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http://agenda.ipc.univ-paris-diderot....php?article95
Etienne Klein: "La chose est devenue d'autant plus urgente que les idées relativistes - et même absolument relativistes - gagnent du terrain : on accuse désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce à des arguments d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien privilégié avec le « vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me permettra de raconter, m'a fait récemment prendre conscience de cette situation. Un jour, au terme d'un cours donné devant des élèves- ingénieurs, alors que je venais de terminer au tableau un calcul de relativité montrant que la durée d'un phénomène n'est pas la même pour tous les observateurs, un jeune homme demanda la parole : « Monsieur, personnellement, je ne suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai qu'il allait défendre une théorie alternative, donner des éléments pour remettre en selle l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait mise à mort, bref qu'il allait argumenter. Je l'invitai donc à s'expliquer : « Je ne crois pas à cette dilatation des durées que vous venez de calculer, se contenta-t-il de répondre, parce que je ne la... sens pas ! ». Ce jeune homme avait donc suffisamment confiance dans ses intuitions et sa subjectivité pour penser qu'elles lui permettaient de contester un résultat que près d'un siècle d'expérimentation et d'objectivation avait permis de valider..." Ce jeune homme avait des exigences CULTURELLES: "Sentir" une théorie déductive veut dire vérifier si sa logique est valide et si ses conclusions ne sont pas absurdes (si elles le sont, un postulat doit être faux). Les preuves expérimentales ne satisfont pas aux exigences culturelles - elles ne concernent que le coté PRAGMATIQUE de la théorie. Si Etienne Klein était un professeur honnête, il analyserait avec l'étudiant les conclusions les plus absurdes de la même théorie: http://www.youtube.com/watch?v=VSRIy...related&search Einsteinians trap long trains inside short tunnels http://math.ucr.edu/home/baez/physic...barn_pole.html "These are the props. You own a barn, 40m long, with automatic doors at either end, that can be opened and closed simultaneously by a switch. You also have a pole, 80m long, which of course won't fit in the barn. Now someone takes the pole and tries to run (at nearly the speed of light) through the barn with the pole horizontal. Special Relativity (SR) says that a moving object is contracted in the direction of motion: this is called the Lorentz Contraction. So, if the pole is set in motion lengthwise, then it will contract in the reference frame of a stationary observer.....So, as the pole passes through the barn, there is an instant when it is completely within the barn. At that instant, you close both doors simultaneously, with your switch. Of course, you open them again pretty quickly, but at least momentarily you had the contracted pole shut up in your barn. The runner emerges from the far door unscathed.....If the doors are kept shut the rod will obviously smash into the barn door at one end. If the door withstands this the leading end of the rod will come to rest in the frame of reference of the stationary observer. There can be no such thing as a rigid rod in relativity so the trailing end will not stop immediately and the rod will be compressed beyond the amount it was Lorentz contracted. If it does not explode under the strain and it is sufficiently elastic it will come to rest and start to spring back to its natural shape but since it is too big for the barn the other end is now going to crash into the back door and the rod will be trapped IN A COMPRESSED STATE inside the barn." http://master-p6.obspm.fr/relat/anne...atTD1_1011.pdf Université Pierre et Marie Curie "La situation est la suivante : un perchiste se saisit d'une perche mesurant 10 m, puis il s'élance en direction d'une grange mesurant 5 m de profondeur et percée de deux portes A et B (cf fig. 0.1). On suppose que le perchiste se déplace à une vitesse constante v telle que gamma = 2. Le paradoxe est le suivant : le perchiste a une perche de 10 m et voit une grange de longueur 5/gamma = 2,5 m, donc la perche ne rentre pas. De son côté, la grange voit une perche de longueur 10/ gamma = 5 m, donc la perche rentre. Finalement, est-ce que la perche rentre dans la grange ? Que se passe-t-il si on ferme la porte en B? (...) ...lorsque le bout P atteint la porte fermée en B, l'autre bout de la barre n'est pas encore au courant et la perche se contracte très fortement, jusqu'à ce que l'information que B est fermée se propage, via des ondes acoustiques, le long de la barre jusqu'en P." http://www.quebecscience.qc.ca/Revolutions "Cependant, si une fusée de 100 m passait devant nous à une vitesse proche de celle de la lumière, elle pourrait sembler ne mesurer que 50 m, ou même moins. Bien