de l'ondulation, devraient rendre sensible aux esprits même les moins avertis en philosophie et en logique la faute énorme qu'on commet en donnant pour nécessitée en raison, et cela dans l'ordre ontologique lui-même, l'interprétation einsteinienne de l'expérience de Michelson." http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285: Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie [d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai." Pentcho Valev a écrit: http://www.amazon.fr/EINSTEIN-si%C3%.../dp/2738120075 EINSTEIN un siècle contre lui, par Alexandre Moatti p. 88: En dehors de ces reproches traditionnels adressés à la relativité, mais formulés non sans un certain humour, Bouasse avance qu'on ne peut à la fois demander au cerveau humain de renoncer aux notions intuitives de temps et d'espace qu'il s'est forgées, et lui faire confiance quand il s'agit de comprendre une théorie complexe comme la relativité: Henri Bouasse: "Je dis que les données intuitives de notre cerveau forment un bloc que vous n'avez pas le droit de diviser. Si vous en rejetez une partie, vous êtes fatalement conduit à rejeter le tout: ce qui supprime toute possibilité de connaissance." C'est la destruction de l'esprit humain à l'époque du Postscientisme que Bouasse craint, Moatti. Pourquoi est-ce vous luttez contre les esprits critiques de France? Quel est votre but ultime? Pentcho Valev |
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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE
http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268: Jacques Maritain cite Jean Perrin: "Il est remarquable qu'un retour à l'hypothèse de l'émission, en admettant que les particules lumineuses sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la Mécanique classique le résultat négatif de l'expérience de Michelson et de Morley quel que soit le mouvement d'ensemble du système..." http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 418: Jacques Maritain: "Si les résultats de Miller n'étaient pas confirmés [et il semble bien que ce soit le cas], l'incertitude de nos connaissances sur la nature de la lumière, et le fait même que notre science hésite encore entre la théorie de l'émission et celle de l'ondulation, devraient rendre sensible aux esprits même les moins avertis en philosophie et en logique la faute énorme qu'on commet en donnant pour nécessitée en raison, et cela dans l'ordre ontologique lui-même, l'interprétation einsteinienne de l'expérience de Michelson." http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C.../dp/2850492752 Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285: Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie [d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités; entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai." Est-ce que Jacques Maritain, le génie français, est un nonêtre en France? http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il n'existait pas, il n'avait jamais existé." http://maritain.nd.edu/jmc/ndjmc.htm Jacques Maritain Center http://maritain.nd.edu/jmc/links.htm Links to Other Maritain Websites Institut International "Jacques Maritain" - Rome American Maritain Association. Canadian Jacques Maritain Association l'association canadienne Jacques- Maritain Instituto Jacques Maritain do Brasil Instituto Maritain de Chile German website devoted to Maritain Great Books page on Maritain Malsapina Great books page on Jacques Maritain Stanford Encyclopedia of Philosophy page on Maritain The Philosophy of St. Thomas Aquinas in the Light of Jacques Maritain and the Maritain Photo Gallery Pentcho Valev |
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