View Single Post
  #4  
Old June 2nd 11, 08:07 AM posted to sci.astro,sci.math
Pentcho Valev
external usenet poster
 
Posts: 8,078
Default FQXi AGAINST EINSTEIN'S SPECIAL RELATIVITY

Repercussions in France: Einsteiniana's local godfather (Thibault
Damour) continues to teach, fiercely, the "new conceptualization of
time" based on Einstein's 1905 false constant-speed-of-light postulate
but a more insiginificant member (Etienne Klein), influenced by John
Norton, Craig Callender and Lee Smolin, begs to disagree. Still the
crimestop continues to be in force: Etienne Klein would never inform
the French public that the properties of time he rejects are in fact
consequences of Einstein's 1905 false constant-speed-of-light
postulate:

http://www-cosmosaf.iap.fr/Damour1.htm
Thibault Damour: "En 1905, Einstein (après d'importants travaux de
Lorentz et de Poincaré) apporta un premier bouleversement conceptuel
des 4 catégories fondamentales de la physique du 19ième siècle, à
travers sa théorie de la "relativité restreinte". Cette théorie
unifie les deux catégories séparées d'Espace et de Temps en une
nouvelle catégorie: celle d'Espace-Temps. L'Espace-Temps est quadri-
dimensionnel, donné a priori, et muni d'une géométrie de Poincaré-
Minkowski. Il définit le cadre d' "existence continuée" (c'est-à-dire
de l'existence conçue dans toute sa durée) de la réalité. (...)
L'Espace-Temps de la Relativité Restreinte a apporté plusieurs
bouleversements des anciennes catégories: (...) (ii) l'existence de
l'instant présent" (du "maintenant") comme portant la seule réalité de
l'étant est fortement mise en doute car il devient incompatible avec
la structure géométrique de l'Espace-Temps de sélectionner une famille
de "tranches" horizontales correspondant à "l'écoulement du temps"..."

http://www.academie-sciences.fr/acti...ein_Damour.pdf
Thibault Damour: "Mentionnons pour finir qu'Einstein prenait au
sérieux l'impact existentiel de la révolution conceptuelle apportée
par la théorie de la Relativité, et notamment l'impossibilité de
donner un sens objectif au «maintenant» et plus généralement au
passage subjectif du temps. Il exprima cette idée de façon prégnante
dans la lettre de condoléances qu'il écrivit le 21 mars 1955 (un mois
avant sa propre mort) à la famille de son ami intime, Michele Besso,
qui venait de mourir : «Voilà qu'il m’a de nouveau précédé de peu en
quittant ce monde étrange. Cela ne signifie rien. Pour nous,
physiciens dans l'âme, la séparation entre passé, présent et avenir ne
garde que la valeur d'une illusion, si tenace soit-elle.»"

http://www.psycho-energie.fr/double/...hibault-damour
Thibault Damour: "Le formalisme de la relativité einsteinienne dit que
le temps est une illusion..."

http://www-llb.cea.fr/Phocea/Vie_des...php?id_ast=761
Two-day conference "Le Temps" (jointly with Séminaire Poincaré), IHP,
4 et 18 décembre 2010
http://www.bourbaphy.fr/damourtemps.pdf
Thibault Damour: "Textbook presentations of Special Relativity often
fail to convey the revolutionary nature, with respect to the "common
conception of time", of the seminal paper of Einstein in June 1905. It
is true that many of the equations, and mathematical considerations,
of this paper were also contained in a 1904 paper of Lorentz, and in
two papers of Poincaré submitted in June and July 1905. It is also
true that the central informational core of a physical theory is
defined by its fundamental equations, and that for some theories
(notably Quantum Mechanics) the fundamental equations were discovered
before their physical interpretation. However, in the case of Special
Relativity, the egregious merit of Einstein was, apart from his new
mathematical results and his new physical predictions (notably about
the comparison of the readings of clocks which have moved with respect
to each other) the conceptual breakthrough that the rescaled "local
time" variable t' of Lorentz was "purely and simply, the time", as
experienced by a moving observer. This new conceptualization of time
implied a deep upheaval of the common conception of time. (...) The
paradigm of the special relativistic upheaval of the usual concept of
time is the twin paradox. Let us emphasize that this striking example
of time dilation proves that time travel (towards the future) is
possible. As a gedanken experiment (if we neglect practicalities such
as the technology needed for reaching velocities comparable to the
velocity of light, the cost of the fuel and the capacity of the
traveller to sustain high accelerations), it shows that a sentient
being can jump, "within a minute" (of his experienced time)
arbitrarily far in the future, say sixty million years ahead, and see,
and be part of, what (will) happen then on Earth. This is a clear way
of realizing that the future "already exists" (as we can experience it
"in a minute"). No wonder that many people, attached to the usual idea
of an external flow of time, refused to believe that the travelling
twin will come back younger than his sedentary brother."

http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc
Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour
développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon
lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre
sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que
nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de
sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la
physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la
notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système
constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que
la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes
complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui
gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur
mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre
psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons,
poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le
haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un
bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient
que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou
d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de
nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à
considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un
produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est
en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les
faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie
de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué
d'un continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux
temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et
futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que
différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids
ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé
ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et
d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui
a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de
l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale :
la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient,
l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux
temporel."

http://www.liferesearchuniversal.com...html#seventeen
George Orwell: "Crimestop means the faculty of stopping short, as
though by instinct, at the threshold of any dangerous thought. It
includes the power of not grasping analogies, of failing to perceive
logical errors, of misunderstanding the simplest arguments if they are
inimical to Ingsoc, and of being bored or repelled by any train of
thought which is capable of leading in a heretical direction.
Crimestop, in short, means protective stupidity."

Pentcho Valev