sûr, la question qui vient tout de suite à l'esprit est: «Cette contraction n'est-elle qu'une illusion?» Il semble tout à fait incroyable que le simple mouvement puisse comprimer un objet aussi rigide qu'une fusée. Et pourtant, la contraction est réelle... mais SANS COMPRESSION physique de l'objet! Ainsi, une fusée de 100 m passant à toute vitesse dans un tunnel de 60 m pourrait être entièrement contenue dans ce tunnel pendant une fraction de seconde, durant laquelle il serait possible de fermer des portes aux deux bouts! La fusée est donc réellement plus courte. Pourtant, il n'y a PAS DE COMPRESSION matérielle ou physique de l'engin. Comment est-ce possible?" http://alcor.concordia.ca/~scol/semi...ts/Durand.html "La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche, i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche. Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi- même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les deux cas)." http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html "The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé. REDUCTIO AD ABSURDUM: Les conclusions absurdes de la relativité restreinte montrent que le principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905 est FAUX. Pentcho Valev |
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Pentcho Valev a écrit :
http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu.../bugrivet.html "The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé. Absolument pas, REDUCTIO AD ABSURDUM: Les conclusions absurdes de la relativité restreinte montrent que le principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905 est FAUX. Tout aussi faux. Aucune honte, Pentcho Valev de vous montrer à la fois idiot et menteur en public ? |
#3
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http://agenda.ipc.univ-paris-diderot....php?article95
Etienne Klein: "La chose est devenue d'autant plus urgente que les idées relativistes - et même absolument relativistes - gagnent du terrain : on accuse désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce à des arguments d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien privilégié avec le « vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me permettra de raconter, m'a fait récemment prendre conscience de cette situation. Un jour, au terme d'un cours donné devant des élèves- ingénieurs, alors que je venais de terminer au tableau un calcul de relativité montrant que la durée d'un phénomène n'est pas la même pour tous les observateurs, un jeune homme demanda la parole : « Monsieur, personnellement, je ne suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai qu'il allait défendre une théorie alternative, donner des éléments pour remettre en selle l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait mise à mort, bref qu'il allait argumenter. Je l'invitai donc à s'expliquer : « Je ne crois pas à cette dilatation des durées que vous venez de calculer, se contenta-t-il de répondre, parce que je ne la... sens pas ! ». Ce jeune homme avait donc suffisamment confiance dans ses intuitions et sa subjectivité pour penser qu'elles lui permettaient de contester un résultat que près d'un siècle d'expérimentation et d'objectivation avait permis de valider..." Etienne Klein, à la différence de votre étudiant, Einstein sentait très bien la dilatation des durées parce qu'il l'avait déduite d'un "RÉSULTAT DU CHAPITRE 12": http://www.amazon.fr/Relativit%C3%A9.../dp/2228882542 "La Relativité", par Albert Einstein Chapitre 23: « Soit donné un domaine spatio-temporel dans lequel il n'existe pas de champ de gravitation relativement à un corps de référence K dont l'état a été convenablement choisi ; par rapport au domaine considéré, K est alors un corps de référence galiléen, et les résultats de la Théorie de la relativité restreinte sont valable par rapport à K. Supposons que le même domaine soit rapporté à un second corps de référence K' qui est animé d'un mouvement de rotation uniforme par rapport à K. Pour fixer les idées, supposons que K' soit représenté par un disque circulaire plan qui effectue un mouvement de rotation uniforme dans son plan autour de son centre. (...) L'observateur commence par placer une des deux horloges de même construction au centre de disque et l'autre sur la périphérie, de sorte qu'elles sont au repos par rapport au disque. Nous nous demandons d'abord si ces deux horloges ont la même vitesse au point de vue du corps de référence galiléen K, non animé d'un mouvement de rotation. Par rapport à celui-ci l'horloge placée au centre n'a pas de vitesse, tandis que l'horloge placée sur la périphérie est en mouvement par suite de la rotation relativement à K. D'APRÈS UN RÉSULTAT DU CHAPITRE 12, cette dernière horloge marche donc d'une façon permanente plus lentement, par rapport à K, que celle placée au centre du disque. » Est-ce que vous avez vérifié la déduction d'Einstein, Etienne Klein? Est-elle valide? C'est-à-dire, est-ce que la conclusion "cette dernière horloge marche donc d'une façon permanente plus lentement" découle validement du "RÉSULTAT DU CHAPITRE 12"? Non? Non, la déduction d'Einstein n'est pas valide ou non, vous ne l'avez pas vérifiée? Vous ne vérifierez jamais cette déduction parce que toutes les déductions d'Einstein sont valides par définition et donc le problème n'existe pas? Le problème n'a jamais existé? C'est un nonproblème? http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il n'existait pas, il n'avait jamais existé." Pentcho Valev |
