http://www.amazon.com/Revisiting-Fou.../dp/1402012845
Jean Eisenstaedt: "...the intensity of the bending of light rays, in
the context of Newton's theory, is only half of what it is in general
relativity. But what is really important is that the effect of
deviation is actually present. I want to state clearly that this
prediction is coherent with the vision that one has then of the
corpuscule of light but also with Newton's theory of gravitation and
also with Galilean kinematics. A grain of light, as it was often
called then, might be accelerated or slowed down without question.
Actually, the idea of the constancy of the velocity of light came to
the fore at the end of the nineteenth century from numerous
experiments and observations..."
Jean Eisenstaedt, tout est bien expliqué mais pourquoi le mensonge à
la fin de votre texte? Les textes ci-dessous n'existent pas? N'ont
jamais existé? Ce sont des nontextes?
James H. Smith "Introduction à la relativité" EDISCIENCE 1969 pp.
39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant
aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre
les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par
exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à
un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la
vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la
lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière
se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à
l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui
d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par
rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une
certaine vitesse par rapport à leur source..... Il nous faut insister
sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA
LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT
AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE."
http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.doc
John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the
importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even
though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the
experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation,
has little force. Its null result happened to be fully compatible with
Newton's own emission theory of light. Located in the context of late
19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light
predominated, however, it presented a serious problem that exercised
the greatest theoretician of the day."
http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf
John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers
in finding source material, Stachel assembled the many small clues
that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of
light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the
Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of
relativity, whereas later writers almost universally use it as support
for the light postulate of special relativity. Even today, this point
needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible
with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT
POSTULATE."
http://www.decitre.fr/livres/La-rela.../9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."
http://wikilivres.info/wiki/1984/Pre...ie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."
Pentcho Valev