#4
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http://www.mondialisation.ca/index.p...t=va&aid=12761
"Il est bien établi que nombre de scientifiques éminents ont nourri dès le début des doutes sur la validité de la théorie de la relativité restreinte et générale. Certains, comme Herbert Dingle, devenu très embarrassé par les aspects du fameux paradoxe des jumeaux, a conçu des doutes après avoir été au début un ardent défenseur de la théorie. Malheureusement, si le récit des événements décrits dans son livre Science at the Crossroadsest exact, il semble qu'après l'apparition de ces doutes, les écarter devienne de plus en plus difficile. Pas grand chose ne semble avoir changé depuis ces débuts, et il reste apparemment toujours vrai que, contester la validité des théories de la relativité n'est pas un choix de carrière raisonnable." Etienne Klein, avez-vous jamais prononcé le nom "Herbert Dingle"? Le nom "Bryan Wallace"? Non? Herbert Dingle et Bryan Wallace sont déjà des nonêtres? Il n'ont jamais existé? http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il n'existait pas, il n'avait jamais existé." Quelques citations (plutôt, noncitations) des nonêtres: http://www.nature.com/nature/journal...1831761a0.html Nature 183, 1761 (20 June 1959) Herbert Dingle: "AS is well known, Einstein's special theory of relativity rests on two postulates: (1) the postulate of relativity; (2) the postulate of constant light velocity, which says "that light is always propagated in empty space with a definite velocity c which is independent of the state of motion of the emitting body". For the first postulate there is much experimental support; for the second, none." http://blog.hasslberger.com/Dingle_S...Crossroads.pdf Herbert Dingle, SCIENCE AT THE CROSSROADS "According to the special relativity theory, as expounded by Einstein in his original paper, two similar, regularly-running clocks, A and B, in uniform relative motion, must work at different rates.....How is the slower-working clock distinguished? The supposition that the theory merely requires each clock to APPEAR to work more slowly from the point of view of the other is ruled out not only by its many applications and by the fact that the theory would then be useless in practice, but also by Einstein's own examples, of which it is sufficient to cite the one best known and most often claimed to have been indirectly established by experiment, viz. 'Thence' [i.e. from the theory he had just expounded, which takes no account of possible effects of accleration, gravitation, or any difference at all between the clocks except their state of uniform motion] 'we conclude that a balance-clock at the equator must go more slowly, by a very small amount, than a precisely similar clock situated at one of the poles under otherwise identical conditions.' Applied to this example, the question is: what entitled Einstein to conclude FROM HIS THEORY that the equatorial, and not the polar, clock worked more slowly?" http://articles.adsabs.harvard.edu/c...&filetype=.pdf Herbert Dingle: "...the internal consistency of the restricted relativity theory seems questionable if the postulate of the constancy of the velocity of light is given its usual interpretation... (...) These difficulties are removed if the postulate be interpreted MERELY as requiring that the velocity of light relative to its actual material source shall always be c..." http://www.worldnpa.org/pdf/abstracts/abstracts_215.pdf Herbert Dingle: "The special relativity theory requires different rates of ageing to result from motion which belongs no more to one twin than to the other: that is impossible. It is impossible to exaggerate the importance of this result, for this theory is, by common consent, "taken for granted" in Max Born's words, in all modern atomic research. and it determines the course of practically all current developments in physical science, theoretical and experimental, whether concerned with the laboratory or with the universe. To continue to use the theory without discrimination, therefore, is not only to follow a false trail in the investigation of nature, but also to risk physical disaster on the unforeseeable scale... (...) But it is now clear that the interpretation of those [Lorentz] equations as constituting a basis for a new kinematics, displacing that of Galileo and Newton, which is the essence of the special relativity theory, leads inevitably to impossibilities and therefore cannot be true. Either there is an absolute standard of rest - call it the ether as with Maxwell. or the universe as with Mach, or absolute space as with Newton, or what you will or else ALL MOTION, INCLUDING THAT WITH THE SPEED OF LIGHT, IS RELATIVE, AS WITH RITZ. It remains to be determined, by a valid experimental determination of THE TRUE RELATION OF THE VELOCITY OF LIGHT TO THAT OF ITS SOURCE, which of these alternatives is the true one. In the meantime, the fiction of "space-time" as an objective element of nature, and the associated pseudo-concepts such as "time-dilation", that violate "saving common sense", should be discharged from physics and philosophy..." http://www.fileden.com/files/2008/8/...9-p361-367.pdf RADAR TESTING OF THE RELATIVE VELOCITY OF LIGHT IN SPACE Bryan G. Wallace, Spectroscopy Letters 1969 pages 361-367 ABSTRACT: "Published interplanetary radar data presents evidence that the relative velocity of light in space is c+v and not c." INTRODUCTION: "There are three main theories about the relativity velocity of light in space. The Newtonian corpuscular theory is relativistic in the Galilean sense and postulates that the velocity is c+v relative to the observer. The ether theory postulates that the velocity is c relative to the ether. The Einstein theory postulates that the velocity is c relative to the observer. The Michelson-Morley experiment presents evidence against the ether theory and for the c+v theory. The c theory explains the results of this experiment by postulating ad hoc properties of space and time..." http://www.ekkehard-friebe.de/wallace.htm Bryan Wallace: "There is a popular argument that the world's oldest profession is sexual prostitution. I think that it is far more likely that the oldest profession is scientific prostitution, and that it is still alive and well, and thriving in the 20th century. I suspect that long before sex had any commercial value, the prehistoric shamans used their primitive knowledge to acquire status, wealth, and political power, in much the same way as the dominant scientific and religious politicians of our time do. (...) Because many of the dominant theories of our time do not follow the rules of science, they should more properly be labeled pseudoscience. The people who tend to believe more in theories than in the scientific method of testing theories, and who ignore the evidence against the theories they believe in, should be considered pseudoscientists and not true scientists. To the extent that the professed beliefs are based on the desire for status, wealth, or political reasons, these people are scientific prostitutes. (...) Einstein's special relativity theory with his second postulate that the speed of light in space is constant is the linchpin that holds the whole range of modern physics theories together. Shatter this postulate, and modern physics becomes an elaborate farce! (...) The speed of light is c+v. (...) I expect that the scientists of the future will consider the dominant abstract physics theories of our time in much the same light as we now consider the Medieval theories of how many angels can dance on the head of a pin or that the Earth stands still and the Universe moves around it." [Bryan Wallace wrote "The Farce of Physics" on his deathbed hence some imperfections in the text!] Pentcho Valev |
#5
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http://www.psycho-energie.fr/double/...hibault-damour
Thibault Damour: "Le formalisme de la relativité einsteinienne dit que le temps est une illusion..." http://www-llb.cea.fr/Phocea/Vie_des...php?id_ast=761 Two-day conference "Le Temps" (jointly with Séminaire Poincaré), IHP, 4 et 18 décembre 2010 http://www.bourbaphy.fr/damourtemps.pdf Thibault Damour: "Textbook presentations of Special Relativity often fail to convey the revolutionary nature, with respect to the "common conception of time", of the seminal paper of Einstein in June 1905. It is true that many of the equations, and mathematical considerations, of this paper were also contained in a 1904 paper of Lorentz, and in two papers of Poincaré submitted in June and July 1905. It is also true that the central informational core of a physical theory is defined by its fundamental equations, and that for some theories (notably Quantum Mechanics) the fundamental equations were discovered before their physical interpretation. However, in the case of Special Relativity, the egregious merit of Einstein was, apart from his new mathematical results and his new physical predictions (notably about the comparison of the readings of clocks which have moved with respect to each other) the conceptual breakthrough that the rescaled "local time" variable t' of Lorentz was "purely and simply, the time", as experienced by a moving observer. This new conceptualization of time implied a deep upheaval of the common conception of time. (...) The paradigm of the special relativistic upheaval of the usual concept of time is the twin paradox. Let us emphasize that this striking example of time dilation proves that time travel (towards the future) is possible. As a gedanken experiment (if we neglect practicalities such as the technology needed for reaching velocities comparable to the velocity of light, the cost of the fuel and the capacity of the traveller to sustain high accelerations), it shows that a sentient being can jump, "within a minute" (of his experienced time) arbitrarily far in the future, say sixty million years ahead, and see, and be part of, what (will) happen then on Earth. This is a clear way of realizing that the future "already exists" (as we can experience it "in a minute"). No wonder that many people, attached to the usual idea of an external flow of time, refused to believe that the travelling twin will come back younger than his sedentary brother." http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion." http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons, poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale : la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient, l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux temporel." Etienne Klein et Thibault Damour, les contradictions sont évidentes, le problème est très important (il s'agit peut-être d'une science mourante), et en même temps il n'y a aucune discussion en France! Que se passe-t-il? Est-ce que la période de "trente ou quarante ans" est devenue beaucoup plus courte? http://archives.lesechos.fr/archives...077-80-ECH.htm "Physicien au CEA, professeur et auteur, Etienne Klein s'inquiète des relations de plus en plus conflictuelles entre la science et la société. (...) « Je me demande si nous aurons encore des physiciens dans trente ou quarante ans », remarque ce touche-à-tout aux multiples centres d'intérêt : la constitution de la matière, le temps, les relations entre science et philosophie. (...) Etienne Klein n'est pas optimiste. Selon lui, il se pourrait bien que l'idée de progrès soit tout bonnement « en train de mourir sous nos yeux »." Pentcho Valev |
#6
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http://www.dormirenfrance.fr/relativ...nt-s107511.htm
"Comme c'est les 100 ans de la version originale de la relativité restreinte, une révision des hypothèses originales, des documents et des idées qui ont conduit à l'acceptation de cette théorie est opportune et justifiée. Chaque année, des millions d'étudiants sont enseignées cette théorie sans une analyse critique de la relativité. Théorie de la relativité se compose de ses deux variantes spécial relativité et la relativité générale et est considéré comme la pierre angulaire de la physique moderne. Albert Einstein a emprunté des idées de Fitzgerald, Lorentz et Voigt pour créer un nouveau concept de l'univers. Sa première uvre à cet égard plus tard, vint à être connu comme la relativité restreinte et contient de nombreuses idées controversées qui sont aujourd'hui considérées comme un axiome. Parmi ceux-ci sont la longueur Contraction, Dilatation du temps, le paradoxe des jumeaux et l'équivalence de masse et l'énergie résumées dans l'équation E = mc2. (...) Toutefois, des doutes subsistent dans la communauté scientifique qui n'ont jamais totalement abandonné le confort d'une conception newtonienne du monde. (...) À la suite de ces idées, notre compréhension de la géométrie, les mathématiques, la physique, la science et l'univers ne serait jamais la même. Toutefois, certains scientifiques déclarent que la vitesse de la lumière n'est pas constante à partir des observations expérimentales différentes." http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=72449 "La relativité doit être fausse. En effet, considérons une échelle de 20 mètres de long transportée si rapidement dans la direction qui lui est parallèle qu'elle ne paraît plus avoir que 10 mètres de long dans le système du laboratoire. A un moment donné, on peut donc la faire entrer toute entière dans un bâtiment de 10 mètres de long. Plaçons- nous cependant dans le système de référence du coureur qui la porte. Pour lui, le bâtiment est contractée à la moitié de sa longueur. Comment une perche de 20 mètres pourrait-elle entrer dans un bâtiment de 5 mètres ? Et cette conclusion impossible à retenir ne démontre-t- elle pas que la relativité renferme quelque part une faille logique fondamentale ?" http://forums.futura-sciences.com/ph...on-morley.html "Interpretation de l'expérience de Michelson-Morley. Cette experience nie l'existance de l'éther conjugé à l'utilisation de la relativité galiléenne. Mais qu'est qui pousse alors Einstein a supposer que la vitesse de la lumiere est invariante dans tt refs inertiels? Ou encore Lorentz à s'acrocher a l'existance de l'ether en lui aportant des propriétés particulières? Ces deux interprétations ont été effectivement fructueuses pour ce qui est de la confrontation a l'exprérimentation. Mais y a il eu a l'époque des interprétation niant l'existance de l'ether, et suposant que la vitesse de la lumière dépendait de la vitesse de la source (l'experience de Michelson-Morley étant parfaitement compatible avec une vision corpusculaire de la lumiere et une utilisation de la relativité galiléenne) ? Et pourquoi ces théories, même a l'époque ou les conséquence de la relativité restreinte ou de l'utilisation des transfo de Lorentz (ex: paradoxe de Langevin) ne pouvaient etre testé, ont elles été abandonés?" http://astronomie.forumactif.com/t87...ite-d-einstein "J'ai l'impression que la question de Yacine comme celle de Dingle (ralentissement des horloges) resteront sans réponse... Peut-être que le postulat d'Einstein (l'invariance de c) est faux tout simplement?" L'esprit critique se réveille en France? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen- Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On va se cacher où? Pentcho Valev |
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http://www.franceculture.com/emissio...erche-2011-04-
Etienne Klein: "La théorie quantique et la théorie de la relativité, restreinte ou générale d'ailleurs, n'ont jamais été contredites par des faits." Quid des résultats des expériences de Michelson-Morley et de Pound- Rebka, Etienne Klein? Vos frères Einsteiniens John Norton et Tom Roberts vous diraient que ces résultats confirment la théorie de l'émission de Newton, une théorie incompatible avec le principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905: http://groups.google.com/group/sci.p...abc7dbb30db6c2 John Norton: "THE MICHELSON-MORLEY EXPERIMENT IS FULLY COMPATIBLE WITH AN EMISSION THEORY OF LIGHT THAT CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." Tom Roberts: "Sure. The fact that this one experiment is compatible with other theories does not refute relativity in any way. The full experimental record refutes most if not all emission theories, but not relativity." Pentcho Valev: "THE POUND-REBKA EXPERIMENT IS FULLY COMPATIBLE WITH AN EMISSION THEORY OF LIGHT THAT CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE." Tom Roberts: "Sure. But this experiment, too, does not refute relativity. The full experimental record refutes most if not all emission theories, but not relativity." Bien sûr, John Norton et Tom Roberts ajouteraient que les expériences de Michelson-Morley et de Pound-Rebka confirment aussi, d'une manière glorieuse, la Théorie Divine d'Albert le Divin, mais on pourrait s'en douter. Vous en avez pensé, Etienne Klein? Jamais? Pourquoi? L'arrêtducrime est absolu dans ce cas? http://wikilivres.info/wiki/1984/Deu..._-_Chapitre_IX George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net, comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie stupidité protectrice." Est-ce que l'on a discuté de la relation entre le principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905 et les résultats des expériences de Michelson-Morley et de Pound-Rebka en France, Etienne Klein? On en discutera dans le futur? Non? Jamais? Pourquoi? Le problème n'existe pas? Le problème n'a jamais existé? C'est un nonproblème? http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il n'existait pas, il n'avait jamais existé." Pentcho Valev |
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Pentcho Valev a écrit :
L'esprit critique se réveille en France? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen- Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On va se cacher où? Et l'imbécile parfait Pentcho Valev il va se cacher où pour ne pas faire subir à ses descendants la honte d'avoir montré, jour après jour, sur Usenet quel idiot et quel malhonnête personne il est ? |
#9
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Les prémisses fausses de la théorie déductive:
http://houchmandzadeh.net/cours/Rela...relativite.pdf Bahram Houchmandzadeh, Directeur de Recherche au CNRS: "En réalité, de nombreuse preuves expérimentales s'étaient accumulées dès la fin du XIXème siècle, bien avant l'expérience des horloges atomiques. Le fait le plus marquant était la mesure de la vitesse des ondes lumineuses. Supposez que vous jetez une pierre dans l'eau et regardez les ondes de surface s'écarter de vous. La vitesse v de ces ondes dépend seulement des propriétés du liquide et de l'environnement (comme l'accélération de gravité g, la profondeur du canal h, la tension de surface, ...). Supposez maintenant que vous glissez à la surface de l'eau et qu'à nouveau, vous provoquez des ondes se surfaces : cette fois, vous verrez les ondes (dans la direction avant) s'écarter de vous avec une vitesse v' plus faible ; si votre propre vitesse est v_p, alors v' = v - v_p. Cela d'ailleurs est une façon efficace de mesurer votre vitesse par rapport à l'eau. A la fin du XIXème, des scientifiques ont mesuré la vitesse des ondes lumineuses lors d'une telle expériences, et ont constaté que l'observateur fixe et l'observateur mobile mesuraient exactement la même vitesse." Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On ne comparera jamais le texte de Bahram Houchmandzadeh aux textes ci-dessous? http://www.amazon.fr/James-Smith-Int.../dp/B0014P9USI James H. Smith "Introduction à la relativité": "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE." http://www.hep.man.ac.uk/u/roger/PHY.../lecture18.pdf Roger Barlow: "Now suppose the source is fixed but the observer is moving towards the source, with speed v. In time t, ct/(lambda) waves pass a fixed point. A moving point adds another vt/(lambda). So f'=(c +v)/(lambda)." http://www-physics.ucsd.edu/students.../lecture16.pdf Convention we will choose: u = velocity of observer or source v = velocity of wave Moving Observer Observer approaching: f'=(1/T')=(v+u)/(lambda) Observer receding: f'=(1/T')=(v-u)/(lambda) http://www.expo-db.be/ExposPrecedent...%20Doppler.pdf 6. Source immobile - Observateur en mouvement La distance entre les crêtes, la longueur d'onde lambda ne change pas. Mais la vitesse des crêtes par rapport à l'observateur change ! L'observateur se rapproche de la source f' = V'/(lambda) f' = f (1 + Vo/V) L'observateur s'éloigne de la source f' = f (1 - Vo/V) http://www.eng.uwi.tt/depts/elec/sta...relativity.pdf The Invalidation of a Sacred Principle of Modern Physics Stephan J.G. Gift "For a stationary observer O, the stationary light source S emits light at speed c, wavelength Lo, and frequency Fo given by Fo=c/Lo. If the observer moves toward S at speed v, then again based on classical analysis, the speed of light relative to the moving observer is (c + v) and not c as required by Einstein's law of light propagation. Hence the observer intercepts wave-fronts of light at a frequency fA, which is higher than Fo, as is observed, and is given by fA = (c+v)/Lo Fo. (...) In light of this elementary result invalidating STR, it is difficult to understand why this invalid theory has been (and continues to be) accepted for the past 100 years." Pentcho Valev |
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Si la physique contemporaine avait été basée sur la prémisse que la
vitesse des photons (structures DISCONTINUES) varie avec la vitesse de l'émetteur, Albert Einstein (1954), Jean-Marc Lévy-Leblond et Etienne Klein seraient un peu plus optimistes: http://www.lexpress.fr/culture/livre...n_820418..html Pour Albert Einstein, 1905 fut une annus mirabilis. Successivement en mai, juin, juillet et septembre de cette année-là, le modeste employé de l'Office fédéral des brevets à Berne (Suisse) publie quatre articles fondateurs de la physique moderne. Il n'a alors que 26 ans. Première idée révolutionnai la lumière ne se réduit pas à une onde; elle est composée de grains d'énergie (plus tard appelés photons), disposés de façon discontinue." http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199 Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoir...%A9_restreinte "Comme alternative à la relativité, Walter Ritz (1908) et d'autres esquissent une théorie de l'émission qui s'appuie sur la théorie corpusculaire de Newton et selon laquelle la vitesse de la lumière dans tous les repères n'est constante que par rapport à la source (et non à quelque éther), et où, au lieu de la transformation de Lorentz, on utilise la transformation de Galilée (ce qui veut dire que dans un système où la source se meut avec une vitesse v, la lumière ne se propage pas à la vitesse c, mais à la vitesse v ± c). Cette théorie va donc à l'encontre de la vitesse constante de la lumière, mais elle satisfait au principe de relativité, et peut expliquer l'expérience de Michelson-Morley." http://www.perimeterinstitute.ca/ind...ecture_id=3576 John Stachel: "Einstein discussed the other side of the particle-field dualism - get rid of fields and just have particles." EINSTEIN'S 1954 CONFESSION: "I consider it entirely possible that physics cannot be based upon the field concept, that is on continuous structures. Then nothing will remain of my whole castle in the air, including the theory of gravitation, but also nothing of the rest of contemporary physics." John Stachel's comment: "If I go down, everything goes down, ha ha, hm, ha ha ha." http://arxiv.org/ftp/physics/papers/0101/0101109.pdf "The two first articles (January and March) establish clearly a discontinuous structure of matter and light. The standard look of Einstein's SR is, on the contrary, essentially based on the continuous conception of the field." http://www.pbs.org/wgbh/nova/einstein/genius/ "And then, in June, Einstein completes special relativity, which adds a twist to the story: Einstein's March paper treated light as particles, but special relativity sees light as a continuous field of waves. Alice's Red Queen can accept many impossible things before breakfast, but it takes a supremely confident mind to do so. Einstein, age 26, sees light as wave and particle, picking the attribute he needs to confront each problem in turn. Now that's tough." http://arxiv.org/PS_cache/astro-ph/p.../0305457v3.pdf New varying speed of light theories Joao Magueijo "In sharp contrast, the constancy of the speed of light has remain sacred, and the term "heresy" is occasionally used in relation to "varying speed of light theories". The reason is clear: the constancy of c, unlike the constancy of G or e, is the pillar of special relativity and thus of modern physics. Varying c theories are expected to cause much more structural damage to physics formalism than other varying constant theories." http://www.ekkehard-friebe.de/wallace.htm The farce of physics Bryan Wallace "Einstein's special relativity theory with his second postulate that the speed of light in space is constant is the linchpin that holds the whole range of modern physics theories together. Shatter this postulate, and modern physics becomes an elaborate farce! (...) The speed of light is c+v." http://www.docstoc.com/docs/50282475...s-dans-loeuvre Louis de Broglie: "Tout d'abord toute idée de "grain" se trouvait expulsée de la théorie de la Lumière : celle-ci prenait la forme d'une "théorie du champ" où le rayonnement était représenté par une répartition continue dans l'espace de grandeurs évoluant continûment au cours du temps sans qu'il fût possible de distinguer, dans les domaines spatiaux au sein desquels évoluait le champ lumineux, de très petites régions singulières où le champ serait très fortement concentré et qui fournirait une image du type corpusculaire. Ce caractère à la fois continu et ondulatoire de la lumière se trouvait prendre une forme très précise dans la théorie de Maxwell où le champ lumineux venait se confondre avec un certain type de champ électromagnétique." http://en.wikisource.org/wiki/The_De...e_of_Radiation The Development of Our Views on the Composition and Essence of Radiation by Albert Einstein, 1909 "A large body of facts shows undeniably that light has certain fundamental properties that are better explained by Newton's emission theory of light than by the oscillation theory. For this reason, I believe that the next phase in the development of theoretical physics will bring us a theory of light that can be considered a fusion of the oscillation and emission theories. The purpose of the following remarks is to justify this belief and to show that a profound change in our views on the composition and essence of light is imperative.....Then the electromagnetic fields that make up light no longer appear as a state of a hypothetical medium, but rather as independent entities that the light source gives off, just as in Newton's emission theory of light......Relativity theory has changed our views on light. Light is conceived not as a manifestation of the state of some hypothetical medium, but rather as an independent entity like matter. Moreover, this theory shares with the corpuscular theory of light the unusual property that light carries inertial mass from the emitting to the absorbing object." http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement dit et la société au sens large." http://www.festival-astronomie.com/m...s-sciences.php Jean-Marc Lévy-Leblond: "Grandeur et misère de l'aventure scientifique. Au cours des 20 dernières années, le rôle de la science dans la société a profondément changé. Cette évolution récente tient à une transformation sans équivalent depuis la Révolution scientifique du début du XVIIéme siécle. Nous nous trouvons aujourd'hui dans une situation paradoxale où le poids de lactivité scientifique et son efficacité technique sans précédent mettent en cause ses fondement mêmes, et menacent sa dimension intellectuelle et culturelle au profit de sa seule utilité pratique et marchande." http://www.archipope.net/article-12278372-6.html "Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde. Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l'Occident l'a connue », tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections scientifiques des Editions du Seuil." http://archives.lesechos.fr/archives...077-80-ECH.htm "Physicien au CEA, professeur et auteur, Etienne Klein s'inquiète des relations de plus en plus conflictuelles entre la science et la société. (...) « Je me demande si nous aurons encore des physiciens dans trente ou quarante ans », remarque ce touche-à-tout aux multiples centres d'intérêt : la constitution de la matière, le temps, les relations entre science et philosophie. (...) Etienne Klein n'est pas optimiste. Selon lui, il se pourrait bien que l'idée de progrès soit tout bonnement « en train de mourir sous nos yeux »." Pentcho Valev |
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